Déglutition atypique

et post-prandiaux. - Il faut rappeler que le volume d’air dégluti par un nourrisson est de l’ordre de 150 ml pour un biberon de 100 ml de lait. Cet air n’est pas absorbé et doit être éliminé soit par le « rôt », soit par des « gaz ». - Une déglutition excessive d’air peut être liée à : . Une tétée réalisée dans des conditions non satisfaisantes (trop rapide, trop prolon-gée) ; . L’absence de rôt ; . L’usage de la sucette ; . Un encombrement rhinopharyngé chronique ou aigu. - La nature

semaine, des anniversaires...). Les personnes atteintes ont de plus en plus de mal à s’exprimer verbalement; Entre les stades modéré et avancé : des problèmes de comportement inhabituels surgissent parfois : par exemple, de l’agressivité, un langage atypique, ordurier ou un changement des traits de la personnalité. Stade avancé (ou terminal) : À ce stade, le malade perd son autonomie. Une surveillance permanente ou l’hébergement dans un centre de soins devient nécessaire. Des problèmes psychiatriques

sur milieux spéciaux | |Traitement |En milieu hospitalier, réa si nécessaire | Pneumopathies atypiques |Agent |Chlamydia, mycoplasma | |Clinique |Souvent moins aigu

développement inclus : * l'Autisme dit de Kanner ou Infantil * le Syndrome d'Asperger * le syndrome de Rett, * le Trouble désintégratif de l'enfance * le Trouble envahissant du développement non spécifié. (comprend l’autisme atypique) L’autisme infantile ou autisme de kanner C’est en 1943 que Leo Kanner a parlé pour la première fois d’autisme infantile. Avant ces recherches, les enfants atteins d’autisme étaient souvent considérés comme des insuffisants mentaux arriérés

(2010 – page 14) apporte un complément intéressant dans le cadre du développement du polyhandicapé, il est dit que : Ces déficiences peuvent engendrer de graves surhandicaps au niveau : Digestif (troubles nutritionnels du fait des troubles de déglutition, reflux gastro-œsophagien et œsophagite) ; Respiratoire, avec une fragilité broncho-pulmonaire (conséquence des fausses routes, du reflux gastro-œsophagien et des problèmes musculaires) ; Orthopédique, associant des déformations multiples (luxation

maltraitance, hospitalisation, entrée en institution. o Bucco-dentaires : trouble de la mastication, mauvais état dentaire, appareillage non adapté, sécheresse, candidose, dysgueusie. o Troubles de la déglutition : pathologie ORL, pathologies neurodégénératives ou vasculaires. Les troubles de la déglutition sont très fréquents en EHPAD et doivent euxmêmes faire l’objet de protocoles de prévention et de gestion des fausses routes. o Psychiatrie : dépression, troubles du comportement. o Neurologie : maladie

systématiquement chez le sujet âgé, en cas de grossesse, chez le patient éthylique ou immunodéprimé. - Le tableau est celui d’une rhombencéphalite avec des signes d’atteinte du tronc cérébral (paralysie oculomotrice, paralysie faciale, troubles de déglutition) et une ataxie. Le début est volontiers subaigu avec ensuite une évolution progressive des symptômes. 8.3 Données du LCR ( tuberculose et listériose) et autres examens - Pléiocytose à prédominance lymphocytaire ou formule panachée (surtout

fait partie de la catégorie des Troubles Envahissants du Développement (TED) CIM-10 Les Troubles Envahissants du Développement : - Autisme infantile - Syndrome de Rett - Autres troubles désintégratifs de l'enfance - Syndrome d'Asperger - Autisme atypique - Autres troubles envahissants du développement - Troubles hyperactifs avec retard mental et stéréotypies TED Troubles du Spectre Autistique (TSA) dans le futur DSM-V (2012) et dans la CIM-11 (2014). L’autisme : * * www.participate-autisme

vont réguler ces perturbations en modifiant la concentration d'un ou plusieurs neurotransmetteurs au niveau des synapses. Sur quels neuromédiateurs agissent-ils ? NEUROLEPTIQUES (NL) ( DOPAMINE ( D1, D2, D3) Neuroleptiques atypiques ( DOPAMINE (Leponex*, Risperdal*, Loxapac*) ( SEROTONINE (5HT) ANTIDEPRESSEURS (ATD) ( NORADRENALINE (NA) ( SEROTONINE (5HT) ANXIOLYTIQUES ( système GABA L'action en parallèle

voit régulièrement. C’est à ce moment qu’il développe une psychose : Il est suivi depuis un an pour une psychose au CMP de X avec un traitement sous RISPERDAL en intra musculaire 37.5 mg tous les 15 jours. (La RISPERDAL est un antipsychotique atypique, c'est-à-dire un neuroleptique de seconde génération. Elle existe sous différentes formes galéniques : la forme orale en comprimé, ou solution buvable utilisées chez l’adulte pour le traitement des psychoses, en particulier de type schizophréniques