De Tocqueville Machiavel

construire une administration qui ne dépende que d’eux seuls, et dont les membres, contrairement aux seigneurs féodaux, ne sont pas les propriétaires de leur droit de commander, mais figurent comme de simples agents du pouvoir royal. Comme Alexis de Tocqueville le premier le mettra en évidence dans L’Ancien Régime et la Révolution, considérée sur la longue durée, la Révolution française ne fait qu’achever l’œuvre de liquidation de la féodalité que la monarchie avait depuis longtemps entreprise mais qu’elle

« la souveraineté est la puiss absolue et perpétuelle d’une rep ». « livre de la rep ». c une notion moderne. on considérait que le monarque était subordonnée à la nat a dieu … Bodin est le premier a montrer que tt est subordonné au pouv de l’E. Machiavel a permis de detacher le pouv (en matière de pensées) de l’E a tout pouv extérieur. c l’idée que la sphère pol n’est pas influencé par l’extérieur. bodin : La souveraineté fait que le souverain est au dessus des lois civils. pour lui la souveraineté

monarchie Absolue en 1649 (roi jugé déchu, condamné à mort) Espagne : deux grands règnes Italie : évolution différentes, de nombreux petits Etats «  le prince de Machiavel » précurseur de l’unification de l’Italie. Introduit le concept d’Etat dans les théories politique (Etat avant statuts : ordre, tiers Etat avant, à partir de Machiavel Etat : personne morale de droit public). Section 3 : Le gouvernement et l’administration du royaume : L’absolutisme tendait à la centralisation

Révolution. De la révolution à 1815 : « les origines de la France contemporaine » : La révolution est une rupture. La révolution aurait brisé en 2 l’histoire du monde. Des historiens ont nuancé cette conception d’un monde nouveau : Alexis de Tocqueville («L ‘Ancien Régime et la Révolution »). Sa théorie est qu’il n’y a pas seulement rupture, il y aussi une continuité. La même idée est reprise par François Furet, il a écrit « Penser la Révolution ». Pour lui, la centralisation du pouvoir est une

Lettres persanes ( 1734) et plus important encore de L’Esprit des Lois (1748), comme l’Anglais Hobbes ( 1588-1679 ; auteur du Léviathan ; 1651).ou encore un autre anglais John Locke ( 1632-1704), promoteur du libéralisme politique . Il y a aussi Machiavel (1469- 1527) auteur de nombreux ouvrages qui touchent à la politique et en particulier Le Prince, où à l’encontre des penseurs grecs, il ne s’agit pas pour lui de définir non le meilleur régime possible mais le plus efficace. 2/ Montesquieu

comme PLATON la formule du meilleur gouvernement possible, néanmoins par la richesse de son travail de collecte de données, il apparaît comme le précurseur lointain d’une méthode sociologique à un phénomène politique. Par la suite au 16° s, Nicolas MACHIAVEL écrit en 1513 « Le Prince ». Dans ce livre, il opère une rupture avec le discours philosophique et religieux. Il décrit la réalité telle qu’elle est, quel que soient les problèmes moraux que cela pose. Il dit ce qui est et donc non ce qui devrait

représentation au sens authentique, se heurte à la souveraineté populaire. Il n’y a pas de gouvernants sans gouvernés. Suffrage universel qui possède beaucoup d’impulsions. Représentants moralement, politiquement liés par l’opinion publique ?? De Tocqueville, Démocratie en Amérique, frappé en découvrant que le mérite était commun chez les gouvernés et peu commun chez les gouvernants. Mandat impératif possible ? C’est pratiquement irréalisable. Comment structurer ces instructions ? Qui va les imposer 

personnelles, c’est-à-dire sans spécifier ce qui le rend différent des autres. Un monde où tous se valent n’est pas un monde où « rien ne vaut une vie », mais un monde où une vie ne vaut rien. Cette problématique avait été bien entrevue par Alexis de Tocqueville, qui mettait en relation directe la montée de la valeur d’égalité et le risque d’uniformation au sein de la vie sociale (1). Elle a été reprise plus récemment par Hannah Arendt, qui montre que poser l’homme comme abstraction pure, c’est accroître

l’auteur d’un des premiers ouvrages de Science politique qui s’appelle Les Partis politiques publié en 1911. Ces trois auteurs appartiennent à un courant intellectuel qu’on a baptisé par la suite de néomachiaveliens en référence évidemment à Nicholas Machiavel, auteur du Prince au 16ème siècle. Et si on les qualifie comme tel, c’est parce que ces trois auteurs font une analyse extrêmement cynique et extrêmement pessimiste du fonctionnement de la démocratie. Pourquoi ? Pour deux raisons : les trois auteurs

levée de l'immunité parlementaire. Il y avait eu l'idée au XIXème de demander l'autorisation au CE pour que le juge ordinaire jugent le fonctionnaire, ce que le CE a fait dans 75% des cas contrairement à ce que pensaient les libéraux de l'époque (Tocqueville). La loi du 16 24 août 1790 ne dit pas qu'un nouvel organe est nécessaire => distinction entre dérogation et approche organique. Jusqu'en 1889 on a un jugement des actes administratif qui est le fait d'un organe qui n'est pas distinct, qui est l'administration