Des visages des figures

faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non. L’espèce de visage inouï que le hasard ou une industrie bizarrement spéciale lui avait façonné, riait tout seul. Gwynplaine ne s’en mêlait pas. Le dehors ne dépendait pas du dedans. Ce rire qu’il n’avait point mis sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche, il ne pouvait l’en ôter. On lui avait à jamais appliqué le rire sur le visage. C’était un rire automatique, et d’autant plus irrésistible qu’il était pétrifié

rectangle pris dans le sens vertical de sorte que le sujet principal , la Demoiselle, occupe la plus grande partie de la surface. La figure et le fond naissent d’un emboitement de surfaces et de volumes géométriques tels que le triangle , le trapèze , le cylindre ou l’ovale, au fondement de la vision cubiste du réel. La composition est centrée et dynamique : la figure passe par la médiane verticale en se désaxant obliquement vers la gauche ; la structure posturale repose sur un chiasme produisant un

argumentation construite logiquement amène l’écologie à la portée du plus grand nombre à travers une figure intermédiaire : Nicolas Hulot, journaliste, ancien animateur TV, producteur et homme politique français né en 1955.Pour cela nous prendrons un cours d’écologie pour les nuls, puis nous montrerons que l’écologie est ici assimilée à une forme de religion et enfin nous analyserons en quoi Nicolas Hulot est une figure romantique appropriée à porter la bonne parole d’après Arnaud Viviant.De manière flagrante

peintre ; il se recula sur le palier pour lui faire place, et l’examina curieusement, espérant trouver en lui la bonne nature d’un artiste ou le caractère serviable des gens qui aiment les arts ; mais il aperçut quelque chose de diabolique dans cette figure, et surtout ce je ne sais quoi qui affriande3 les artistes. Imaginez un front chauve, bombé, proéminent, retombant en saillie sur un petit nez écrasé, retroussé du bout comme celui de Rabelais ou de Socrate ; une bouche rieuse et ridée, un menton

trou de la rosace. Après toutes les figures pentagones, hexagones et hétéroclites qui s’étaient succédé à cette lucarne sans réaliser cet idéal du grotesque qui s’était construit dans les imaginations exaltées par l’orgie, il ne fallait rien moins, pour enlever les suffrages, que la grimace sublime qui venait d’éblouir l’assemblée. Maître Coppenole lui-même applaudit ; et Coplin Trouillefou, qui avait concouru, et Dieu sait quelle intensité de laideur son visage pouvait atteindre, s’avoua vaincu.

peintre ; il se recula sur le palier pour lui faire place, et l'examina curieusement, espérant trouver en lui la bonne nature d'un artiste ou le caractère serviable des gens qui aiment les arts ; mais il aperçut quelque chose de diabolique dans cette figure, et surtout ce je ne sais quoi qui affriande3 les artistes. Imaginez un front chauve, bombé, proéminent, retombant en saillie sur un petit nez écrasé, retroussé du bout comme celui de Rabelais ou de Socrate ; une bouche rieuse et ridée, un menton

elle était une eau vive ». Quelle figure de style est utilisée ici ? Remplacez les deux points par un mot de votre choix. Donnez sa nature et le lien logique qu'il exprime. 2. « Toute la classe lui mangeait dans la main » : cette expression est-elle employée au sens propre ou au sens figuré ? Quel sens lui donnez-vous ? 3. « Dix visages se précipitaient » : expliquez pourquoi l'emploi du mot « visage » est une métonymie dans cette phrase. Quel effet produit cette figure de style ? 4.  « Béatrice riait

ANALYSE DES FIGURES PRINCIPALES Les expressions Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval Presque au centre de la composition, il symbolise, des dires même du peintre, le peuple.Une lance transperce son flanc et le blesse à mort. La tête est rejetée en arrière, la bouche semble hurler et laisse visibles les dents et la langue pointue

Cours du 1er Bac La langue française Les figures de style d’analogie Sommaire 1. Définition 2. La comparaison 3. La métaphore 4. La personnification 5. L’allégorie 1. Définition: Procédés littéraires qui permettent de donner à un texte un caractère proprement littéraire ou poétique. Elles constituent une partie importante de toutes les langues et sont fréquemment employées dans le discours et dans la langue orale. Issues de changements sémantiques (sens), elles produisent des glissements de sens

exécuter l'idée de Coppenole. Bourgeois, écoliers et basochiens s'étaient mis à l’œuvre.[…] Il fut réglé que chaque candidat, homme ou femme (car on pouvait faire une papesse), pour laisser vierge et entière l'impression de sa grimace, se couvrirait le visage et se tiendrait caché dans la chapelle jusqu'au moment de faire apparition. En moins d'un instant la chapelle fut remplie de concurrents, sur lesquels la porte se referma. Coppenole de sa place ordonnait tout, dirigeait tout, arrangeait tout