De Simples Sciences De Faits

d’abord la conformité au réel des romans, puis nous analyserons la puissance de création des auteurs. Nous définissons le réel par ce que nous voyons. Ainsi, le romancier s'inspire de son entourage, ou d'une époque révolue, mais bien réelle, de faits et de personnages existants, pour écrire. Le lecteur lit pour se divertir, s'émerveiller, se distraire. La crédibilité est une touche très soignée par les auteurs; leurs romans se doivent d'être vraisemblables. Conan Doyle, à la fin XIX°, avait

neutralité subjective la condition de la scientificité d’un énoncé n’est-ce pas déjà un choix de valeur ? - L’objectivité est-elle le propre d’énoncés capables de faire l’accord des esprits ? Sans doute est-ce là ce qui fait la supériorité de la science sur tous les autres discours mais l’objectivité est en ce sens l’intersubjectivité . En quoi sommes- nous autorisés à présupposer que ce qui est universellement valable est objectif si l’on entend par là ce que le mot indique, à savoir l’adéquation

Dissertation de philosophie « La science est-elle par nature inachevable ? » La question de l'avenir scientifique est toujours mise au premier plan dans nos sociétés modernes. On envisage des projets, définissant des recherches, et aboutissant à une évolution du domaine de la connaissance. L'explication des phénomènes, ce que nous entendrons par science (soumise alors aux lois de la vérification par le domaine expérimental qui se veut objectif), est donc une quête qui peut sembler perpétuelle

Max WEBER, Le savant et le politique/ Essais sur une théorie de la science, Paris, Plon , 1965 (économiste) Claude LEVI-STRAUSS, Race et histoire, Paris, Folio, 1987 (Anthropologue) Introduction : Utilité sociale des sciences sociales Elles étudient la société et s’adresse à chacun d’entre nous dans notre individualité. Comprendre la place qu’on occupe/ et celle que les autres occupent dans le système social Les sciences sociales sont aux centre des relations entre les individus et ont

ne sont point étrangères, qui en trouveraient au besoin le germe dans leur pensée en s’interrogeant eux-mêmes, comprennent parfaitement aussi qu’il est à propos de les laisser à l’écart, comme n’ayant pas d’influence sur la marche progressive des sciences dont ils font l’objet spécial de leurs études. Et cependant on s’accorde à trouver de la philosophie dans leurs écrits : on dira de tels d’entre eux qu’ils ont donné à leurs travaux une tournure plus philosophique ; le mot même de philosophie sera

 BERTAUX D., Les récits de vie, Paris, Nathan, 1997.  BLANCHET A., Les techniques d'enquête en sciences sociales, Paris, Dunod, 1987.  DURKHEIM E., Les règles de la méthode sociologique, Paris, PUF.  BOURDIEU P., CHAMBOREDON J.C., PASSERON J.C., Le métier de sociologue, Paris, Mouton, Bordas, 1968. I L'objet des sciences sociales Les sciences sociales sont une des branches des sciences humaines qui ont pour objet d'étudier l'homme. Les spécificités de cet objet (étudier l'homme) entraînent

connaissances communes. Elle se véhicule très facilement, mais elle nait d’une expérience singulière. => On ne maitrise pas ses conditions de transposition à une autre situation. 3) Connaissance transcendantale Ses origines sont les faits non sensibles, càd auxquels on ne peut pas accéder par nos sens. Exemple : la parole de dieu. Cette connaissance joue un rôle très important : elle gère la dimension mystique de l’homme. Prise de conscience de l’existence de l’autre => peur de

acquière le statu de science à part entière. D’ailleurs dans la première et seconde préface, Durkheim l’énonce clairement, ajoutant que le fait social sera son objet d’étude et que le postulat selon lequel « les faits sociaux doivent être traités comme des choses », permettrai de là légitimée en tant que telle. Il veut une « sociologie objective, spécifique et méthodique », « objective » pour être considérée comme une science, « spécifique » pour la différenciée des autres sciences, « méthodique » pour

RELIGIEUX ET DE LA RELIGION 25 . Pour pouvoir rechercher quelle est la religion la plus primitive et la plus simple que nous fasse connaître l'observation, il nous faut tout d'abord définir ce qu'il convient d'entendre par une religion; sans quoi, nous nous exposerions soit à appeler religion un système d'idées et de pratiques qui n'aurait rien de religieux, soit à passer à côté de faits religieux sans en apercevoir la véritable nature. Ce qui montre bien que le danger n'a rien d'imaginaire et

« la science des religions » mais aux phénomènes religieux qui peuvent être des faits sociaux et peuvent par conséquents expliquer d’autres faits sociaux. Pour lui, toutes les religions ont un portée plus générale que les idées proprement religieuses, quelque chose d'universel. Il veut apporter grâce à la sociologie de nouvelles réponses à certaines questions, déjà débattus par les philosophes. C'est aussi un moyen de montrer en quoi la sociologie peut elle se démarquer des autres sciences et en