Dérivé de crédit

UNIVERSITE RENE DESCARTES (PARIS V) _________ FACULTE DE DROIT DESS « BANQUES ( FINANCES » Responsable Pr. Sylvie de COUSSERGUES La comptabilité des produits dérivés par Pierre-Emmanuel BUSSAC |Mémoire soutenu |Directeur de Mémoire : | |en vue de l’obtention |M. L. CHEDIN | |du DESS « Banques ( Finances »

pôles  * Dépôt : particuliers > 2 ans * Affaires : financer les entreprises, dépôt de personnes cherchant le risque LT * Crédit : Prêt pour les particuliers non risqué Inconvénient : manque de performance économique 1984  But : créer de la concurrence * Institutions déspécialisées * Elargissement du crédit, créé de la concurrence * Création banque universelle et FBF (fédération française bancaire) * Désengagement de l’état 2000 : système

financiers organisés ont l'objet d'une réglementation, et fonctionnent sous la surveillance de  l'autorité de régulation, l'Autorité des Marchés financiers Marché des dérivés Les marchés d’obligations ou d’actions : on y achète et on y vend des valeurs (autrefois on aurait dit des « titres ») A côté il existe un marché dérivé, qui prend appuie sur le marché des titres (ex : marché des options). Sur ce marché, les opérateurs peuvent établir des contrats dans le cas d’une option d’achat : une personne

progressivement remplacer la cotation à la criée 1988 : modifie radicalement l’organisation de la Bourse. Ouverture du capital des agents de Change et transformation en Sociétés de Bourse. La Société des Bourses Françaises, SBF (Etablissement de Crédit) se substitue à la chambre des Agents de Change. 1991 : Fusion des Bourses de Province et Paris Évolution au cours des années 90 : 1993 : la DSI (Directive européenne des Services d’Investissements) 1996 : Loi de transposition de la DSI dans

perte liée à un incident, on passe à à la faillite. Le cas ENRON est illustrant avec la bankroute du Cabinet Arthur Andersen. Les coûts de faillite constituent un pourcentage croissant du PIB. D’autres pertes sont attribuées à des contrats dérivés. Contrats dérivés étant des contrats utilisés par les gestionnaires pour gérer les risques. ; les contrats à terme, le taux de change. Des concepts nouveaux concernant le risque bancaire font légion. On parle de Market makers qui sont des intermédiaires mais

IFRS 30 JUIN 2012 Le Comité Directeur du Crédit Populaire du Maroc et le Conseil d’Administration de la Banque Centrale Populaire se sont réunis le 4 Septembre 2012, sous la présidence de Monsieur Mohamed BENCHAABOUN, pour apprécier l’évolution de l’activité et arrêter les comptes au 30 Juin 2012. PRODUIT NET BANCAIRE RÉSULTAT BRUT D’EXPLOITATION RÉSULTAT NET CONSOLIDÉ RÉSULTAT NET PART DU GROUPE FONDS PROPRES CONSOLIDÉS Dépôts de la clientèle : Crédits à l’économie : 185,9 milliards de DH 172

billets (monnaie fiduciaire) et pièces divisionnaires La monnaie scripturale : sommes inscrites sur les dépôts à vue. Ne pas confondre la monnaie (sommes inscrites) avec les instruments de sa circulation (chèques, cartes de paiement, de débit ou de crédit, virements...). La monnaie est une institution sociale : pour exister, elle doit avoir la confiance de la société qui l’utilise (fiduciaire vient de fiducie, « confiance » en Latin). La monnaie est un moyen de conjurer la violence. Michel AGLIETTA

Les dettes ……………………………………………………………………………..34 Section III : Les engagements hors bilan, les impôts différés et les écarts de conversion………………………………………………………………35 1. Les contrats de location……………………………………………………...35 2. Les instruments financiers dérivés……………................................36 3. Les impôts différés……………………………………………………………….37 4. Les écarts de conversion………………………………………………………37 Chapitre 3 : La juste valeur et l’audit financier………………39 Section I : Le cadre théorique de l’audit

montant des capitaux « levés » étant inférieur à celui des retraits. Le cas de la Bourse de Paris est devenu depuis quelques années tout à fait comparable. Pour développer cette liquidité, on a créé des formes collectives d’épargne et des produits dérivés de plus en plus sophistiqués, de moins en moins transparents, où le manque de « liquidité » assure aux intermédiaires une rentabilité exceptionnelle alors que la concurrence en Bourse traditionnelle où la transparence est totale rend cette activité

capital - progrès techniques (nouvelle technologiques => baisse du coût du travail - croissance démographique * instrument de mesure de la croissance : P.I.B. PIB = somme valeur ajoutée de productions des biens et services - sans crédit pas de croissance économique - au niveau mondial le PIB est en augmentation d’environ 3% - pour créer de l’emploi il faut un PIB en croissance (d’après les spécialistes 2%) Les USA première puissance mondiale à une économie dont la croissance