Darwin Liberté

monde végétal s'est orienté vers l'immobilité (et la "torpeur"). 4. Conscience et matière. § Dans la matière, le déterminisme "Le monde, laissé à lui-même, obéit à des lois fatales"; "la matière est nécessité." § vie et conscience La vie est liberté. L'être vivant, par nature, doit créer. Pour cette raison, il doit tenir compte du passé et préparer l'avenir: l'être vivant est mémoire et anticipation. C'est pourquoi on a pu dire que la conscience était coextensive à la vie. § conscience et matière

modernité. On est passé à une société holiste le groupe se substitut à l’individu à une société individualiste (société centrée sur l’individu) : l’individu émerge. Charles taylor : «  l’identité personnelle (le moi) apparait au même titre que la liberté de conscience comme un domaine protégé » : il existerait dans notre société une sorte de droit « d’être soi » (depuis la fin des ann 50) Un droit subjectif nous serait reconnu  un droit à l’autonomie. Le droit de se gouverner soi-même. La théorie

végétal s'est orienté vers l'immobilité (et la "torpeur"). 4. Conscience et matière. § Dans la matière, le déterminisme "Le monde, laissé à lui-même, obéit à des lois fatales"; "la matière est nécessité." § vie et conscience La vie est liberté. L'être vivant, par nature, doit créer. Pour cette raison, il doit tenir compte du passé et préparer l'avenir: l'être vivant est mémoire et anticipation. C'est pourquoi on a pu dire que la conscience était coextensive à la vie. § conscience et

qui désigne l’ensemble des droits inhérents à la personne, indépendamment de toute législation. Ex. DDHC 1789 , le droit naturel renvoie au citoyen avec la propriété, la liberté, la sécurité etc Un droit : c’est ce qui est reconnu par la loi et que l’on peut exiger ( s.subjectif) ≠° entre : _ les « droits de » ou « droits-liberté » ( DDH 1789) : il en résulte pour l’Etat une abstention, savoir ne pas faire obstacle à l’exercice de ces droits, d’où un rapport d’indépendance du citoyen. _ les « droits

siècle n'est pas né d'un excès de l'idée de Dieu, mais de sa redoutable absence. Nicolas Sarkozy, 2008 Une fausse dichotomie entre théisme et authentique humanisme, poussée à l'extrême jusqu'à créer un conflit inconciliable entre la loi divine et la liberté humaine, a conduit à une situation où l'humanité, en raison de tous ses progrès économiques et technologiques, se sent profondément menacée. Benoît XVI, 2007 Lorsque les hommes cessent de croire en Dieu, le drame n'est pas qu'il ne croient plus en

limites de l'introspection ou comme base à la connaissance de soi ? Après avoir traité autrui comme condition de mon existence, nous allons voir, dans une seconde partie : autrui comme "instrument" indispensable à la connaissance de soi. D'ailleurs Darwin, dans Origine des espèces "les vivants sont tous liés les uns les autres", donc il semblerait évident qu'autrui nous connaisse mais jusqu'à quel point ? Jusqu'où ses jugements peuvent être considérés comme compatibles à ce que nous sommes ? N'oublie-t-il

sa globalité. Où qu’on soit, quel que soit l’endroit, quelles que soient les circonstances, on est amené à faire des choix à chaque instant. Quelles que soient les conditions, il faut toujours parier sur le fait que les gens ont un petit bout de liberté qui leur permet de décider d’un certain nombre de choses. G On ne peut pas évacuer que c’est un luxe de se poser cette question. Nous avons souvent eu dans nos cafés-philo un ami africain qui nous aurait dit « C’est une question de ventre plein

courants des hommes. Le premier de ces préjugés est celui de notre propre liberté. Spinoza nous dit que « les hommes se figurent libres, parce qu'ils ont conscience de leurs volitions et de leur appétit et qu’ils ne pensent pas, même en rêve, aux causes qui les disposent à désirer et à vouloir, parce qu’ils les ignorent ». Cette phrase d'abord est une polémique directe contre Descartes. Descartes, en effet, considère que la liberté est une évidence de la conscience. Dans les Principes de la philosophie

Au travers de ces savoirs qui semblent parfois éloignés du réel (latin, abstraction mathématique) c’est une intelligence du monde qu’on forme, une capacité au raisonnement logique. A cela s’ajoute une certaine neutralité du savoir qui permet la liberté critique. Condorcet expliquera qu’il n’est pas nécessaire de faire apprendre les droits de l’homme comme des tables de la loi et qu’une formation rationnelle et intellectuelle suffira à l’enfant pour qu’il comprenne de lui-même la grandeur de ces

>Retour sur l’objet de la sociologie ; sur quoi travaillent les sociologues ? >Science et blessure narcissique : l’hypothèse freudienne (chaque grande avancée dans la science inflige à l’Homme une nouvelle blessure narcissique) -après Copernic, Darwin et Freud, une quatrième blessure ? -les acteurs sociaux, objets de déterminismes sociaux ? A ces blessures narcissiques Bourdieu propose d’en ajouter une quatrième qui est une blessure infligée par les sciences sociales en général et par la sociologie