Des Femmes La Bruyère

« IL PARUT UNE BEAUTÉ À LA COUR » INTRODUCTION • Madame de la Fayette : autrice du XVIIème siècle, mouvement du classicisme comme La Fontaine, La Bruyère ou Molière • La Princesse de Clèves : roman historique et d'analyse psychologique publié anonymement en 1678, l'histoire se passe lors de la Cour d'Henri II au XVIème siècle • Début de la première partie : Madame de charte et sa fille de 16 ans reviennent à la Cour. Tout le monde est ébloui par la beauté de la princesse qui a reçut une éducation

théologie à la Sorbonne. Par la suite, il a pris position contre les jésuites. A partir de 1633,il dirigea Port-Royal où il introduisit les idées du Jansénisme.  L’abbaye de Port-Royal avait été fondée en 1204.Elle abritait une communauté de femmes .En 1608,la mère abbesse ,Angélique Arnaud ,sœur de Antoine Arnaud le restaura…  Selon Jansénius, le salut n’est pas assuré à tous les hommes de bonne volonté :pour résister à l’attrait du pêché , ils ont besoin de la grâce . or, Dieu la

pièces de Corneille mais d’un désir de vouloir réussir a tout prix. L’arriviste prend des figures différentes selon les époques : escroc le Tartuffe de Molière, individualiste froid dans le Père Goriot de Balzac, courtisan dans les Caractères de la Bruyère, séducteur intrigant dans Bel Ami de Maupassant… C'est l'histoire de Georges Duroy est un ancien sous-officier de belle allure, il se promène sur le boulevard parisien!!! Par hasard, il rencontre un ancien ami de régiment, Charles Forestier, qui

SEQ. La Bruyère SEANCE 3 : La structure et les thèmes majeurs des livres V à X des Caractères  : Livre V « De la société et de la conversation » :La parole, la prétention, la vanité : 1 à 5 sur le manque de discrétion, de bon goût dans la prise de parole, 6 sur la préciosité, 7 « Acis » sur le langage compliqué et pédant, 8, 9 « Arrias », 11, 12 « Théodecte », 13 « Troïle ».La parole et dire ce que l’on pense ou parler au

et d’harmonie, rigueur et sobriété, idéal esthétique codifié. Genres littéraires dominants : théâtre tragique (Corneille, Le Cid, Horace... ; Racine, Britannicus, Phèdre...) et comique (Molière, L’École des femmes, Dom Juan...) ; poésie (La Fontaine, Fables) ; littérature d’idées (La Bruyère, Les Caractères, Pascal, Pensées). Au XVIIIe siècle, le mouvement dominant est celui des Lumières : esprit critique et lutte contre les superstitions et les préjugés ; foi en la science et en le progrès

mythe de Don Juan, un lecteur pourra s’intéresser au caractère même de séducteur du personnage principal. Don Juan impressionne car il est doté d’un don, il sait comment séduire les femmes. Il a étudié leur psychologie et sais tout sur elles. Ce caractère est purement humain, un homme souhaitant séduire le plus de femmes possible, mais il est bien évidemment exagéré et rendu exceptionnel par le mythe et par ses réécritures. Ainsi Don Juan retranscrit comme Faust ou Œdipe une caractéristique humaine

l'humaniste érudit et à celui du "généreux", épris de gloire individuelle et de nobles dépassements : il fait le contrepoint à l'exaltation de l'homme telle que la prône l'héroïsme (Corneille) comme à sa dévaluation ou sa peinture sévère (Pascal, La Bruyère, La Rochefoucauld) : on l'accepte tel qu'il est. L'honnête homme se fait moins d'illusions sur la puissance et la liberté humaines, mais il accepte de se soumettre à l'ordre social et à une Raison qu'il estime universelle. (Bénac ; Ch-S, p. 11)

l'humaniste érudit et à celui du "généreux", épris de gloire individuelle et de nobles dépassements : il fait le contrepoint à l'exaltation de l'homme telle que la prône l'héroïsme (Corneille) comme à sa dévaluation ou sa peinture sévère (Pascal, La Bruyère, La Rochefoucauld) : on l'accepte tel qu'il est. L'honnête homme se fait moins d'illusions sur la puissance et la liberté humaines, mais il accepte de se soumettre à l'ordre social et à une Raison qu'il estime universelle. (Bénac ; Ch-S, p. 11) Noble

l'humaniste érudit et à celui du "généreux", épris de gloire individuelle et de nobles dépassements : il fait le contrepoint à l'exaltation de l'homme telle que la prône l'héroïsme (Corneille) comme à sa dévaluation ou sa peinture sévère (Pascal, La Bruyère, La Rochefoucauld) : on l'accepte tel qu'il est. L'honnête homme se fait moins d'illusions sur la puissance et la liberté humaines, mais il accepte de se soumettre à l'ordre social et à une Raison qu'il estime universelle. (Bénac ; Ch-S, p. 11)

Une scène de confrontation… …entre deux hypocrites feignant l’amitié Dans la jeune cour de Louis XIV, qui ne souhaite que s’amuser et se divertir, un nouveau livre est publié : Les Caractères de La Bruyère. Il consiste à faire le portrait d’un personnage centré autour d’un défaut - mais ce n’est pas cet aspect du livre qui crée tant d’excitation chez les nobles et bourgeois. Chaque personnage désigne subtilement un personnage reconnaissable de la cour. Le jeu des portraits est donc crée