Démocrite

contact avec l'extérieur. La representation sensible n'est donc pas subjective ou trompeuse: nous sommes en contact avec les choses même. Les sensations répétées nous permettent également d'anticiper sur la perception. II. La physique Suivant Démocrites, Epicure propose une explication atomiste de la nature: les choses matérielles sont divisibles en atome. A l'état primitif l'atome se déplace dans le vide et c'est par la rencontre d'autres atomes que se forment les choses et les êtres. Ainsi la

sont les présocratiques athéniens et ils inventent la technique de la parole = rhétorique. Héraclite : Pour lui le monde est en perpétuel changement, en devenir. Parménide : Pour lui, le monde est fixé par l’Etre. Cela ne change jamais. Démocrite : Pour lui, le monde est matériel composé d’atomes Etre) qui s’arrangent de plusieurs manières différentes. Périclès : Il a régné 30 ans à Athènes et a favorisé le développement de la démocratie et du dialogue. Socrate : Il est en quelque sorte

toujours cherché à…, et c'est aussi la formule qui nous permet de les comprendre. Cette expression signifie que le devenir possède un télos, une fin, ou qu'il est orienté. Ce telos organise la subjectivité‚ de l'intérieur; comme le caractère selon Démocrite, il trace un destin. "J'ai toujours cherché‚ …", nous indique aussi qu'il faut chercher la manifestation du moi dans une œuvre située dans le temps. Le destin peut être lu comme la trace que le moi laisse derrière lui, mais qu'il ne pouvait pas découvrir

Les symptômes: On est tous plus ou moins malade de la socialisation, malade par la frustration du désir (ex: tic , manie) Phobie: peur refouler par un objet , une chose. « Tout dans la nature est le fruit du hasard et de la nécessite » Démocrite (-Ve , Grec) 1 Définition du hasard. 2 Rapport hasard nécessité . 3 Théorie du dina men = déviation dans la théorie d'Epicure . 1 Événement qui n'aurait pu se produire; rencontre accidentelle de 2 séries causales indépendantes . Futur contingent:

le caractère surnaturel de l’âme, négligent les conditions réelles, physiques et organiques de son existence ; et aux penseurs matérialistes, atomistes en particulier, il reproche de confondre le principe vital avec les éléments qu’il organise. Démocrite, par exemple, ne saurait expliquer par des atomes le comportement des êtres vivants, qui manifeste assurément l’intervention d’un choix, d’une pensée. Une telle physique ne peut rendre compte de la nature des sensations, très différente des simulacres

qui trouve une explication complète, pour l’homme comme pour le reste des vivants dans la constitution physique du cosmos. Le monisme est dominé, dans l’antiquité grecque par Leucippe de Milet (500 av J.C) et Démocrite qui seront suivis de près par Epicure et Lucrèce. Leucippe et Démocrite partent de la multiplicité. Le monde est constitué d’une multitude infinie d’atomes incréés, impérissables: petits éléments de plein et de vide qui passent du chaos originel à l’ordre du cosmos en se brassant pour

Montaigne Dans ses essaies Montaigne cite Démocrite qui représente l'optimiste auquel se rattache Montaigne et Héraclite qui représente le pessimiste. Montaigne se présente comme un penseur détaché de l'autorité de l'église. C'est pour se placer sous l'autorité des philosophe,de l'antiquité greco-latine. Montaigne utilise sans arrêt des citation fondé sur le grec ou le latin tel un véritable humaniste. L'humanisme est une pensée qui n'a pas besoin de Dieu, elle est centrée vers l'homme Intro:

profession de foi est sa propre devise qu'elle oppose à tous les dieux du Ciel et de la Terre qui ne reconnaissent pas pour divinité suprême la conscience que l'homme a de soi." (Karl Marx / 1818–1883 / Différence de la philosophie de la nature chez Démocrite et Epicure) "L'athéisme est une négation de Dieu et par cette négation, il pose l'existence de l'homme." (Karl Marx / 1818–1883 / Manuscrits de 1844) "La religion est le soupir de la créature opprimée, l'âme d'un monde sans cœur, comme elle

L'homme n'a cessé de s'interroger sur la nature de l'eau. Pour Aristote (384-322 av. J.C.), l'eau avec le feu, la terre et l'air, fait partie des quatre éléments de la réalité universelle. A la même époque, Démocrite (460-370 av. J.C.) pense au contraire que la matière a une nature corpusculaire (le mot atome vient du grec atomos = indivisible). La théorie aristotélicienne est admise jusqu'au 17ème siècle. Mais, à la fin du 18ème siècle, tout est remis en cause. Le physicien anglais Cavendish réussit

la notion d'âme mais pas celle de divinités et son but reste l'accomplissement de l'homme. Dans l'Antiquité grecque, Protagoras, affirmant que « L'Homme est la mesure de toute chose », illustre le scepticisme antique à l'égard des divinités. Démocrite, avec son explication, de même plus tard qu'Épicure, n'a pas besoin de dieux pour établir son éthique. En 431 av. J.-C., le stratège d'Athènes, Périclès, pour honorer les guerriers athéniens morts au combat lors de la Guerre du Péloponnèse, prononce