De Rerum Nature

de l'homme qui devrait dompter la nature, être « maître et possesseur » de celle-ci, la soumettre, la domestiquer par tous les moyens afin d'en tirer le plus grand profit. Cette idéologie a fait son temps et était même pertinente pour l'époque car les problèmes liés à la pollution, à l'avancée du désert et au caractère non renouvelable de certaines ressources ne se posaient pas, ou du moins pas avec acuité, bien que déjà perceptibles, puisque dans son De rerum natura, Lucrèce évoquait déjà la «

mouvement baroque et du classicisme : travail sur les fontaines en particulier. Sites internet sur le château de Versailles : - chateauversailles/jardins et bosquets - Thierry.jouet : le jardin baroque. . Documents iconographiques : - Lubin Baugin, Nature morte à l’échiquier, vers 1640. 2. Lectures complémentaires : La Bible, extrait de « La Genèse » ; article : L’eau les mythes et le sacré (article internet : Alexandra Monot URL pour citer cet article: http://www.cafe-geo.net/article.php3?id_article=70

ciel & la terre confondus ensemble avoient à peu prés la même forme, mais aprés que ces corps eurent été separés dans l'ordre que nous y voyons aujourdhui. L'air acquit une perpetuelle agitation, ses parties les plus subtiles, & qui participent à la nature du feu allerent se placer dans les regions les plus elevées, leur legereté naturelle leur donnant cette tendance. C'est pas la meme raison que le Soleil & les autres astres accomplissent leur revolutions dans les lieux les plus elevés. Les parties

première de toutes ses fonctions de s'ingénier à observer, et d'exalter en l'honneur parmi les hommes, que le code de grands principes qui est appelée la loi des nations, dont le membre a appris de Sheffield a trouvé, en effet, il très vague dans leur nature, et beaucoup dépend de la discrétion de chaque pays en particulier, mais dans lequel je trouve, au contraire, un grand monument et noble de la sagesse humaine, fondée sur la combinaison de la raison et l'expérience un précieux héritage légué nous

écrasé par l’histoire, et de se reconstituer par un geste d’affirmation de soi, par l’élaboration d’un projet libérateur. Pour nous, la négritude est la façon dont les Négro-africains comprennent l’univers, voire le monde qui les entoure, la nature, les gens, les événements. C’est une philosophie, une conception de la vie déterminée par des phénomènes de civilisation et par l’histoire dramatique qu’ils ont connue (la traite, l’esclavage, la colonisation et, plus près de nous, les déboires de

éléments du quotidien (« des choses »), qui semblent délibérément choisit pour leur apparente banalité : l'huitre, le cageot, de l’eau, le pain, etc. En vérité, « Le Parti pris des choses » de Francis Ponge est la version contemporaine du « De Natura Rerum » de Lucrèce. L'œuvre de Ponge a la particularité d’être à la fois poétique et scientifique et donc de s’inspirer de la leçon de choses et de la fable. De la manière qui convient « Le Parti pris des choses » devient une poésie à caractère encyclopédique

expression présente d’autres aspects notamment dans son rapport à la nature, à la société et à la religion. Sous ces trois aspects l’expression amène des paradoxes qui entrainent des questions. La nature est par définition dans son absolu neutre, elle ne représente ni le bien ni le mal mais l’être humain y fait l’expérience du mal. Cela nous amène à nous demander la réelle valeur du mal dans le sens naturel, dans sa réelle portée sur la nature ? L’expérience est une forme d’acquis, de compréhension de l’être

Au temps de la Pléiade et de la révolution humaniste, les poètes rêvent à une harmonie parfaite entre les hommes et la nature (Utopiamde Mores, la Thélème de Rabelais). Mais l’expression de l’amour est toujours accompa gnée de celle de la crainte de la mort et de la fuite du temps. Ronsard, dans Les Amours, développe le fameux thème du carpe diem, c’est-à-dire le goût pour la nature et les valeurs esthétique et éthique, où la rose est le symbole de la fragilité humaine. Mais, avec les guerres de religion

réellement définir la puissance. Il s’agit d’un état du réel. Dans ce sens on la qualifie de « subjective ». Il faut donc voir en elle une réalité, tandis que la possibilité « objective » (la possibilité de réalisation d’un cercle non existant) reste de nature purement idéale. La puissance est une des notions analogiques primitives qui à proprement parler ne peuvent être définies, mais que l’on peut seulement s’efforcer de saisir dans des exemples comme par induction, et en s’appliquant à les distinguer

force de vouloir faire trop de choses on passe souvent à côté des choses plus essentielles dans la vie. Emmanuel Naya a réagi face à ce réveil en disant qu’on parle souvent d’une appropriation de soi par soi, qui est un moyen de rendre l’individu à sa nature profonde qu’il méconnait, c’est comme une seconde naissance. Toutefois les personnes intellectuelles et rationnelles dépendent de la maitrise de leurs vies. Pour parvenir à ne pas passer à côtés des choses essentielles de la vie il faut passer par