Demission Jacques Chirac Commentaire

candidats comme aux candidats supposés. Le temps d’antenne globalise les différentes séquences consacrées aux candidats et à leurs soutiens : temps de présentation, de commentaires, de reprises de citations auquel s’ajoute le temps de parole de ces personnalités. Le temps de parole , quant à lui, est extrait du temps d’antenne et récapitule la seule durée des interventions des

parti et donc le candidat naturel à l’élection présidentielle va être désigné par les militants. En France, on constate que cette possibilité des primaires a été envisagée en 1994 par Charles Pasqua qui était confronté à un affrontement entre Jacques Chirac et Edouard Balladur. Cette idée de primaires a été écartée à l’époque car elle était étrangère a leur parti (RPR devenu UMP). Cela a commencé dans les années 90, défait massive du PS aux législatives de 1993 (deuxième cohabitation). On va décider

responsable devant l’Assemblée. Renforcé dans son pouvoir, Thiers s’affirme de plus en plus et ose affirmer que le retour de la monarchie est impossible. Ses relations avec la majorité monarchiste de la chambre se détériorent et celle-ci l’accule à la démission le 24 mai 1873. Pour le remplacer, l’Assemblée élit le Maréchal de Mac-Mahon, monarchiste convaincu. La réconciliation entre les deux branches dynastiques est alors réalisée. Un compromis est adopté : le prétendant orléaniste, le comte de Paris

moment de la crise : président du conseil et MRP). Le Gouvernement Pflimlin saisit un prétexte le 28 mai pour démissionner à la suite de ces conversations. Coty adresse alors un message au parlement le 29 mai pour l’informer qu’il a décidé de faire appel « au plus illustre des français » pour constituer un Gouvernement. Le plus important, c’est que René Coty, chef de l’Etat, menace de démissionner si le gouvernement du général De Gaulle n’est pas investi. Comme il n’y a pas d’autre pôle de stabilité que

hypothèses : le gouvernement engage sa responsabilité sur son programme ou sur une déclaration politique générale = la question de confiance. Dans cette première hypothèse, tous les parlementaires s’expriment par suffrage. Le gouvernement doit démissionner s’il n’a pas la confiance des parlementaires ; la motion de censure : possibilité pour les députés de voter un texte par lequel ils expriment leur volonté de renverser le gouvernement. CDG et Debré vont y mettre des conditions : ils faut que ce

Jules-Verne, Amiens Alain Prost IA-IPR Histoire et géographie Académie de Nice Florence Bocognani-Fayolle Agrégée de géographie Lycée Guillaume-Apollinaire, Nice Gérard Chatelet Agrégé d’histoire et géographie Lycée Raoul-Follereau, Nevers Jacques Dincher Agrégé d’histoire et géographie Claire Fredj Maître de conférences en histoire contemporaine Université de Paris Ouest Nanterre La Défense Yves Letertre Professeur d’histoire-géographie IUFM de Bretagne Sylvain Venayre Maître de conférences

 la politique française devient favorable aux pays arabes. Par exemple, à la suite de la guerre des six jours en 1967, il condamne les annexions israéliennes. A cette occasion, il utilise une expression ambiguë qui continue à susciter de nombreux commentaires. Il déclare, en effet au sujet des israéliens : " un peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur ". Conclusion : De Gaulle eu donc deux objectifs majeurs : maintenir pour la France le statut de grande puissance, préserver la souveraineté et

comme l’homme de la situation. René Coty, Président de la République, adresse un message au Parlement dans lequel il demande aux parlementaires d’investir le Général de Gaulle car à défaut lui-même démissionnerait. Le 28 mai 1958, Pierre Pfimlin démissionne et le 1er juin le Général de Gaulle se présente devant l’Assemblée nationale en vue de son investiture. Il est investi par 329 voix contre 224.Le Général de Gaulle est donc le dernier président du conseil de la IVe République. Cependant, c’est

République française 21 mai 1981 – 17 mai 1995 (13 ans, 11 mois et 26 jours) Élection 10 mai 1981 Réélection 8 mai 1988 Premier ministre Pierre Mauroy Laurent Fabius Jacques Chirac Michel Rocard Édith Cresson Pierre Bérégovoy Édouard Balladur Prédécesseur Valéry Giscard d'Estaing Successeur Jacques Chirac Premier secrétaire du Parti socialiste 16 juin 1971 – 24 janvier 1981 Prédécesseur Alain Savary Successeur Lionel Jospin Député de la 3e circonscription de la Nièvre 6

salaires…Le premier juin, sans qu’aucun signe avant coureur n’eût permis de le déceler, un mouvement de grève débutait aux mines d’Ostricourt…Le 4 juin, les 4/5ème de la région Nord pas de Calais étaient en grève… IV le bilan de la guerre Commentaire de la carte page 68-69. A remplir un fond de carte. = Les frontières de l’Europe jusqu’en 1989. Noter : les pertes de l’Allemagne, les occupations de l’Allemagne et de l’Autriche, les gains de l’URSS en 40 confirmés, le coulissement de la Pologne