Cecilia Gabizon D Day Du Pelerinage Au Tourisme De Masse

l’homme. A travers son essai, Hannah Arendt met en avant l’importance de l’éducation, qui va permettre d’apprendre aux enfants ce qu’est le monde et donc de renouveler un monde commun. C’est également par le biais d’un article de presse que Cécilia Gabizon nous retranscrit l’impact qu’a un site chargé de souvenirs du passé sur les visiteurs. Sur la photographie, Jo Wajblat, juif polonais, déporté à Auschwitz en 1944 et rescapé, il fait plusieurs voyages par an pour expliquer aux écoliers l’horreur

évènements vécus seraient à l’origine du désintéressement des générations d’aujourd’hui, pour le passé. Quant aux deux autres documents du corpus, ils sont totalement opposés aux deux premiers. Comme l’indique Cécilia Gabizon, dans l’article « D-Day : du pèlerinage au tourisme de masse », issu du Figaro, en 2009, il est possible que plus d’un demi-siècle après la Guerre, des millions de touristes continuent de faire le tour des lieux où se sont passés les évènements les plus marquants de notre

vivant » paru dans le journal Le Monde, le 28 octobre 2008, Jacqueline de Romilly dénonce le manque d'intérêt des nouvelles générations à l'égard de notre passé, de l'histoire des générations précédentes. Cécilia Gabizon rejoint son avis dans l'article « D-Day : du pèlerinage au tourisme de masse » paru dans le numéro du 31 mai 2009 du journal Le Figaro. Elle y décrit l'attitude des enfants venus accompagner leurs parents afin de visiter le lieu du débarquement des forces alliées sur les plages de

second document à été écrit par Hannah Arendt, il est extrait du livre La crise de la culture sortit en 1961, il constate que l’éducation est un véritable problème. Par ailleurs, l’extrait du journal Le Figaro, « D-Day : du pèlerinage au tourisme de masse », réalisé par Cécilia Gabizon et édité le 31 mai 2009 présente les différentes nouvelles façons d’apprendre l’histoire à ces nouvelles générations. Enfin le dernier document correspond à une photographie de Jo Wajsblat qui est un ancien déporté

victime de la Shoah, un des épisodes les plus cruels de l’histoire de l’humanité. C’est le même apprentissage que font les enfants lorsqu’ils effectuent un voyage sur les plages du débarquement, comme le montre Cécilia Gabizon dans son article, « D-Day : du pèlerinage au tourisme de masse », publié dans Le Figaro, le 31 mai 2009. Hannah Arendt, dans « La Crise de l’éducation » extrait de son essai, La Crise de la culture publié en 1961, insiste sur un aspect important : la connaissance du passé permet

allemande naturalisée américaine. Cette ouvrage a été publié par les Editions Gallimard. Son titre est « la crise de la culture » Le troisième est un extrait du figaro publié le 31 mai 2009. Son auteur est Cécilia GABIZON. Le titre de cet article est «  D-Day : du pèlerinage au tourisme de masse » Le quatrième est une photo, montrant un rescapé miraculé (Jo Watjsblat) du camp d’Auschwitz. Cette photo a été prise en 2004. Le thème principal des différents documents est la « commémoration ». Ont

Cette période, propre à une génération, peut paraitre virtuelle pour la plupart voire même laisser indifférent. Cécilia GABIZON, atteste dans son œuvre « D-Day : du pèlerinage au tourisme de masse » paru dans Le Figaro en mai 2009 que « les plages normandes, connues pour le débarquement des forces alliées lors de la Seconde guerre mondiale, est désormais devenu un haut lieu du tourisme ». Le recueil, la tristesse, la perte de nos aïeux ont laissés place à la curiosité des plus jeunes. Les sites historiques