Décollage

méthanol comme carburant et de l’oxygène comme comburant. Les réservoirs et le moteur consituait l’essentiel de la fusée. L’ogive ,le nez de la fusée, contenait 738kg de charges explosives.La fusée pesait 13 tonnes et avait 26 tonnes de poussée au décollage. Sa vitesse maximale était de 5400km/h avec une porté de 320km et une altitude maximale de 96km. Cette fusée fut utilisée essentiellement comme arme de combat pendant la Seconde Guerre Mondiale à partir de 1944. Architecture du missile V2 Après

la « dépendance » II - Perspective « évolutionniste » et « décollage » A - Le développement économique comme succession d’étapes 1 - ROSTOW et « Les étapes de la croissance économique » 2 - Les critiques à la théorie de ROSTOW B - Le rôle du capital dans le « décollage » 1 - Les conséquences d’une insuffisance de capital 2 - Le modèle HARROD-DOMAR 3 - L’analyse des sources de la croissance 4 - Du capital pour financer le « décollage » III - Accumulation du capital et industrialisation A - L'approche

Nature du travail Contrôle avant le décollage Le travail des hôtesses de l'air et des stewards (personnels navigants commerciaux, ou PNC) débute bien avant le décollage par un premier contrôle des équipements de sécurité en cabine (gilets de sauvetage, masque à oxygène...). Puis ils accueillent les passagers, en prêtant une attention particulière aux enfants non accompagnés et aux personnes handicapées. La sécurité avant tout Une fois à bord, ils réalisent, pour les voyageurs, des démonstrations

(engrais) Démographique (nutritions meilleures, milieu plus sain) Transports (facilite les échanges) Evolution sociale : rapport de classes (bourgeoisie, salariat), stabilité de l’etat (mais rôle limité) France : Un développement industriel sans décollage Une industrialisation progressive : essor industriel graduel au cours du XIXe s Trouble liés a la révolution : impact négatif sur la croissance (a court terme) Modernisation de l agriculture et des transports mais pas de revolution comme en Angleterre

geste de respect pour la concurrence et comme preuve que nous supportons le choix des services et l’accès à des tarifs compétitifs pour les passagers sur ces routes. * On ne peut pas leur donner plus de 47 paires (94 créneaux individuels de décollage et d’atterrissage). Et on ne peut pas céder plus de six nouveaux vols aller-retour par jour entre Paris et Amsterdam à la concurrence. * Au niveau international on ne cédera pas plus d’un vol entre Amsterdam et New York par jour. * Nous

a guidé le décollage en Asie et a servi de cadre à la revanche des Etats pétroliers III l’Etat-nation en crise 1. Le modèle de l’Etat-nation a pourtant ses adeptes : il a guidé le décollage en Asie et a servi de cadre à la revanche des Etats pétroliers Mais les Etats-nations tirent un profit inégal de la stratégie globale des firmes dans le cadre mondialisé III l’Etat-nation en crise 2. 1. Le modèle de l’Etat-nation a pourtant ses adeptes : il a guidé le décollage en Asie et

grâce à lui que l’avion peut s’immobiliser après l’atterrissage, circuler au sol en toute sécurité mais également s’arrêter en cas d’urgence lors d’une interruption de décollage alors que l’avion est à pleine charge de carburant et lancé à la vitesse de décollage (même si le risque est de l’ordre de 1 pour 1 million de décollages). Outre les freins, le pilote peut aussi actionner les inverseurs de poussée des moteurs et les aérofreins. La fonction globale de freinage doit répondre à des exigences

caractéristiques.Inconvénients de l’appareil :Les autorités américaines ont, en 1977, mesuré à 119,4 décibels le bruit émis par le Concorde lors d’un décollage à Washington. Les quatre réacteurs Rolls-Royce/Snecma Olympus 593 du Concorde étaient puissants, mais aussi très gourmands. Ainsi, l'appareil consommait près de 20 tonnes de kérosène par heure de vol. Rien qu'au décollage, il brûlait chaque minute 450 litres de carburant. La consommation par passager était ainsi estimée à 14 litres pour 100 kilomètres parcourus

cinétique de translation est ainsi transférée en énergie interne de vibration, ce qui limite l’élasticité du choc. Dans le cas où l’impact est nettement plus violent (nombre de Weber de quelques dizaines), les déformations de la goutte à l’impact et au décollage sont beaucoup plus prononcées : une sorte de quille se forme, qui éjecte des petites gouttelettes, et les vibrations de cette quille, visibles dès qu’elle décolle, conduisent à des formes particulièrement insolites, comme le montre la Figure 7.

Pression économique et politique : => NASA sacrifie des standards de sécurité • Morton Thiokol prévient de l’explosion, managers et Inge veulent reporter le décollage mais responsables de l’évaluation convaincus que le risque était acceptable. • On a un processus rationnel de décision mais la décision est irrationnelle. Décision détraquée. • Boosters= joint d’étanchéité des fusées (lançant navette et réservoir de carburant dans l’espace) NASA= grande organisation publique moderne