De Tocqueville Machiavel

chiader la copie, faire en sorte qu’elle soit parfaite. Pas de centrage de la question globale.
Le péritexte peut être très utile: * date de publication ou d’écriture (TOCQUEVILLE écrit ici en 1840 alors que les 2 autres textes sont contemporains). Ex: «Dès 1840», «Tocqueville déjà» * titres des textes (les titres étaient ici révélateurs) La QG Elle doit être précise (*«Comment les socs évoluent-elles?», *«A quels

auteurs. Les idées s'attarde qu'à la réalité des textes et on pense que dercrire ces idée c'est mettre en relation des auteurs. On oublit alors 2 critères : - Prendre le mot histoire au serieux, l'objet d'etude n'est pas historisé. Expliquer Machiavel avec Locke est donc completement faux puisqu'il n'a put le lire. - Une pensée est quelque chose qui se deploit dans un moment historique determiné. Elle a des objectifs et a donc une visée politique. Mais on ne peut rester dans une vision

morale relève de la sphère privée, de l'universel. J'ai des devoirs en tant qu'homme et par delà les frontières de mon État. On peut considérer que la politique est même un domaine où la morale n'a pas sa place : on peut penser au Prince amoral de Machiavel, au fait que l'intérêt général et le maintien de la société exigent parfois des actes, des sacrifices discutables du point de vue moral. La politique concerne la légalité et l'extériorité de mes actes pour ne pas nuire à autrui, la morale concerne

morale relève de la sphère privée, de l'universel. J'ai des devoirs en tant qu'homme et par delà les frontières de mon État. On peut considérer que la politique est même un domaine où la morale n'a pas sa place : on peut penser au Prince amoral de Machiavel, au fait que l'intérêt général et le maintien de la société exigent parfois des actes, des sacrifices discutables du point de vue moral. La politique concerne la légalité et l'extériorité de mes actes pour ne pas nuire à autrui, la morale concerne

sociologique du système politique A - lʼunité de la sociologie 1 - E. Durkheim 2 - lʼunité de la démarche sociologique B - lʼhistorique de la pensée sociologique du politique 1 - les précurseurs ou piliers de la sociologie politique (Montesquieu, Machiavel, Aristote, etc.) 2 - lʼessor de la sociologie (Comte, Durkheim, etc.) 3 - la sociologie politique contemporaine Ce cours nʼest pas un catalogue de tous les auteurs, mais les pensées exposées sont dynamiques Site internet : les classiques en sciences

par la fortune : sur quoi j'ajouterai, que moins il devra à la fortune, mieux il saura se maintenir. D'ailleurs, un tel prince n'ayant point d'autres États, est obligé de venir vivre dans son acquisition : ce qui diminue encore la difficulté. » Machiavel, Le Prince. L’idée d’un monde gouverné par Dieu et dans lequel les régimes politiques doivent s’accorder à cette fin qu’est la vie spirituelle (la vie selon la « loi naturelle » établie par Dieu) domine le champ des réflexions

par la fortune : sur quoi j'ajouterai, que moins il devra à la fortune, mieux il saura se maintenir. D'ailleurs, un tel prince n'ayant point d'autres États, est obligé de venir vivre dans son acquisition : ce qui diminue encore la difficulté. » Machiavel, Le Prince. L’idée d’un monde gouverné par Dieu et dans lequel les régimes politiques doivent s’accorder à cette fin qu’est la vie spirituelle (la vie selon la « loi naturelle » établie par Dieu) domine le champ des réflexions

la politique. Elle peut s’exprimé au travers d’institutions très variés, cette conception est restrictive. Pour d’autre, l’objet essentiel de la sociologie politique serait le pouvoir. Platon et Machiavel avaient eux développé cette approcher contrairement à Aristote qui a privilégié la cité. Machiavel a assimilé la politique à la contrainte, l’obligation. De nombreux auteurs contemporains partagent cette vision là. Donc tout rapport politique touche au phénomène du pouvoir. Cette notion là n’est

juste puisque tous pouvaient voter et participer à l’élaboration des lois. Il faudra attendre la période de la Renaissance en Europe pour y voir les prémices d’une ouverture vers la démocratie. La démocratie est alors réinventée progressivement. Machiavel, dans le Prince veut montrer la désacralisation du pouvoir politique ; il donne l’idée d’une loi sociale qui ne viendrait pas de dieu. Par la suite, ce sont les révolutions qui vont apporter la démocratie dans le monde. La lutte contre la monarchie

souveraine puissance c’est la démocratie. On considère que c’est Machiavel qui a le premier fondé l’idée démocratique moderne parce qu’il fait de son ouvrage il a fait un manuel de bon gouvernement. Pour lui le pouvoir est détenu par une entité humaine et ce gouvernant doit posséder des qualités. Ce sont des qualités humaines. (Habile, ferme, audace,…). Ces qualités doivent être utilisées pour conduire l’Etat. Par la suite c’est Tocqueville qui va apporter plus de sens à la notion de démocratie (1805