Dérivation lexicale

critique du destinataire, c’est-à-dire le temps, par le poète. Il est donc possible de déduire que le poète traduit son insatisfaction face au temps. D’une deuxième part, le temps décrit dans ce poème est insaisissable. En effet, le champs lexical de l’évasion énoncé par des mots tels que «échappe» (vers 30), «fuit» (vers 30), «fugitive» (vers 33), «s’envolent» (vers 39) décrit le caractère évasif du temps. Aussi, l’analogie du temps à un cours d’eau créée par la métaphore «L’homme n’a point

accumulation d’actions qui s’enchainent mais quel lien ont-elles avec l’éducation ? On relèvera en effet plusieurs champs lexicaux surprenants pour un programme pédagogique ->champ lexical de l’agitation, de la paresse «  gambadait, se vautrait, se retournait 6 ou 7 fois dans son lit », champ lexical des manifestations physiques grossières. Est ensuite développé le champ lexical de la nourriture, appuyé par la récurrence de « Belle », « beau », illustrant plutôt l’appétit gigantesque de Gargantua

rôle principal ? 19-Pourquoi peut-on comparer les lettres d’Oscar à un journal intime ? A quel autre livre pourriez-vous comparer celui-là ? La 2ème lettre 1-Comment la situation devient-elle plus dramatique ? Relevez le champ lexical de la tristesse. 2-Comment voit-on que Mamie Rose prend de l’importance dès la 2ème lettre ? Qu’inspire-t-elle à Oscar ? Pourquoi ? 3-Quelle stratégie Mamie Rose met-elle en place pour donner un sens aux derniers jours d’Oscar ? 4-En quoi

tristesse, la douleur et le déchirement du poète, avant d’embrayer sur l’éloge de Marie. Tout d’abord, le poème est profondément pathétique. Celui-ci suscite en nous la compassion de la mort de Marie. En effet, nous pouvons relever le champ lexical, abondant, de la mort (« repose », « pleure »,  « larme », « battue », « meurt »,  « La Parque », «  tuée », « cendre », «mort ». Nous relevons également des antithèses telles que « vif » opposée à « mort » ou bien « meurt » contre « déclore ». De

a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a Nuances de sens sans contexte Vocabulaire Champs lexicaux En cliquant sur le bouton « Rubrique grammaticale », vous pourrez, au besoin, consulter la notion théorique suivante : – Champs lexicaux Consigne Pour chaque champ lexical, reliez les mots à leur définition respective. Exemple Champ lexical de la pluie : averse, bruine, déluge, ondée a) Petite pluie très fine, souvent froide : ________________________________________

lui parler comme il le veut car les Indiens ont eux aussi le droit au respect. Les Anglais n’ont pas plus de pouvoir que lui à ses yeux. «Minji-mendan est un trappeur et libre. Il ne travaille pour personne d’autre que pour Minji-mendam.» Le champ lexical du mot «libre» est bien exprimé car l’auteur veut démontrer avec conviction que le trappeur se désigne clairement comme étant son propre patron, qu’il est libre de faire ce qu’il veut. Minji-mendam parle de lui à la troisième personne du singulier

cette histoire. > L'auteur utilise un champ lexical de temps ; autrefois, avant, au début, passé, avenir, etc. Ceci explique bien l'évolution de l'état psychologique du personnage. Au début, il ne se sentait vraiment pas alaise dans ce changement de situation et il pensait au passé. À la longue, il s'est bien adapté à l'idée de vivre dans ce nouvel environnement et maintenant, il ne pense qu'au futur. Utiliser ce champ lexical vient appuyer le fait qu'il a vraiment évolué

personnelle du poète sur le temps ― Le temps est décrit comme une puissance ― Le temps est dépeint comme une force destructrice DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF I. Méditation du poète sur le temps A. Évocation d’un bonheur amoureux passé 1. Champ lexical de l’amour a) « chéris » (v. 8), « adorés » (v. 14), « charmé » (v. 20), « chère » (v. 21), « les plus beaux de nos jours » (v. 26), « aimons » (2 fois) (v. 35), « amour » (v. 40), « bonheur » (v.40) àÉvocation par le poète et sa bien-aimée

d’un monde merveilleux. Le choix du verbe chanter connote l’harmonie poétique, la joie pure, l’innocence. Le premier vers pourrait d’ailleurs faire penser au début d’un conte : « C’est un trou de verdure où chante une rivière ». On retrouve le champ lexical de la nature : « verdure », « rivière », « herbes » et de la lumière : « soleil » vers 3 et 13, il « luit », « val qui mousse de rayons », « la lumière pleut »… Le lieu est inondé de lumière, il apparait comme radieux. Métaphore végétale : « un petit

L’enfance teint la vie de joie et de vivacité, et garantie la continuité de la vie(IP1). En effet l’enfance donne à la vie dans la plaine une composante joyeuse et pleine de mouvement. (IS1). Cela est mis en évidence à travers le champ lexical de la joie: « jouaient» () « souriaient » () « ravis » (). Ainsi, on voit malgré les conditions de la vie dans la plaine, les enfants ravis, joyeux et souriants, arrivent à y introduire une dimension de joie. D’autre part, on voit que l’utilisation des verbes