Dénotation et connotation

est exploité tout au long des deux extraits du roman avec un champ lexical formé des mots « éliminer », « égorger », « affronté », « tuer », « écorchement », « déchiqueté », « attaquer » et « chasser ». La connotation « bête de métal » qui est suivi de « honnie de toutes les créatures » représente le fusil comme un animal méchant renié des autres animaux, car il est plus puissant qu’eux. Selon le vieil homme, les habitants d’El Idilio

Mais cette description de la rose va au-delà de la jeunesse et la beauté : elle inspire la « Grâce » (v.5) et « l’Amour » (v.5). Cette caractéristique est renforcée par le vers suivant avec le participe présent « embaumant (v.6) qui, ici, a une connotation positive. La forme du poème renforce ce que l’auteur veut dire. Il s’agit ici d’alexandrins, qui sont binaires : chaque hémistiche est parfaitement équilibré par rapport à l’autre, ce qui intensifie cette légèreté et beauté de la rose. Les rimes

TITRE I- LES EFFETS DU CONTRAT ENTRE LES PARTIES Le contrat (ou, d'une manière plus large, la convention) est, comme la loi, obligatoire (S T I). Ce caractère obligatoire s'applique particulièrement aux obligations que le contrat fait naître et que les parties doivent exécuter (S T II). Contrairement à la présentation habituelle, les deux affirmations ne se recouvrent pas exactement, dans la mesure où le contrat ne se ramène pas exclusivement à un jeu d’obligations : un contrat (au sens strict)

titre de respect. Mais ironique ! Il la considère comme une moins que rien, il la méprise l16 "le dédain" "le plus beau désert du monde" = péjoratif car hyperbole + oxymore donc ironique ■l19-20 il l'utilise juste pour son argent et son corps --> connotation très dégradante ■l26-27 il s'en moque, elle ne peut que se degrader ■l35 mepris très marqué "elle sera la maîtresse du désert" = très ironique/méprisant/dégradant ■le Chevalier joue sur le même tableau que Lelio l32 a 35 et Lelio confirme -->

Lucien était douillettement recroquevillé sur lui-même. C’était là une position qu’il lui plaisait de prendre. Il ne s’était jamais senti aussi heureux de vivre, aussi détendu. Tout son corps était au repos et lui semblait léger. Léger comme une plume, comme un soupir. Comme une inexistence. C’était comme s’il flottait dans l’air ou peut-être dans l’eau Il n’avait absorbé aucune drogue, usé d’aucun artifice pour accéder à cette plénitude des sens. Lucien était bien dans sa peau. Il était

DOSSIER DE SYNTHESE SUR LES LUMIERES I. Définir le mot « Lumières » • Quel est son sens figuré ? Au sens figuré le mot « Lumières » désigne tout ce qui éclaire l’esprit, l’intelligence, etpar extension les connaissances qui en découlent. • Quel sens spécifique peut-il prendre ? Spécifiquement il peut symboliser les connaissances mises en avant par les philosophes du XVIII siècle.Ces « Lumières » ont éclairé les hommes dans la société et les ont guidés dans la science. • Quel lien

vis à vis ses proches, notamment sa mère (Clymnestre) et son amant (Achille).Cette hypothèse découle du passage ci-après: «Pardonnez aux efforts que je viens de tenter. Pour prévenir les pleurs que je leur vais couter». Dans ce cas on utilise une dénotation, un sens du dictionnaire qui a pour but de donner du poids «théorique» à l'explication. le mot couter signifie infliger et pleure signifie une action qui survient quand on regrette la disparition de quelqu'un. Ce passage nous affirme que la mort

Lexicologie Éléments pour l’étude de l’évolution sémantique Avez-vous lu l’introduction à la lexicologie et à la lexicographie ? L’étude de l’évolution sémantique : Rend compte de la polysémie d’un mot (la lexicologie, de façon diachronique ; la lexicographie, de façon synchronique) ; Permet de comprendre les mécanismes qui font passer d’un sens à un autre. Ces mécanismes sont toujours les mêmes : Les mécanismes objectifs mécanisme de la métaphore (sens propore → sens figuré) mécanisme de

et enfile un peignoir « d’un perle rare », comme nous le précise Echenoz. La première image que l’on a de Ravel est donc celle d’un homme nu, sans distinction, égal donc à n’importe quel autre homme nu. La vision première est donc neutre, sans connotation de classe sociale ou autre. Cette image dure peu ; on sait après que le personnage se vêtit d’un habit qu’on nous décrit comme relativement précieux. Les choses se précisent donc assez vite dans notre esprit : le personnage n’est pas n’importe qui

renseigne sur la construction du roman et sa signification. Ici, le passage constitue l'ouverture de Bel-Ami. Le titre Bel-Ami est aussi le surnom donné au personnage Georges Duroy, sur lequel s'ouvre et s'achève le roman, c'est un surnom doux à connotation valorisante pour celui qui le porte. Ce passage va nous permettre d'apporter une réponse aux questions que se pose à tout lecteur de roman : Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Nous pourrons ainsi découvrir le portrait de Georges Duroy et les principaux thèmes