Dérégulation

devenir une arme de régression sociale aux mains du patronat. Selon elle, ce droit, aboutissement d’importantes luttes sociales, est de plus en plus menacé par un patronat largement soutenu par les pouvoirs publics qui souhaite en faire un outil de dérégulation sociale, et de remise en cause des garanties collectives Longtemps hostile à la négociation collective perçue comme une entrave à son pouvoir de direction, le patronat se sert du chantage à l’emploi pour faire accepter aux salariés des reculs

généralisation du principe de reconnaissance mutuelle des normes nationales, l’ouverture à la concurrence de marchés nationaux dans des secteurs jusque-là très protégés (transports aériens et télécommunications notamment) et de nombreuses mesures de dérégulation. Ce marché unique s’étend en 1995, 2004 et 2007, au fil des élargissements de l’UE ; il s’approfondit également par la création de l’union économique et monétaire, décidée à Maastricht en 1992, qui fait accéder l’Eurozone à la cinquième étape de

economies. 1 Terminology and concepts: - Privatisation: the state selling or transferring publicly owned companies and assets in to the private sector - Liberalisation: opening an industry or market up to greater competition - Deregulation: a misnomer for the reform of government regulation of markets and industries 2 Privatisation started in the UK: Background: - Many “utilities” always state owned or for a very long time (for example telephone, postal services, electricity

enseignants était en harmonie avec le public auxquels ils enseignaient. On avait dont un système à la fois très injuste, mais extrêmement bien régulé. La massification scolaire rompt cet équilibre considérablement. On peut même parler de dérégulation scolaire. b) La dérégulation scolaire La principale conséquence de la massification est de rompre ces accords institutionnels contre les différents paliers du système éducatif. Comment ? Car il n’y a plus d’adéquation sociale entre maitres et élèves mais au

2008, un plan de sauvetage de 200 milliards de dollar par le Trésor américain sauve Fannie Mae et Freddie Mac, à l’étranger on parle de « nationalisation », ce qui est impensable aux Etats-Unis. Cette sous-tutelle met fin à trois décennies de dérégulations et libéralisations des marchés financiers. Fannie Mae s’est bâtie afin d’aider les ménages américains à accéder à la propriété par le crédit. Celle-ci bénéficiait de taux préférentiels à l’aide du New Deal lancé par Roosevelt. Fannie Mae devient

de la politique budgétaire. Les politiques monétaires peuvent également être mise en oeuvre, nécessitant cette fois une intervention dans la sphère financière de l'économie. En effet lorsque l'investissement...prsonnel Cependant, suite à des dérégulation du marché, les banques centrales sont indépendantes de l'Etat depuis 20 et ont comme seul objectif de maintenir le taux d'inflation stable et le plus bas possible. Alors que l'école classique défend l'idée selon laquelle, la monnaie ne doit

bons du trésor pour assurer une croissance. Ces titres sont les valeurs les plus sûres. » Ce mode de financement va bouleverser le marché monétaire. C’est pourquoi, au cours des années 80’s, il y aura une politique de déréglementation, de dérégulation et de décloisonnement mise en place (les « 3D »). Le marché va donc peu à peu s’ouvrir à l’international. C’est , selon les libéraux, cette libre variation et un respect de l’Offre & de la Demande que le marché sera optimal. L’Etat va ainsi

1944, the obligation to facilitate the full employment appears explicitly in the missions of the IMF which thus acts in violation of its own statutes. The world financial and economic crisis underlines the bankruptcy of the deregulation of financial markets and abandonment of the control over the capital movements, lauded by the IMF. It makes indispensable the search for new international architecture based on the international Pact on the business, social and

conflits : 80’ : effritement société salariale nuit à mobilisation et gestion collective des intérêts des salariés par les syndicats : - nvx risques, chômage, précarisation, renouvellemnt inégalités -> dissuade individus de se mobiliser. - dérégulation + individualisation relations du travail. Syndicats pas présents dst tes les entreprises (+ 50 employés). - répartition de VA se déséquilibre au profit des entreprises et actionnaires + contexte chômage élevé -> crainte et désillusion

renversement de perspective ? Vu d’Europe, il semble que tout et le contraire soient des sujets de crainte aujourd’hui. Peur d’une constitution, qui lui donnerait une véritable identité politique. Peur des délocalisations, voleuses d’emploi. Peur d’une dérégulation du marché du travail, qui mettrait à mal son modèle social. Peur d’une immigration, qui diluerait son identité culturelle. Peur du terrorisme. Peur d’un contexte géopolitique mondial bouleversé. Même si ces peurs sont parfois fondées, ce n’est