Des Femmes La Bruyère

cour (// La Fontaine, // La Bruyère, De la cour) Imparfait : description, action habituelle dans le passé, ici règle commune, usage. Ambition // galanterie = passion = moyen de parvenir, de se placer ; introduit la corruption de l’âme (« âme de la cour » = passion qui a envahi l’intériorité des sujets) ; âme = principe actif (// corps), donc passion tendue vers un but, instrumentalisée, finalisée. Touche tous les sujets (« également les hommes et les femmes »), « occupaient » = principale

La Fayette, 1678Accroche : · Généralité: Chef d’œuvre de Madame de Lafayette, LPDC est publié alors que le Classicisme est à son zénith. « Joyau féminin » il est élaboré à un moment d’affirmation culturelle des femmes. Le fer de lance de ce mouvement est la Grande préciosité, dont Madame de La Fayette est une éminente représentante. C’est le 1er roman, d’analyse psychologique qui fait la peinture subtil des sentiments et des dangers de l’amour passion.

littérature, on a • des hyperboles, • une instabilité, • le temps qui passe, • des images de la cour, • des images trompeuses • et une mort très ostentatoire. • Des créatures hybrides • Le gout du clinquant. Préciosité : mouvement surtout écrit par les femmes de salon et quelques hommes comme Honoré d’Urfé. C’est toujours très clinquant et avec des métaphores peu naturelles. Le classicisme : qui contraire du baroque, on a un style sobre, symétrique, avec un refus de l’ostentatoire, majesté et imitation

org/wiki/Auteur:Tristan_Corbièrehttps://fr.wikisource.org/wiki/Les_Amours_jaunesEAF session 2023 voie générale EXPLICATIONS LINÉAIRES pour la première partie de l’épreuve Séquence 2 : La littérature d’idées du XVIe siècle au XVIIIe siècle Œuvre intégrale : La Bruyère, Les Caractères, Livres V à X Parcours associé : « La comédie sociale ». Lecture cursive : Voltaire, Candide, 1759 Texte n°1 : « De la société », V, 9 : Arrias Texte n°2 : « Des Biens de Fortune », VI, 83 : Giton Texte n°3 : « Du Souverain

bas monde est une vieille courtisane, mais qui ne cesse d'avoir de jeunes amants." Charles-Augustin Sainte-Beuve "Le succès fera autour de toi des hommes tes courtisans, et des femmes tes courtisanes." Paul-Jean Toulet "Qui est plus esclave qu'un courtisan assidu, si ce n'est un courtisan plus assidu?" Jean de La Bruyère "Et tu seras aimée de mes amants, courtisée par mes courtisans." Charles Baudelaire "Faire plaisir, n'est-ce pas être menteur, flatteur, courtisan ?" Alain "Les courtisans sont des

discourt » l 7 « il récite » + anaphore du perso « il » qui renforce cette idée d’abondance de propos ; vision humaniste intarissable , voir aussi le propos formulés en phrases longues : ex « il discourt »+ l 4à 6 « des mœurs, femmes, loi, et coutumes » = développement des prétendues connaissances d’ Arrias . A la ligne 5 la proposition comparative « comme si » évoque le mécanisme du mensonge

privilégie l'amour comme ressort de la comédie. On peut voir en Marivaux un utopiste, qui utilise le théâtre comme un lieu d'expérimentation sociale (l'Ile des Esclaves, 1725, où maîtres et serviteurs échangent leurs rôles, La Colonie, où les femmes veulent établir une république). Il existe aussi un Marivaux romanesque, qui emprunte à la vogue des romans tragiques et des aventures de nobles déguisés: Le Prince travesti (1724), le Triomphe de l'amour (1732). Marivaux est surtout connu pour

des principaux troubadours de la deuxième moitié du XIIe siècle, Bernard de Ventadour, qui suivit Aliénor d'Aquitaine à la cour Angleterre, était d'origine assez humble, fils d'une servante du château de Ventadour. | Certains troubadours sont des femmes, les trobaïritz, la plus connue étant la Comtesse de Die. Le terme troubadour (trobador en occitan) vient du verbe trobar, du latin tropare, qui signifie alors "composer des tropes", c'est-à-dire des pièces chantées en latin destinées à orner le chant

France, ce siècle est souvent nommé le Grand Siècle. ème Dans le monde culturel, la fin du XVII​ siècle est caractérisée par une querelle entre les Anciens et les Modernes, entre la tradition et la modernité. Les Anciens tels que La Fontaine, La Bruyère ou encore Boileau, considèrent que l'Antiquité est une période où la civilisation a atteint la perfection et qu'elle doit de ce fait rester un modèle. Tandis que les Modernes, tels que Corneille, Perrault, ou encore de Fontenelle, refusent de considérer

Scène argumentative ou dimension philosophique. 1) Une réflexion sur l’homme et sur ses faiblesses. • paradoxe d’Alceste : il fait ce qu’il hait chez les autres • utilisation 2 la double énonciation pour présenter les 3 femmes montre la complexité d’A. Il aime la seule personne qui représente tout les défauts qu’il hait. • Paradoxe accentué avec l’opposition de 2 registres : -comique : A est ridicule (rire, mise en abîme du théâtre « comédie »