Demarche Poétique Originale Baudelaire

reconnaissance internationale ; ne se limite pas à l’audience française. A Madrid, va s’ouvrir expo importante de Delacroix. Expo en Allemagne sur Delacroix début 2000 à Karlsruhe. Delacroix est un artiste-monde. Œuvres de Delacroix a séduit Baudelaire. * Delacroix, Cheval , lithographie Vivacité, nerf qui emprunt toutes ses œuvres et reflète les vibrations du temps. Un des sujets qui traduit le mieux ce mouvement : le bestiaire qu’il a choisi, choix aidé par sa connaissance de l’Orient

2 Tacite, Annales TEXTE 3 J. Racine, Iphigénie D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Eschyle, Agamemnon ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS 37 37 38 39 40 41 42 43 44 44 44 45 45 45 46 Le classicisme Exercices d’approfondissement 1 Aristote, Poétique 2 P. Corneille, Cinna 3 P. Quinault, Thésée 4 J. Racine, préface d’Andromaque 5 W. Shakespeare, Le Roi Lear Prolongements Entretien avec la metteur en scène N. Garraud Séquence 4 La tragédie classique et sa postérité P. Corneille, Horace H

Chef-d'œuvre inconnu, le roman fantastique avec La Peau de chagrin, le roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Mais ses romans réalistes et psychologiques les plus célèbres comme Le Père Goriot ou Eugénie Grandet, qui constituent une part très importante de son œuvre, ont induit, à tort7, une classification réductrice d'« auteur réaliste»8. Les études balzaciennes récentes soulignent au contraire le romantisme de Balzac et la poétique de ses romans, notamment dans Lys dans la vallée, ainsi que l'inspiration

dialectes différents ; la langue homérique est une langue composite, jamais parlée ; c’est un objet littéraire. Il en va de même du monde dépeint dans ces textes ; artificiel, composite, voisinage du plus ancien et du plus moderne. C’est un monde poétique et non pas le reflet d’une société historique. La question homérique : l’œuvre serait d’un éditeur tardif. Au 19ème, les analystes s’opposent aux unitaires. Les analystes cherchent à isoler un poème primitif qui serait dû à Omettre et tentent

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 Le poème en prose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56 Les jeux poétiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58 Figures de style : les images . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Texte C : Extrait du chapitre 2 (livre IV, t. XII) des Misérables de Victor Hugo (pp. 263264). Texte D : Extrait du chapitre VI de L’Assommoir d’Émile Zola (pp. 264-265). Texte E : Poème Enivrez-vous, extrait des Petits Poèmes en prose de Charles Baudelaire (p. 265). Document : L’Ivresse de Polichinelle de Joseph Faverot (p. 266). Objet(s) d’étude et niveau(x) Le théâtre : genres et registres (le comique et le tragique) (Seconde). Le théâtre : texte et représentation (Première). Compléments aux travaux

possibilités de changement social ou des pesanteurs sociales, qui se voient dans la culture comme ailleurs. 2. une trilogie classique : l’auteur, l’œuvre, le public. Introduction Qu’est- ce que se préoccuper des publics ? Aristote et sa poétique : pour comprendre une œuvre et l’interpréter, il y a trois entrées complémentaires : l’auteur, l’œuvre, le lecteur ou le spectateur. Parler de «  socio des publics », est-ce une manière de ne s’intéresser qu’a un des termes du triangle : auteur-œuvre-public 

Introduction Cette analyse va prendre en considération le recueil de poèmes Poeta en Nueva York, de Federico García Lorca, pour en étudier quelques sections du point de vue de l´analyse du langage poétique et des thématiques. Poeta en Nueva York est un texte très particulier dans le contexte de l´oeuvre poétique de García Lorca: celui-ci, poète espagnol du début du 20ème siècle, avait écrit plusieurs recueils de poésies, ainsi que de nombreuses pièces de théâtre devenues célèbres. Le recueil de New

mythe partout , rien de plus cosmopolite que l’éternel » -Charles Baudelaire- 1- La mythologie gréco-romaine La mythologie : c’est l’ensemble de mythes , elle tire son nom de deux mots grecs (mythos et logos) qui signifient « discours fabuleux » ; c’est l’histoire fabuleuse des divinités qu’adoraient les grecs

des autres, il s'agit "d'un courant, d'un flux, d'une durée où tout se fond perpétuellement". Il faut donc comprendre par là que le signe linguistique rend compte de la "pensée cognitive" et non de la " pensée intuitive". Bergson croit aux vertus poétiques et métaphoriques du langage, donc à un langage de l'image qui supplée en partie aux défaillances du discours. Il y aurait ainsi de l'indicible qui serait exprimable i.e qui serait porteur de sens. Autrement dit, cet ineffable au-delà du langage contiendrait