De Simples Sciences De Faits

Monsieur C.V., né en 1946 De son nom: RAEL Préambule • Son discours vous semble-t-il scientifiquement fondé? • Quelle différence y-a-t-il entre les croyances et la science? • Qu’est-ce qu’une science ? (sachant que la psychologie en est une) Introduction • Psychologie -> étude scientifique du comportement • Science -> scientia : connaissance (=logos) • Recouvre à la fois: -> un contenu -> une démarche Introduction • Partons d’une confusion • Psychologie du sens commun et psychologie

repose sur des prémisses simples et doit rompre avec les observations pour conserver son caractère probable. Dans un premier mouvement l'auteur illustres sa thèse par l'exemple d'une courbe tracée à partir de définitions mathématiques, ensuite il formule sa thèse, enfin il expose la contradiction qui s'établirait si la théorie scientifique ne reposait pas sur des prémisses simples. Tout d'abord illustre sa thèse en expliquant qu'une théorie est basée sur des faits, des observations réelles:

message ? - Pouvez-vous proposez d'autres oeuvre (poésie, romans, tableaux, chansons, film...) qui s'engagent sur le même sujet ? Merci de me répondre... Il n'y eut jamais d'entreprise plus charitable que de soigner les souffrants. Les autres sciences sont nées de la « volonté de savoir » ; la médecine sort tout droit de la volonté de servir : pitié envers les hommes, presque aussi vieille qu'eux. Le souci des autres lui compose une nature double, où l'élan de compassion se combine à l'étude objective du corps

idées linguistiques, méthodologie et objet de l’histoire des idées, K. Brugmann, H. Osthoff, W.D. Whitney, F. de Saussure, coupure, paradigme, changement, nouveauté 1 Cet article fut publié pour la première fois dans les Actes du colloque « Les sciences humaines, quelle histoire ?! », Paris-X — Nanterre, 1980, pp. 271-288. Nous remercions Claudine Normand de nous avoir permis de republier cet article important pour notre discipline. L’article est reproduit ici dans une version adaptée, dans la mesure

Raymond Aron, Les étapes de la pensée sociologique. Le traité de science politique de Leca et Grawitz (4 tomes) Philipe Braud Sociologie politique Lagroye, François et Sawicki Sociologie politique Partiel : commentaire de texte + dissertation (problématiser + pensée cohérente) Introduction : Histoire académique de la sociologie politique et de la science politique Science politique : objet d’étude, objet des sciences sociales qui a très longtemps retenu l’attention des savants, dès

La raison et le réel Introduction : l’hypothèse du rêve 2 I. Les sciences déductives [la démonstration] 4 A. La logique 5 1. Présentation 5 a. La logique d’Aristote 5 b. Gottlob Frege 7 c. Le formalisme logique 7 2. Vérité et validité 8 3. Les limites de la démonstration 9 4. Les « premiers principes », ou principes logiques 9 5. L’intuition, principe des principes 10 6. La logique ne dit rien sur le monde 10 7. La valeur de la

adéquat aux choses, suivant l'expression reçue, il possède la vérité. La certitude est l'état de l'esprit qui sait posséder la vérité: c'est donc l'effet de la vérité sur le moi. La certitude ne s'oppose pas à l'ignorance, dont le contraire est la science, mais au doute. Le doute, c'est l'état de l'esprit qui ne se sent pas en possession de la vérité. La question capitale qui se pose à propos de la certitude est de savoir ce qui la produit. On y répond immédiatement que c'est la vérité: il semble

par primalité mais par '' réflexe ''. L'essence humaine est telle que l'homme constate des faits et les interprète de manière « surnaturelle », ce qui n'est, selon Bergson, que « sa signification humaine » et pas une lacune ou un '' trop plein '' de primitivité. Les deux exemples utilisés par l'auteur suffisent à édifier ces '' axiomes ''. Bergson dément le paradigme de la majeur partie des hommes de « faits », c'est-à-dire qu'il réfute le fait que le primitif ne soit pas '' conscient '' de la nature

s’impose à tous. Sociologie comme science des déterminismes. M. WEBER (1864-1920. Fondateur de l’école allemande de Sociologie), insiste sur la relation sociale c'est-à-dire que le comportement d’un individu s’explique par le jeu des relations qui s’établissent avec autrui. Mon agir est conditionné par la perception que j’ai d’autrui et par le jeu d’interrelation. Le milieu social est le produit de l’interaction entre les individus. Sociologie comme science des interactions sociales. Deux conceptions

Dans la pub ou la politique, les sciences sociales sont devenues omniprésentes. Le sociologue doit prendre en compte le fait qu'il existe aujourd'hui un véritable « sens commun savant » → mélange du sens commun ordinaire et de produits des sciences sociales qui sont enseignées tôt et expliquer aux novices par des livres. Ce qui a provoqué le développement d'une attitude réflexive sur le monde social. Page 166: Multiplicité des métiers dans le champ des sciences sociales comme psychosociologue,