De Quoi Rions Nous

loin : récemment passé sur une chaîne télévisée pour un sketch ou il incarnait un jeune juif, il a reçut une plainte pour diffamation raciale. Mais la plupart du temps, quand on décide de faire rire autrui, il nous faut bien une « victime ». Nous rions toujours de quelqu’un ou d’une catégorie de personnes( les blondes, les belges…) A la question « peut-on rire de tout? », Desproges répondait « oui, mais pas avec tout le monde. » Beaucoup pense que l’on peut rire de tout à partir du moment ou on

Chirac. En effet, ces humoristes sont à la rechercher d’un rire universel. C’est l’intention qui compte le plus ici, et pas le sujet dont nous rions, c’est donc pour cela que tous le public rient ensemble. Ensuite, nous pouvons voir que malgré cette grande liberté il existe tout de même des limites. Pierre Desproges à dit « On peut rire de n'importe quoi, mais pas avec n'importe qui. » C’est sans aucun doute ici, que se situe la limite du rire. Nous ne pouvons pas rire des camps de concentration

laquelle il ne faut pas plaisanter. (Raymond Devos LE RIRE REFLEXE : Dans la peur, l'angoisse et toutes les situations que notre inconscient pourrait qualifier de dangereuses, le rire sonore peut se déclencher de lui même sans que nous trouvions quoi que ce soit de drôle, par une réaction réflexe qui fait que notre cerveau connaît la valeur curative et positive du rire, et la qualité du lâcher prise qui en ressort. Cette situation donne généralement ce que l'on appelle un "fou rire". Incontrôlable

pour s'emparer de la maison... Dans les premières scène de l'acte 1 Tartuffe n'est encore entré en scène mais les personnage ne parle que de lui et pour la plus aet en mal. Cette pièce fait partit du registre comique. Nous nous demanderons donc en quoi cette scène est comique Dans un premier temps nous allons voir que le comique de cette scène est au service d’une présentation du dialogue d'Orgon. Dans les premières répliques de Dorine, nous voyons qu’elle ne cesse d’insister sur la maladie

rire de tout . Comme nous le dit Rabelais «  le rire est le propre de l'homme ». Le rire nous fait vivre et nous permet de réfléchir. Il est donc possible de faire rire sur des sujets graves ou sérieux. Quel intérêts y a t-il à le faire ? C'est ce à quoi nous allons réfléchir. Dans une première partie nous verrons que le rire peut accueillir des sujets sensibles, dans une seconde partie que l'humour nous fait vivre puis dans troisième et dernière partie pouvons-nous rire de tout ? L'humour peut

joie exprimée par le rire est toujours associée avec des sentiments de mépris, voire de haine : la haine de Descartes. Chez les humanistes, l’un des plus anciens arguments à cet effet est avancé par Castiglione. Je cite : « À chaque fois que nous rions, nous nous moquons de et nous méprisons toujours quelqu’un, nous cherchons toujours à railler et à nous moquer des vices. » Et les auteurs médicaux exposent la même théorie sous une forme plus développée, l’analyse la plus subtile sur ce point étant

cruels, Villiers écrivit L'Evefuture, 'rue de Maubeuge, dans l'horreur glaciale d'une chambre vidée de ses meubles, [...I couché à plat ventre sur le plancher, délayant dans de l'eau les dernières gouttes de son encner'.I Ils n'avaient même pas de quoi se vêtir dignement. La filleule de Léon Bloy, Raïssa Maritain se souvient que 'le veston de Léon Bloy était soigneusement boutonné jusqu'en haut, le plus souvent à cette époque aucun col de chemise ne dépassait, on se rendait compte qu'il n'y avait

leurs corps, nous regardait s'avançant, s'embrassant au fond des mers, te serrant au milieu de l'eau, près des algues et des fleurs de l'océan. Je te tenais fortement et C'était la fête de notre mariage qui se produit au milieu de cette eau. Nous rions aux éclats, nous étions heureux, la main dans la main. J'étais devant toi, nageant avec mes pieds, et tu portais une robe blanche que seules les astres du ciel mettait. Tu eclairais l'océan, tu baptisait notre amour, tout était complet, parfait, incomparable

façon que, tout à la fois, seul l’humain rirait et on ne rirait que de ce qui est humain. . Deux objections cependant : 1) nous rions d’autre chose que de l’humain : d’objets, d’animaux – ne sont-ils donc pas, en eux-mêmes, comiques ?; 2) certains animaux semblent, eux aussi, connaître le rire (les hyènes, les singes). . 1) Bergson : en premier lieu nous ne rions jamais d’un paysage : un paysage n’est jamais comique. Or paysage = géologie et végétaux (des couches de l’évolution qui ne semblent

intelligence plus qu’humaine, une force d’âme prodigieuse, un invincible courage, une sobriété sans égale, une incontestable sérénité, une parfaite fermeté, un incroyable détachement envers tout ce pour quoi les humains s’appliquent tant à veiller, courir, travailler, naviguer et guerroyer. À quoi tend, à votre avis, ce prélude et coup d’essai ? C’est que vous, mes bons disciples, et quelques autres fous oisifs, en lisant les joyeux titres de quelques livres de notre invention, comme Gargantua, Pantagruel