Deficit Exterieur En France

richesse d’une nation vient de sa population. * Le mercantilisme en France : en France les textes en faveur des taxes sont plus tardifs. Antoine de Mont Chrétien (1575-1621) Contrairement à l’Espagne, le France ne dispose pas de mine de métaux dans ses colonies. Pour que le pays obtienne cette monnaie, il faut la faire venir de l’extérieur via le commerce. Il faut un excédent commercial avec l’étranger. Le problème en France est de capter les métaux précieux, d’où l’idée de développer les manufactures

s’agit d’un grand pays. En sens inverse, la zone euro protège ses membres des marchés financiers (ceux-ci ne peuvent plus sanctionner spécifiquement la politique d’un pays) et leur permet de financer facilement leurs déficits extérieurs : ainsi, la France a-t-elle pu avoir un déficit de 2,6% du PIB en 2005 (et l’Espagne, le Portugal ou la Grèce de l’ordre de 8%). La contrainte extérieure n’existe plus à court terme. La politique budgétaire est donc la seule qui reste de la responsabilité des gouvernements

Introduction: Lorsque les recettes du pays, ne couvrent pas les dépenses publiques, c'est-à-dire lorsque le solde budgétaire est négatif, il y a déficit. Pour financer ce déficit, les États ont recours aux deux autres ressources : l’emprunt à la banque centrale qui donne lieu à l’émission de monnaie (mais cela est interdit dans l’UE depuis 1993 par le traité de Maastricht), soit par emprunt auprès des agents privés ou d’autres États. En 1999, 11 pays adoptaient la même monnaie, confiant leur politique

III- Débat autour du retour au franc et du maintien de l'euro a-Des arguments et les parties politiques favorables au maintien de l'euro et ceux au retour d'une monnaie nationale b-Les conséquences futures du maintien de l'euro et du possible retour à la monnaie nationale a- Nous allons tout d'abord aborder les parties favorables au maintien de l'euro. Selon le partie du front de gauche avec comme représentant Jean-Luc Mélenchon l'euro ne devrait pas être supprimé mais repensé et profondément

CH3 Le commerce extérieur de la France Le léger recul du déficit commercial en mai à 5,3 milliards d’euros contre 5,8 milliards en avril, reflète l’atonie de l’économie française. Les exportations progressent mais lentement (+1,3%) alors que les importations se sont stabilisées, du fait du recul des achats énergétiques. Côté exportations, les échanges de produits agricoles et les industries agro-alimentaires restent excédentaires avec un dynamisme agro-alimentaire marqué. Dans un contexte

des dépenses d’un point du PIB augmente 1 à 1.25 point du taux d’intérêt, à une offre monétaire constante. La hausse du taux d’intérêt suite à des politiques budgétaires de relance est plus important au Japon, en Allemagne et aux RoyaumeUni qu’en France et aux USA. Dans un régime budgétaire dit rocardien, les ménages anticipent une quantité d’épargne pour répondre à la hausse future des impôts. L’effet de relance budgétaire est alors minimisée et incite à épargner, pas à consommer. La reprise de

produits extérieurs limités au maximum. Mais depuis 1993, sous la pression des pays partenaires, l’agriculture connaît un tournant libéral. Elle reste cependant fortement soutenue, davantage subventionnée que la moyenne des pays de l’OCDE. Les marchés publics sont également étroitement surveillés et ce sont des entreprises japonaises qui les remportent dans la majorité des cas. Les frictions commerciales se sont multipliées dans les années 80 et 90. Face aux multiples obstacles et au déficit structurel

La maîtrise de l'émission de la monnaie fiduciaire est une prérogative régalienne qui revient à l'État. Ce contrôle de la création monétaire a peu à peu été confié aux institutions de crédit qui accordent des financements aux agents économiques en déficit de financement. Il n'en demeure pas moins que les autorités monétaires exercent un contrôle indirect sur le processus de création monétaire en encadrant ce processus de création monétaire. Modalités de mises en oeuvre : Les autorités monétaires

conjoncturelle, regroupe l’ensemble des mesures prise par les pouvoirs publics en vue d’agir sur les différentes variables macroéconomiques, à savoir la croissance, l’inflation (hausse des prix), la problématique de l’emploi (taux de chômage), et le solde extérieur (la balance commerciale). Ces politiques ont été très efficace pendant les 30 glorieuses mais semblent de plus en plus remises en question. I.Des politiques efficaces pendant les 30 glorieuses 1) Utilité des politiques conjoncturelles

l’activité qui se traduit par une hausse des prix (maitrisée à 2%, mandat de la BCE), Taux de chômage (abscisse) : Il mesure la population active à la recherche d’un emploi (pour la France, par exemple, le plein emploi correspondrait à un taux de chômage de 4%), Solde de la balance des paiements (abscisse) : Il mesure les déficits ou excédents dans les échanges avec le reste du monde (objectif = excédent, cf. politique menée par l’Allemagne ces dernières années). Ainsi, chaque pays peut mesurer son efficacité