Déesse hindoue

Sanatana Dharma (loi éternelle), est une religion pratiquée par les Hindous (à ne pas confondre avec les Indous, les habitants de l'Inde) qui n’a ni fondateur ni prophète. L'Hindouisme est l'une des plus anciennes religions encore pratiquée de nos jours, depuis 2500 ans avant JC. Elle vient de la région du fleuve Indus, qui a donné son nom à la civilisation du même nom, se trouvant à présent, au Pakistan. Historiquement, « hindou » ne fait pas référence à un système de croyance religieuse ; le

hérétiques à Mahomet. Cet incident aurait eu lieu à La Mecque, huit ans avant l'hégire, alors que Mahomet récitait la sourate de l'Étoile, dans laquelle sont mentionnées trois déesses considérées par les Koraïchites païens, comme des " filles de Dieu ". D'après Maxime Rodinson, al-Lat, al-`Uzzâ, et Manât étaient, des déesses préislamiques appelées les « filles d'Allah ». Mahomet avait, dans une première version, recommandé qu'on leur rendît un culte, ces versets prononcés puis abrogés, sont les fameux

Présentation de la religion hindou Un historique de la religion hindou Les caractéristique clef de la religion hindou Le système de caste Présentation de la religion hindou Un historique de la religion hindou ------------------------------------------------- Chronologie[modifier] ------------------------------------------------- Préhistoire[modifier] L’existence d’une religion préhistorique en Inde a été trouvée dans les traces de la Civilisation de la vallée de l'Indus, comprenant

l'associant à celui des Maries pour lui donner une authenticité.  Sara pourrait être l'avatar christianisé d'une déesse hindoue dont ils auraient conservé le culte au cours de leur exode. Elle serait en fait la redoutable déesse Kali la Noire- , l'épouse de Shiva, représentée sous son aspect maléfique, noire de visage et assoiffée de sang. A moins que Sara ne rappelle une autre déesse hindoue, Saraswati, épouse de Brahma, souvent figurée montée sur un cygne (qui serait devenu la barque de Sara). Il

Mythologie Hindoue : Les Ashvins Les Ashvins, ou " cavaliers ", selon la mythologie hindoue, sont deux jumeaux couleur d'or qui conduisent un char doré à trois roues tiré par des chevaux ou des oiseaux. Nommés Nasatya et Dasra, ils apportent la félicité à l'humanité, et symbolisent la force et l'énergie. Nés du soleil et de la déesse des nuages Saranyu, les Ashvins épousèrent tous deux des filles de la lumière. Chaque matin, ils traçaient un chemin dans les nuages pour la déesse de l'aurore Ushas

à la fois par la volonté de Zeus et par celle du principe d'Héra, manifestation de la Grande Déesse. Héra, la sœur/épouse du grand dieu avec laquelle, aussi puissant fut-il, il ne pouvait que négocier, c'est-à-dire, symboliquement, s'harmoniser. Par ruse le nourrisson fut allaité au sein d'Héra endormie, afin que le fils divin devienne un immortel. Informée de cet allaitement involontaire, la déesse pardonna difficilement ce qu'elle considérait comme un affront, et pour se venger suscita de

anti-braconnage ont été crées et le commerce de leur peau a été interdit dans de nombreux pays. Et pour finir un petit point de mythologie : En Orient, le tigre est le symbole du courage, de la force et du pouvoir royal. Dans la religion hindoue, la déesse Durga se déplace sur un tigre, et le dieu Shiva est vêtu d’une peau de tigre.

rencontre d’un ensemble de cultes et c’est une façon de penser et de vivre autant qu’une religion. C’est aussi une recherche de la connaissance de soi et du divin présent en chaque individu. Il est fondé sur la théorie de la réincarnation. Pour les Hindous, la libération constitue le but essentiel de la vie et plus généralement celui de toute évolution. Cela correspond à la sortie de cette ronde des morts et des naissances : c’est le Nirvana. En faite, de leur point de vu, nous subissons donc, tout

Sganarelle sont deux opposés qui trouve son complémentaire dans l'autre. On sent une amitié et une fraternité entre eux. La mort de Dom Juan: une succession d'image défilant à grande vitesse, sans aucun rapport. La mort est représentée par une déesse hindoue vêtue d'un sari et entourée de flammes. Elle est aussi représentée par les visages des personnages de la pièce, livides, la bouche customisée, rappelant la bouche des têtes de mort. Tous ces visages invitent Dom Juan à venir dîner avec eux ce

annelée de rides, décimée par l'âge ; sa longue barbe flottait comme un nuage blanc sur les étoiles en pierreries qui constellaient la robe d'orfroi plaquée sur sa poitrine. Autour de cette statue, immobile, figée dans une pose hiératique de dieu Hindou, des parfums brûlaient, dégorgeant des nuées de vapeurs que trouaient, de même que des yeux phosphores de bêtes, les feux des pierres enchâssées dans les parois du trône ; puis la vapeur montait, se déroulait sous les arcades où la fumée bleue se