Dépression respiratoire

ALZHEIMER Définition La maladie d’ Alzheimer est une diminution progressive et irréversible des fonctions mentales suite à la détérioration du tissu cérébral. Etiologie Sa cause exacte est encore inconnue, mais on suppose que des facteurs environnementaux et génétiques y contribuent. La maladie d’ Alzheimer est une maladie qui a été décrite en 1906 par un neuropathologiste allemand Alois Alzheimer. Signes cliniques 1. Phase de début Début insidieux avec une évolution progressive. Trouble

 L’œuvre paru en 1947 dans un contexte d’après-guerre. Camus s’inspire des événements de la seconde guerre mondiale pour écrire son roman. « La peste » révèle les bons et les mauvais côtés des gens face aux fléaux. Nous allons présenter le personnage de Cottard, tourmenté et bipolaire. Mais comment celui-ci est-il représentatif du profiteur de guerre ? Il s’agira de présenter le personnage pendant les diverses parties du livre, puis de faire une analogie avec la Seconde Guerre Mondiale et enfin

myocarde, favorisé par l'hypertension, le diabète et l'hyperlipidémie. Insuffisance cardiaque : deux fois plus fréquente chez l'obèse et favorisé par l'hypertension. Hypertension artérielle. Accident vasculo-cérébral. Problème veineux. Insuffisance respiratoire : dyspnée, syndrome d'apnée du sommeil, essoufflement. Complication rhumatologique : arthrose, coxarthrose, ostéoarthrose. Lithiase biliaire car elle sont fabriqués à partir du cholestérol. Trouble endocrinien : diabète, insulino-résistance, trouble

Assurer hygiene et confort Degres de participation a la toilette Insomnie Donner TRT : Inexium Evaluer qualité du sommeil Moyen terme : Risque infectieux : jusqu’à ablation des points + cicatrisation complete Douleur , R anxiété , Insomnie, dépression

qu’elle veut. Sur le plan psycho-sociale elle est bien entourée par son fils et sa belle-fille qui viennent la voir quotidiennement. Cependant elle est veuve depuis 12 ans ce qui est la cause principale de sa dépression pour laquelle elle a un traitement (Athynil 3fois par jour). La dépression est un trouble mentale caractérisé par des épisodes de baisse d’humeur ( tristesse) accompagné d’une faible estime de soi et d’une perte de plaisir ou d’intérêt dans des activités ressentis normalement comme

observe une certaine agressivité (paranoïde) vis-à-vis des proches, et le souhait d’éliminer ces étrangers de chez lui. Conduites agressives : opposition agressive, agressivité physique et verbale Apathie : repli sur soi, perte d’intérêt, démotivation Dépression : tristesse, pleurs, cris, désespoir, perte d’estime de soi, culpabilité, anxiété Psychoses : hallucinations, idées délirantes, troubles de l’identité Agitation psychomotrice : déambulation, fugues, gestes stéréotypés, habillage/déshabillage V.

la plus fréquente chez la personne âgée est la dépression. En 2007, en France 13% des plus de 65ans et 18% des plus 80 ans se sont vus prescrire régulièrement des antidépresseurs. Le concept de vieillissement est étroitement liés au concept de dépression ils entretiennent d’intimes connivences. La dépression est une entité pathologique et la vieillesse un terrain particulier sur lequel elle peut survenir. En effet, chez la personne âgée, la dépression est fréquente mais le diagnostic est difficile

Compétence 3 : Accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens. Analyse d’une situation en lien avec l’hygiène et l’autonomie. Contexte : Mme X. Âgée de 53 ans. Hospitalisée en urgence Suite à la Demande d’un Tiers (SDT) pour une dépression majeure, liée à son emploi en tant que secrétaire médicale et l’absence d’affection de sa famille. Pas d’idée noire, pas d’idées suicidaires. Forte incurie (présence d’une seconde peau craquelée), se manifestant par un manque d’hygiène corporelle

résorption des fluides interstitiels : augmentation de la pression hydrostatique (insuffisance cardiaque gauche), diminution de la pression oncotique des capillaires (hypoalbuminémies des cirrhoses ou des syndromes néphrotiques), accentuation de la dépression intrapleurale (atélectasies). Les liquides inflammatoires riches en protéines ou exsudats. Ils s’accompagnent d’un afflux de cellules inflammatoires dans le tissu conjonctif sous-pleural et d’une activation de la cascade des protéines de la coagulation

antiseptiques urinaires. Infection pulmonaire traitée par un simple sirop. Chez l'asthmatique, abus de spray qui peut déboucher sur un service de réanimation. Prise d'anxiolytiques seuls, masquant ainsi pendant un certain temps (parfois précieux) une dépression débutante. Non prise en compte d'allergies potentielles Conclusion : On pourrait multiplier les exemples à l'infini... L'automédication doit être utilisée à bon escient, en connaissance de cause, et pour une durée très limitée. On ne s'improvise