Des Femmes La Bruyère

gens, pour les aimer ! Ce sont de beaux morveux, de beaux godelureaux2, pour donner envie de leur peau ! et je voudrais bien savoir quel ragoût3 il y a à eux ! HARPAGON. — Pour moi, je n’y en comprends point, et je ne sais pas comment il y a des femmes qui les aiment tant. FROSINE. — II faut être folle fieffée. Trouver la jeunesse aimable ! est-ce avoir le sens commun ? Sontce des hommes que de jeunes blondins ? et peut-on s’attacher à ces animaux-là ? HARPAGON. — C’est ce que je dis tous les

Saint-Évremond, Fontenelle, Houdar de La Motte) se réclament de Descartes et de la promotion du français. Ils jugent les anciens comme des modèles dépassés. Ils sont plutôt dans l’actualité avec les contes de Perrault. Les Anciens (Boileau, Racine, La Bruyère, La Fontaine, Madame Dacier) invoquent le génie des écrivains antiques, d'Homère et de Virgile, pour expliquer qu'ils doivent rester des modèles dans la pratique des arts. 4) Le culte de la grande littérature : Soucis de servir le prestige du

religion, à la place des femmes dans la société ? ambiguïté du personnage de Dom Juan, et vision du libertinage ambivalente. B-Une dimension polémique qui fait écho aux problématiques modernes -chaque époque y trouve des réponses aux problèmes qu’elle se pose -les thèmes abordés sont toujours d’actualité : Esclavage (les « Lumières », les guerres et la barbarie des combats (Rabelais, Voltaire, La bruyère), Les caractères humains (Molière, La Bruyère, La Fontaine…), la

|Phrase Type : Mon amour reste dans le silence, ma timidité m'empêche de le | |dévoiler. | | | |[pic]Bruyère : Rêverie solitaire | |Phrase Type : Mon esprit divague, et rêve à notre future rencontre. | | | |[pic]Bouton d'or : Joie

La querelle des Anciens et des Modernes est une polémique née à l’Académie française et qui agita le monde littéraire et artistique de la fin du XVIIe siècle. Les différents partis en présence Les anciens (Boileau, La Fontaine, La Bruyère) défendent la théorie classique et prônent le retour aux sources, l'antiquité grecque et latine, le passé biblique. Les modernes (Thomas Corneille, Perrault) pensent qu'il faut évoluer, suivant l'enrichissement apporté par les siècles. Les conciliateurs

chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone ; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux ; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l’air et m’enfle

l’avons annoncé dans notre introduction, une incarnation parfaite de ce que l’on pourrait appeler un anti-héros. Compagnon de vices du Duc Alexandre de Médicis, pourvoyeur de ses débauches, cynique et cruel à souhait, Lorenzo illustre ce mot de La Bruyère : « Il semble que le héros est d’un seul métier qui est celui de la guerre et que le grand homme est de tous les métiers… l’un et l’autre mis ensemble ne pèsent pas un homme de bien »[v]. Lorenzaccio, qui incarne à merveille l’idéal de l’homme renaissant

cette clarté didactique dans la structuration de la pensée s'ajoute un ton assertif. Argumenter frontalement, c'est en effet s'engager. Ainsi, le locuteur n'hésite pas à s'impliquer personnellement dans son texte. En effet, La Bruyère, dans son caractère intitulé « Des femmes », ne recourt certes pas au pronom personnel de la première personne, mais à des adverbes modalisateurs tels que « sans doute », « sérieusement » ainsi qu'à des termes évaluatifs comme « affreuses et dégoûtantes », ou encore «

jeunes gens mineurs la partaient bridée de pourpre; les habits des enfants tous semblables de Passy - reconnaissables partout comme de Passy les costumes de Laponie qui portent les mêmes motifs pour tous dans chaque village, mais où hommes et femmes ont des couleurs inversées; et le Sarong malais, universelle pièce de tissu, qui est féminin drapé autour des hanches, et devient le Sampot masculin porté à la façon d'un sarouel. Son existence suppose identité, au moins consentement; et en

|[pic] | |Critique de L'École des femmes  (1663) | | |[Malgré son succès, la représentation de L'École des femmes en 1662 suscita une vive querelle qui déchaîna les doctes et les prudes | | |contre le prétendu "amoralisme" de la pièce et une