Dérivé de crédit

marché secondaire ( le marché d’occasion), celui qui marche le mieux est le secondaire car elle bouge constamment . Quand on achète une action l’entreprise ne rembourse jamais et pour une obligation elle met 5 10 20 ans a rembourser car c’est un crédit de notre part . Si le marché secondaire a été fait c’est pour liquider ses valeurs mobilières. A la bourse cohabite deux choses un marché long et un marché très court. Ces achats et ces ventes grâce a la technique se font aujourd’hui en milliseconde

correspondants. | Les Accords de Bâle III sont de futurs accords de réglementation bancaire[1]. Bâle III se déroule dans le contexte de la prise de conscience que le risque de contrepartie sur les transactions des 500 billions d'euros de produits dérivés a été mal mesuré sur la base d'hypothèses peu contrôlées, en particulier dans le cadre de marchés baissiers. |Sommaire | |[masquer] | |1 Contextes |

en débit, l’autre en crédit : – l’une des inscriptions (en débit ou en crédit) traduit la nature économique ou financière de l’opération (par exemple achat ou vente de services, constitution ou liquidation d’investissement direct ou de portefeuille...) ; – l’autre inscription (en débit ou en crédit) traduit son mode de financement (règlement par transfert ou réception de fonds, crédits commerciaux...). 03/11/2010 Economie Internationale J.POCART Les inscriptions en crédit et en débit ne sont

prêts immobiliers avec les crédits « subprimes ». En parallèle, la politique américaine a donné un nouvel élan à l’immobilier en favorisant aux ménages les plus modestes la possibilité de devenir propriétaire. Cette crise s’est répercuté ensuite dans le monde entier, et a créé un enchainement en cascade d’une chute de l’économie mondiale. La crise financière de 2006 a engendré de lourdes conséquences au niveau de l’économie mondiale, en se répercutant sur tout type de crédits à la fin des années 2000

d’économie d’endettement ou d’économie de marché financier que l’on peut rattacher aux deux circuits de financement mettent l’accent sur le moyen utiliser pour mettre en rapport les agents économiques. L’économie d’endettement repose principalement sur le crédit bancaire et l’économie de marché financier nécessite la présence de marché de capitaux performant permettant la rencontre des offreurs et des demandeurs de financement. B. LE FINANCEMENT INTERMÉDIÉ OU INDIRECT (ECONOMIE D’ENDETTEMENT) : ACTEURS

Environnement du Risque de Crédit Table des matières 1 La crise financière 2007-2010 1.1 Les causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 Vers les réformes et nouvelles régulations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Points repères 3 Repères historiques 4 Quelques éléments sur la réglementation bancaire 5 Le Rôle joué par Bâle2 dans la crise financière 2007/2008 1 1 3 3 4 8 11 1 La crise financière 2007-2010 La crise financière 2007-2010

................................ 20 Le degré de concurrence des activités financières est-il suffisant ? ......................... 21 Les risques du secteur financier sont-ils correctement tarifés ? ............................... 23 Activités de crédit ..................................................................................................... 26 Activités d’assurance ................................................................................................ 32 Activités de marché

n° 1 Le ratio McDonough INTRODUCTION LES GRANDS THÈMES DE L’ITB > 2007 Le nouveau ratio dit Mac Donough est plus complet que le ratio Cooke. Il ne repose plus sur un simple calcul des fonds propres par rapport aux risques de crédit, ceux-ci étant pondérés en fonction de la nature juridique du débiteur, de la localisation du risque et de la nature des engagements, mais sur une approche plus qualitative s’appuyant sur 3 piliers. PREMIER PILIER : EXIGENCE MINIMALE EN FONDS PROPRES Comme

des nouveaux moyens de financement afin de se protéger de l’instabilité des taux de change et d’intérêt. En outre, le gonflement de la dette publique des pays industrialisés dans les années 70, ainsi que la réforme des politiques d’encadrement des crédits (1985 en France) contribuèrent à l’émergence du marché des taux d’intérêt. De plus, le choix de la retraite par capitalisation aux Etats-Unis avec l’adoption en 1974 de l’ERISA (Employment Retirement Income Security Act) créa une demande croissant

modique", sans plus de précision. La réforme doit également imposer que les produits dérivés standardisés, qui se troquent de gré à gré, s'échangent via des chambres de compensation centralisées. Le gouvernement souhaite surveiller de près le grand nombre de produits dérivés non standardisés qui échapperont à ces structures. Afin d'éviter une dissémination incontrôlée des risques comme cela s'est produit avec les crédits immobiliers accordés aux ménages les moins solvables, l'administration Obama propose