De Simples Sciences De Faits

Marie Tapia TS1 « Peut-on dire d’une science quelle est exacte ? » Les sciences exactes sont le fruit du XVIIe siècle européen qui recueille, mêlés aux techniques et pensées chrétiennes médiévales et à la grande influence du courant maniériste, l’héritage de l'enrichissement capitaliste de la Renaissance et du désenclavement du monde. En effet, la première mentalité scientifique s'est d'abord développée dans une lignée de logique puriste et matérialiste chrétienne, opposée à la scolastique

l'expérience prouve par l'établissement des faits. Au contraire, au sens strict, une démonstration est une déduction formelle, c'est-à-dire rationnelle, établissant la vérité d'une conclusion en procédant à un raisonnement logique à partir de propositions appelées prémisses. Une prémisse est chacune des deux premières propositions d’un syllogisme, dont on tire la conclusion. En effet, la démonstration est une déduction qui ne repose pas sur de simples hypothèses dont on n'aurait pas déjà reconnu

français un usage nouveau des pronoms et de l’imparfait. Le genre même du roman est incompatible avec la forme brève, le fragment, et néanmoins la prose doit trouver un style en même temps « rythmé comme le vers » et « précis comme le langage des sciences »12 : Flaubert envisage la prose comme la poésie du futur, celle des années ou des siècles venir. Ce n’est pas la brevitas en elle-même que le romancier cherche, mais sa morale, le sacrifice, qui doit conduire à un roman où tout se tient. Ainsi,

Méthodologie des Sciences sociales Introduction : Si la réflexion de l’Homme sur la société dans lequel il vit remonte dans la nuit des temps ; la sociologie est néanmoins historiquement datée. Elle commence à prendre consistance au XVIII s. dans le cas d’examen à prétention scientifique sur des faits sociaux. De ce point de vue, il est certes intéressant de revenir sur la Genèse de la pensée sociologique pour redécouvrir le cheminement et processus de construction historique de cette discipline

trajectoire n'est déterminée que par l'action d'un rouage sur un autre. Il nous faut donc, pour définir le vivant, se demander s'il peut être uniquement assimilé à une machine, si la vie se limite à une simple force mécanique dénuée de sens ou au contraîre s'il faut considérer que les sciences doivent s'appuyer sur la réflexion d'une finalité dans le vivant et d'un <principe de vie>. Ces questions posent le problème de la nature du vivant et semblent imputables à l'application des connaissances

Introduction aux Sciences sociales : Les sciences sociales sont une branche des sciences humaines. Les sciences humaines ont pour objet, l’étude de l’homme. L’homme ne peut pas être étudié de la même façon qu’un objet, qu’un animal, qu’un végétal. Au sein des sciences humaines, les sciences sociales se différencient des autres. Ex → .La médecine (aspects physiques du corps humain). . La psychologie (appréhende l’homme en tant qu’individu isolé). Les sciences sociales s’intéressent à

nommée utopique, la productivité parvenue à son paroxysme provoquerait la fin de l’Etat et engendrerait une société universellement tournée vers le loisir, puisque affranchie de la contrainte laborieuse. L’administration de la société devient alors si simple qu’elle ne revêt d’intérêt que pour les esprit les plus « médiocres ».Dans la tradition athénienne la condition de citoyenneté n’était subordonnée à l’affranchissement du travail que du fait de la difficulté de la chose publique et de l’attention

nommée utopique, la productivité parvenue à son paroxysme provoquerait la fin de l’Etat et engendrerait une société universellement tournée vers le loisir, puisque affranchie de la contrainte laborieuse. L’administration de la société devient alors si simple qu’elle ne revêt d’intérêt que pour les esprit les plus « médiocres ».Dans la tradition athénienne la condition de citoyenneté n’était subordonnée à l’affranchissement du travail que du fait de la difficulté de la chose publique et de l’attention

avant la tendance qu'a eu l'Humanité à fonder ses connaissances sur des croyances, en restant soumise aux autorités (religieuses notamment) jusqu'à son époque (XVIIe siècle). Les sciences étaient alors un simple ramassis de théories plus ou moins prouvées héritées des siècles précédents. Et malgré les progrès importants faits dans le domaine depuis le XVe siècle (débuts de l'anatomie avec Alessandro Achilli, de la physique, de l'astronomie avec Galilée...), la bride des autoritées demeurait, grossissant

leur résolution. - médecine actuelle, ce qu'elle suit biomédical :- médecine fondée sur la biologie - médecine comme une science PLAN :(inversion entre 2-2 et 2-3?) I – La biologie, paradigme médical actuel 1-1 La médecine occidentale, rationelle depuis Hippocrate 1-2 Le désir explicatif de l'Homme : imagerie, neurosciences 1-3 Son enjeu actuel : devenir une science II – L'Homme, un sujet objectivisé, mécanisé au sein de la biomédecine 2-1 Le corps général, mécanique, étudié pour le