Décasyllabe

poème1)Versification2)CompositionII-Evocation métaphorique1)Fuite de la nuit2)Arrivée de l’aubeIII-Le visage de la femme1)Description et apparition de la nymphe2)Union d’une vision cosmique et d’un univers personnelI-La construction du poème1)Versification-14 décasyllabe. Rime classique : embrassées dans les quatrains + plates dans les tercets2)Composition-chaque strophe à un thème. progression temporelle = levé du jour-quatrain 1 : fuite de la nuit ‘’ étoiles vagabondes’’, caverne, sombre rappelle la nuit, ‘’noirs

A l'époque il était possible d'utiliser un mélange de vers variable mais ce n'était pas réglementaire. Le vers normal de la fable est l'octosyllabe, il est beaucoup employé « Un mal qui répand la terreur », vers 1. L'auteur n'a pas utilisé de décasyllabe car il est démodé et a une tonalité solennelle. Il se sert de manière importante de l'alexandrin qui est habituellement utilisé dans les tragédies. Le roi s'exprime en alexandrin, son discours et majestueux et il se veut convainquant. Le renard

pour suivre la musique dans la chanson, le poète joue avec les rythmes pour produire du sens et de l’harmonie. Le rythme Les vers les plus utilisés dans la poésie française sont l’octosyllabe, le décasyllabe et l’alexandrin. L’octosyllabe est un vers de huit syllabes, sans césure (coupure) ; le décasyllabe contient dix syllabes, avec une césure à la quatrième, cinquième ou sixième syllabe ; l’alexandrin comprend douze syllabes, avec une césure à la sixième – il comprend aussi, normalement, un accent

reprend un thème de Pétrarque et Rinieri : le levé du soleil dont la beauté est comparée à celle de la femme aimée mais qui éclipse le soleil. Il célèbre le jour mais surtout la femme de ses désirs. – – I- Un sonnet conventionnel – – Quatorze décasyllabes. Les deux premiers quatrains forment une unité tout en étant opposés. Les deux quatrains commencent de la même manière (anaphore de « Déjà ») et sont tous deux à l’imparfait. Les verbes ont d’ailleurs la même place dans chaque strophe : « amassait

porteraient à croire qu’ils furent écrits à une époque où son art avait atteint son apogée. Il faut pourtant observer qu’on y trouve deux souvenirs assez nets de Banville, indication qui mènerait vers les années qui précédèrent 1848. Dans ce sonnet de décasyllabes, aux rimes croisées (elles devraient être embrassées dans les quatrains), on trouve bien la traditionnelle opposition entre les quatrains où est évoquée la vie des amants avant la mort, et les tercets, où sont évoqués la mort et ce qui la suit

allitérations qui suggèrent le bruissement, le chuchotement. La nature est personnifiée. Il y a un effet de fluidité, de continuité de régularité réalisé par les sonorités mais aussi la syntaxe avec des phrases longues et la versification du poème en décasyllabes et en rimes plates avec des césures fréquentes à l’hémistiche qui confère au poème une grande monotonie. On rencontre beaucoup de sons nasalités "ai, en, in" traduisant la douleur et des verbes à l'imparfait pour ajouter à la durée. Dans cette

les charmes Si mystérieux De tes traitres yeux 12- Brillant à travers leurs larmes. » Charles Baudelaire, « L’Invitation au voyage » (Les Fleurs du mal) 1) Les principaux types de vers : 12 syllabes = alexandrin 7 syllabes = heptasyllabe 10 = décasyllabe 6 syllabes = hexasyllabe 8 = octosyllabe 5 syllabes = pentasyllabe Expl : « Mon enfant, ma sœur » = pentasyllabe (mon / en / fant / ma / sœur) 2) Le problème du e muet : Dans certains cas un problème se pose : faut-il prononcer e ou non ? Ce problème

(1969), un receuil de poemes de Verlaine. Verlaine dans ce poeme, évoque la rencontre désespérée de deux êtres qui se sont aimés ainsi que la disparition des souvenirs  grâce à un dialogue. Ce poème est constitué de strophes et de 8 distiques de décasyllabes en rimes suivies. Quatre de ces distiques constituent un dialogue qui donne une touche théâtrale à ce poème. Les deux personnages n'ont pas d'identité, ce sont donc des êtres décrites à l’état spéctral (Vers 2 : « deux formes », vers 6 : « deux

père/ colère/pas » , « infidèle/elle », « guérir/peine/mourir/Chimène »aussi dans la versification : répétition d'un même schéma 2 fois  : 1 octosyllabe : vers 14 alexandrins : vers 2, 3 , 4 et 5 1 hexasyllabe vers 6 1 décasyllabe vers 7 1 héxasyllabe vers 8enfin 2 décasyllabe : vers 9 et 10 les schémas répétés deux fois divise le texte en 2 dizains Plus précisément , on retrouve la binarité dans les alexandrins : la césure sert à diviser le thème du vers  : « noble et dure contrainte » on parle

sciences. Le Portrait mythologique de François Ier présente le roi avec les attributs des dieux romains Minerve, Mars Mercure et Diane : il a le caducée de Mercure, lecarquois de Diane, l’égide de Minerve et les armes de Mars. De plus, le poème en décasyllabe en fait l’éloge dans toutes les disciplines : « François en guerre est un mars furieux / En paix Minerve etDiane à la chasse / A bien parler Mercure copieux… » v. 1-3. François Ier rassemble donc toutes les qualités. Ce document emploie aussi la