Décasyllabe

1- Éléments de versification Le décompte prend pour unité la syllabe. Les différents types de vers Les vers les + courants sont « pair », c'est à dire un nombre pair de syllabes : six syllabes = hexasyllabes huit = octosyllabes dix = décasyllabes douze = alexandrin Les syllabes Il faut tenir compte de la règle dite e muets : on compte le e lorsqu'il est placé devant une consonne ; on ne le compte pas lorsqu'il est placé devant une voyelle, ou lorsqu'il est en fin de vers. Diérèse

vers en a généralement treize. Forme moderne : ce poème est composé de vers libre ( majuscule, retour à la ligne ) Forme poétique : La Ballade ressemble le plus à ce poème. ( elle comporte en général trois strophes de huit octosyllabes ou décasyllabes, suivies d'une demi-strophe appelée envoi. L'ensemble est construit sur trois rimes seulement. Chaque strophe se termine par un même vers, le refain. Donnez la valeur des trois temps employés dans le texte. Comment leur succesion exprime-t-elle

1 LA POESIE AU MOYEN AGE 2 3 Les chansons de geste La geste ou chanson de geste désigne un long poème en décasyllabes ou, plus tardivement, en alexandrins, relatant des épopées légendaires héroïques mettant en scène les exploits guerriers de rois ou de chevaliers, remontant aux siècles antérieurs. Ce type de récit apparaît à l’aube de la littérature française, vers la fin du XIe siècle. Les chansons de geste sont caractéristiques de la littérature médiévale et prennent la suite

ne ce passe comme il l’avait prévu. Le troisième texte est une fable de Jean-Pierre Claris de Florian publié en 1792, L’âne et la flute. Cette fable est écrite en vers. On trouve des octosyllabes (8vers), des alexandrins (12vers) ainsi que des décasyllabes. Les rimes sont croisées et embrassées. A l’aide de ces trois textes nous exprimerons avec nos propres mots les morales de ces fables ainsi que les procédés qui facilitent la compréhension du message que veulent faire passer chacun des auteurs

neuvième siècle qui fait parti du mouvement romantique. Les Contemplations est un recueil de poème paru en 1856. Le poème "15 février 1843", la date du mariage de sa fille, fait parti de se recueil. Il est composé de deux strophes ( Quatrins ) de décasyllabes et d'alexandrins avec des rimes embrassées. Les thèmes principaux sont l'amour , la joie et la mort. Explication du texte : Dans ce poème Hugo ne donne aucune indication sur le lieu , mais on peut remarquer une atmosphère de joie en confusion

première partie en vers, et d'une deuxieme partie en prose. Les réègles de versifications sont respectées, nous remarquons une volonté de maitrise sur le plan du style. L'auteur revendique l'héritage classique: il préviligie les octosyllabes, les decasyllabes et les alexandrins; un seul de ses poèmes compte des vers impaires (Invitation au voyage); la césure est respectée; les rimes sont travaillées, et nous pouvons compter de nombreux quatrains et sonnets.

imparfait, plus-que-parfait, conditionnel) • présence d’un cadre spatio-temporel • présence de personnages. 2. LE GENRE POÉTIQUE Le texte poétique se définit par un usage différent de la langue. Il se distingue par : • des vers (alexandrin, décasyllabe) ou en prose • un jeu sur les sonorités (assonances, allitérations) • un travail sur le rythme • la présence possible de formes fixes, telles le sonnet, la ballade • la présence possible de rimes 3. LE GENRE THÉÂTRAL Le texte théâtral

l’on rencontre fréquemment à cette époque jusque dans les écrits de la Pléiade avec Ronsard par exemple) basé sur la contradiction des sentiments amoureux. Petite pause LECTURE Pause 5 secondes Il s’agit donc d’un sonnet amoureux écrit en décasyllabe sur le modèle abba abba cdc cdd. Celui-ci est écrit par une femme ce qui bouleverse les topoï établis par une littérature majoritairement masculine. Ainsi, Louise Labé, que l’on peut supposer être l’amante ici représentée, utilise un « je » lyrique

aux « coups épouvantables » (22) des vents. Mais l’humble roseau ne craint pas de démentir ce que le chêne présentait comme une vérité universelle ne souffrant aucune exception : « les vents [lui] sont moins qu’[au chêne] redoutables » (20). Ce décasyllabe (seul vers de ce format) contient tout simplement la réfutation intégrale de la thèse du chêne. Insidieusement, le roseau glisse même aussitôt l’argument qui fonde cette thèse audacieuse : « [il] plie, et ne rompt pas » (21), ce qui est une façon

s'agit d'un sonnet italien régulier dont les vers sont des décasyllabes. Les vers sont rassemblés en deux quatrains puis deux tercets. Les rimes sont donc arrangés comme suivant : ABBA / ABBA /CCD / EED. Ensuite passons à l'aspect formel de la chanson de Brassens : elle est composée de 36 vers répartis en neuf quatrains. La chanson possède un refrain qui se trouvent dans les strophes 2, 4, 6 et 9. Les vers sont également des décasyllabes, sauf les vers 2 et 4 des refrains. Les rimes sont composées