Dépression périnatale

situations où l’équilibre budgétaire de toute la famille est mis en danger. Troubles anxieux, dépression : Alors qu’il est souvent pris pour ses effets euphorisants et stimulants, l’alcool induit un état anxieux, puis dépressif en consommation chronique sur le long terme. Cet état est marqué par une tristesse, une fatigue, une baisse de l’intérêt et des difficultés d’endormissement. La dépression est provoquée par les effets de l’alcool sur le cerveau ainsi que par les conséquences néfastes

l'engagement dans le deuil, soit des troubles somatiques prenant le dessus sur les manifestations affectives, ou encore, un blocage : la personne reste figé et n'avance pas dans son travail de deuil. L'endeuillé risque donc de s'enliser dans une dépression chronique. 2. Le deuil pathologique Quant au deuil pathologique, il est caractérisé par l'apparition d'une maladie physique ou mentale dans la période qui suit le décès de la personne aimée. Dans ce cas, le deuil n'est pas la cause

Effets secondaires Contre-indications Dénomination du médicament Molécule Antidépresseurs (→ Agissent en modifiant la concentration en neuromédiateurs dans le cerveau) ¤ Tricycliques (inhibiteurs capture noradrénaline / sérotonine) - Dépression - TOC - Tble panique - Algies rebelles - Enurésies et terreurs nocturnes chez l'enfant > Effets anticholinergiques périphériques (bouche sèche, constipation, RAU, tachycardie) / centraux (tremblements, confusion, R épileptique) > R hypotension

Antécédents chirurgicaux : Greffe tympanique droit. Amputation du gros orteil droit en décembre 2012. Toxiques : Tabac : 22 paquets année Cannabis : 2 par jours Alcool sevré depuis cure à Dron en 2011 Projet de soins du 06/03/13 : Dépression lié au décès de sa mère, à ses conflits familiaux, à sa futur amputation de jambe, a ses douleurs se manifestant par tristesse, idées suicidaires scénarisées, insomnie traité par : -Seroplex 10 mg le matin -Soins a médiations -Entretiens infirmiers

individu à se gouverner lui-même • La dépendance : nécessité de recourir à un tiers pour pouvoir réaliser les actes de la vie quotidienne Évaluation de la personne âgée • Évaluation physique (ex clinique et ex. compl.) • Évaluation psychique(dépression, cognitif) • Évaluation environnementale (logement, aides ) • Évaluation fonctionnelle Activités quotidiennes (GIR, IADL) 3 18/04/2013 Soigner : répondre aux besoins de la personne • V. Henderson • La pyramide de Maslow Le vieillissement

points (Mini-Mental State examination = permet de tester les facultés cognitives et de mémorisation, détermine si des signes de démence comme Alzheimer) 1 à 3 séances par mois Objectif : continuer la stimulation cognitive Bonne évolution de sa dépression, qui est traitée par antidépresseur et neuroleptique ainsi que d’un suivi d’1 à 3 séances par mois. Mme K a réussi à s’adapter à son environnement,, plus de plainte thymique. A repris du poids (20 kg depuis son arrivée) son IMC est passé

l’importance et la gravité de ces troubles. Les tocs se déclarent généralement dans l’enfance et plus souvent au moment de la puberté. Les recherches actuelles s’attardent sur les liens éventuels avec d’autres troubles, comme les troubles anxieux, la dépression nerveuse et les troubles bipolaires. Dans quelle mesure les moyens et infrastructures permettant de combattre ou tenter de réduire les TOC sont-ils efficaces ? Nous allons dans un premier temps essayer de comprendre pourquoi les TOC sont un

Question 1 : J'ai rédigé cette première question pour vous donner un exemple. Il faut d'abord repérer les effets de l'ecstasy : euphorie et bonheur, puis abattement et dépression (doc 1). Puis comprendre ce qui se passe au niveau des neurones (doc 2). Il ne faut pas oublier de décrire ce qui se passe sans ecstasy. Il y a toujours un témoin dans une expérience. Sans témoin, on ne peut pas interpréter les résultats. L'enregistrement des 4 paramètres en absence d'ecstasy sert de témoin pour l'expérience

un diagnostic. Et pendant toute cette période, les patients sont en danger. Le problème se pose souvent lors d’une entrée dans la maladie par une phase dépressive. Cela se déroule lentement. La personne se sent mal et impute son mal à une simple dépression. C’est là que le médecin généraliste doit être suffisamment informé pour ne pas passer à côté du bon diagnostic. S’arrêter au symptôme dépressif, c’est courir un vrai risque. En effet, les antidépresseurs prescrits seuls aggravent souvent l’évolution

ENFANTS À HAUT POTENTIEL Est considéré comme à haut potentiel un enfant dont le quotient intellectuel global mesuré par le test de WECHSLER est supérieur à 125-130. Ils représentent 5% des enfants scolarisés, soit 500 000 enfants entre 6 et 16 ans. Caractéristiques les plus souvent décrites chez les enfants à haut potentiel : De 0 à 30 mois De 30 mois à 6 ans De 6 à 16 ans - Sens aigu de l’observation - bébé vif et réactif - enfant curieux, posant des questions existentielles - fixation