Deflation

10% » (Gérard Marie HENRY, page 51, La crise de 1929). 3- REPERCUSSION SOCIALE La demande globale a continué de baisser de manière quasi continue entre les années 1929 et 1933, ce qui a entraîné une dégradation progressive de l’emploi et de la déflation La chute des dépenses de consommation Suite au déclenchement de la Grande Dépression, les dépenses de consommation intérieure s’effondrent. On peut penser que le krach boursier ait freiné les dépenses en consommation des ménages par son caractère

masse monétaire augmente (hypothèse forte) → augmentation du prix des exportations → diminution des quantités exportées, alors que c'est l'inverse qui se produits chez les partenaires en déficit : sortie d'or → contraction de la masse monétaire → déflation (hypothèse forte) → quantités exportés qui augmentent et quantité importés qui diminuent. C'est donc un équilibre automatique par le jeu des entrées et des sorties d'or des balances extérieures. C'est un effet des prix sur les quantités. HUME appelle

dans les théories économique A l'heure actuelle où l'on parle de refinancement bancaire, d'injection de liquidités dans l'économie tel qu'a été récemment le « quatitative easing 2 » aux Etats-Unis afin de soutenir la croissance et éviter la déflation, on est en droit de se demander quelle est la place de la monnaie dans le circuit économique. As-t-elle une réelle importance? C'est pour cela que nous allons étudier les différentes approches des économistes vis à vis de celle ci. Nous allons analyser

revenu s’est accompagné un peu partout par la baisse du taux d’épargne, tendance souvent masquée par une montée de l’épargne de précaution devant les perspectives économiques. L’inflation Par ailleurs, toujours à court terme, l’inflation (ou la déflation) joue un rôle très important dans la constitution de l’épargne car elle modifie la richesse des agents. Son action peut être appréhendée à deux niveaux : - au plan des encaisses réelles. En réduisant le pouvoir d’achat des avoirs monétaires

l’augmentation d’un seul prix ne suffit pas pour parler d’inflation. Cette hausse doit concerner un nombre relativement important de biens. Il ne faut pas confondre l’inflation avec la désinflation et la déflation. La désinflation est un ralentissement de la hausse des prix. (Taux toujours positif) La déflation est une baisse générale et continue des prix (taux d’inflation négatif) Mesure de l’inflation L’indice des prix a la consommation I.P.C est relevé par l’INSEE a partir du relevé des prix de nombreux

monaie etant un etalon de valeurs, sa variation n’est pas alors directement mesurable. On l’evalue a travers la variation des prix a la consommation des biens et services. Il s’agit de l’inflation en cas d’augmentation du niveau des prix et de la deflation en cas de baisse du niveau des prix. D’une part l’inflation : ce phenomene s’accompagne d’une augmentation de la quantité de monnaie dans l’economie. En effet une augmentation generale des prix est dùe a une augmentation du pouvoir d’achant des

en matière d'emploi et de salaires. Le ralentissement de la demande intérieure qui en a résulté a provoqué la montée d'un chômage de type keynésien. La « purge », sans doute poussée trop loin pour certains, a conduit les économies au bord de la déflation dans les années 1990. Une tendance nourrie et même par ailleurs rendue nécessaire aussi par l'exacerbation de la concurrence internationale dans la mondialisation. B. La désinflation compétitive a toutefois permis de maintenir

nation, creuse le déficit commercial et accentue un chômage qui atteint 400 000 personnes en mars 1933 et 1 200 000 en mars 1934 (auxquelles il faut ajouter de 1,5 à 2 millions en chômage partiel). La politique de Laval1, en 1935, en imposant une déflation brutale, va accentuer la spirale dans laquelle sombre le pays, et précipite l'accession au pouvoir d'un Front Populaire (en 1936) qui va mettre en œuvre une politique alternative et opposée (de nature keynésienne). En effet, le gouvernement Laval

La crise japonaise, ou comment un pays riche s’enlise dans la déflation Évelyne Dourille-Feer, Cyrille Lacu* p. 76-90 Jusqu'en 1991, la solidité de l'économie nippone a reposé sur un modèle de développement dont les grandes lignes ont été tracées dès la seconde moitié du XIX e siècle et le début du XX e siècle, puis remaniées marginalement après la Seconde Guerre mondiale. Ce modèle, conçu avec un objectif de rattrapage – donc de croissance forte – et dans un contexte de relative fermeture

spirale inflationniste, un réel succès. Cependant, la récession économique du début des années 1990, puis celle du début des années 2000, ont fait resurgir le spectre de la déflation, redonnant une actualité nouvelle à un débat que l'on croyait définitivement tranché: faut-il craindre davantage, autant ou moins l'inflation que la déflation ? Jusqu'où la désinflation est-elle une « bonne » politique ? Tolérer l'inflation permet-il d'éliminer le chômage, ou bien cet arbitrage n'est-il qu'une illusion, l'efficacité