David Hume

Dans son texte Alain expose sa thèse dès la première phrase : penser c'est dire non. Dès lors, nous pouvons séparer cette thèse en deux parties: d'un coté « penser » et de l'autre « dire non ». Mais qu'est ce que penser? En philosophie, comme dans la vie ordinaire penser se définit comme un ensemble de phénomènes produit par l'action de l'esprit. Employé dans un sens plus ou moins large, ce terme renvoi tantôt à toute les manifestations de la conscience quelle que soit leur nature, tantôt aux seuls

Autrui Le notion d’autrui en général désigne le moi qui est à la foi différent et semblable à moi, donc il est le moi qui n’est pas moi. On a coutume de le définir ainsi ! Quelques philosophes prétendent être capables de déterminer avec suffisamment de précision ce qu’est « le moi « et ce qu’est « autrui « , D’autres philosophes mentionnent leurs doutes, leurs incertitudes, et des autres mettent tout simplement en valeur la difficulté de prendre en charge cette définition . Lorsque je m’enivre

Dans ce passage , BERGSON veut nous montrer que la conscience (thème) loin d’être un concept que l’on pourrait définir , une chose dont on pourrait dégager l’essence est d’abord l’objet d’une expérience « constante » , subjective, mais néanmoins universellement partagée . C’est pourquoi la question que se pose BERGSON n’est pas vraiment « qu’est-ce que la conscience ? » qui renvoie à la question de l’essence mais plutôt : « comment nous apparaît-elle ? ». Sa réponse consiste non pas en

désir, mais la nature du désir et ses concéquences semblent interdire tout bonheur si on le conçoit comme un état d'appaisement, de sérénité. Le désir cherche à renseigner le sujet sur lui même, il lui permet de se renseigner sur ce qu'il veut être. Hume écrit que seul un désir peut en apaiser un autre, éliminer tous désirs ne semble donc ni préférable ni recommandable. Cela sous entend que l'homme n'est jamais libre car il se pose lui même ses propres barriéres et qu' il cherchera toujours à savoir

Première preuve de l'existence de Dieu selon Descartes : l'argument ontologique — Dieu existe parce que, en tant qu'être parfait, s'il lui manquait l'existence, il ne serait pas parfait. Donc, il existe. Je réfute. C'est un syllogisme. On pose Dieu comme “étant parfait” dans la prémisse. Ça ne prouve rien, ça affirme. On postule son existence en lui octroyant un attribut dès le départ : la perfection. — Ça tient par ses lacets de bottines, m'avait spontanément répondu mon ami Daniel. Deuxième

Pour trouver en quoi consiste l’identité personnelle, il nous faut considérer ce que représente la personne; c’est, je pense, un être pensant et intelligent, doué de raison et de réflexion, et qui peut se considérer soi même comme soi même, une même chose pensante en différents temps et lieux. Ce qui provient uniquement de cette conscience qui est inséparable de la pensée, et lui est essentielle à ce qu’il me semble : car il est impossible à quelqu’un de percevoir sans percevoir aussi qu’il perçoit

La conscience. Qu’est-ce que la conscience ? ------------------------------------------------- « La conscience de soi fonde l’unité de la personne. » Kant ------------------------------------------------- Conscience = être capable d’avoir la notion de soi-même ( la réflexivité). ------------------------------------------------- Avoir la notion de soi-même = le « Je » chose qui élève infiniment l’homme au-dessus de toutes les autres créatures qui vivent sur la terre l’homme devient une seule

Par définition la morale est l’ensemble des jugements relatifs au bien et au mal concernant les actes humains. Mais intuitivement on a aussi tendance à opposer la morale à l’intérêt et à considérer que ce qui est morale est désintéressé. Cependant, la morale l’est-elle toujours ? N’existe-t-il pas des intérêts moraux ? Mais la fin justifie-t-elle toujours les moyens ? Car ne serait-ce pas nier la valeur de la morale ? Autrement dit, peut-il y avoir une morale de l’intérêt ? Kant appelle les règles

L’expérience _ Kant Extrait de Critique de la raison pure ‘’ Pur ‘’ et ‘’ a priori ‘’ désigne l’inverse d’empirique. L’expérience est nécessaire pour que la connaissance soit entière. Par contre cela ne signifie pas qu’il n’ y est que nos expériences qui nous instruisent. Cette idée se comprend si l’on distingue , chez Kant , l’entendement et la raison. Selon Kant nous avons plusieurs facultés. La première , la raison , la deuxième l’entendement et la dernière la sensibilité. Cette dernière donne

Commentaire de texte Anthropologie du point de vue pragmatique « Avoir des représentations […] même en y mettant toute son application » Ce texte est un extrait de « Anthropologie du point de vue pragmatique » du philosophe allemand Kant. Il étudie la contradiction qui peut exister entre conscience et inconscience qui sont des caractéristiques de l’être humain. En effet, l’être humain s’est d’abord comporté comme un animal puis s’est peu à peu civilisé contrairement aux autres êtres