Des visages des figures

conférant, une valeur expressive nouvelle, et donc des significations plus profondes. La représentation de Jésus et des douze apôtres, dont les visages expriment l’indignation, la surprise, la douleur et l’inquiétude, a une grande force dramatique (fig. 1) ; la mise en perspective très précise (fig. 2) de la scène donne une idée de profondeur et d’équilibre. Dans la figure 3 est reproduite une autre Cène, œuvre d’un artiste nordique, réalisée selon une technique et dans un style différents (c’est-à-dire avec

essayer de dégager quel message idéologique veut transmettre François I par l'ouvrage de Clouet. On trouve plusieurs figures en regardant le tableau. Premièrement, il y a le roi, François I, très idéalisé à la manière italienne: la constitution musculeuse, la proportion monumentale du corps, le visage calme et adouci, tout cela veut forcer le spectateur à regarder la figure du roi d'une certaine manière. François I est habillé, comme le prophète, avec des vêtements plutôt austères, mais glorieux:

couvrait le front du vieillardprojetaientun sillon noir sur le haut du visage. | La scène se passe la nuit : on le voit mal. La lumière n’est pas forte, pas homogène : il y a des ombres, on ne devine pas tout. Cela renforce son côté effrayant. | I 3 | Le découpage du texteles parties du texte | 1°) Son front, sous les cheveux, Ses yeux, Le visage, Le cou, cette vieille tête, Les bords du chapeau qui couvrait le front, le haut du visage, les rides blanches, dans le corps, dans le regard,2°) l’absence

lieu la silhouette « sèche et maigre », puis le front, les yeux, le visage, le cou, le corps elle retourne au chapeau et se fixe sur le regard • Couleurs : Ombre/Lumière On notera l’aspect cireux de la silhouette dans le clair obscure du cabinet le voile « transparent », les reflets « bleuâtre » et la « couleur de nacre sale » du voile recouvrant les yeux du personnage. La pâleur « livide », cadavérique de son visage (« Le visage pale, livide, et en lame de couteau […] semblait mort), « l’ombre

par André Breton en 1924 et influencé par les théories de Freud sur l'inconscient. Comme l'indique son nom, le surréalisme cherche une réalité supérieure, au-dessus du réel. L'oeuvre est originale car les images du tableau en cachent d'autres, les figures sont perçues selon la position du regard. Développement : Dans ce tableau, il y a trois plans. Ils sont différenciés par des lignes horizontales; mais au lieu de l'expliquer par rapport aux plans, je préfère le faire par rapport à l'analyse des images

impraticable. En effet, par les jeux conjugués d’une organisation formelle très dense et celui d’une palette chromatique très resserrée, l’œuvre offre un visage massif, d’une grande solidité, offrant peu d’ouvertures au regard pour s’y frayer un passage. Le format, proche du carré et les larges dimensions (200x178cm), sont assez inhabituels pour figurer une scène bucolique ou un portrait, même triple. Dans Trois femmes, même si les principes de la ressemblance au modèle semblent mis au second plan

ableaux, j’admirais ces visages égayés par un sourire, éclairés par les bougies, et que la bonne chère avait empourprés ; leurs expressions diverses produisaient de piquants effets à travers les candélabres, les corbeilles en porcelaine, les fruits et les cristaux. Mon imagination fut tout à coup saisie par l’aspect du convive qui se trouvait précisément en face de moi. C’était un homme de moyenne taille, assez gras, rieur, qui avait la tournure, les manières d’un agent de change, et qui paraissait

des teintes de bleu dominant dans ses œuvres des années suivantes. En effet, Picasso a déclaré : « C’est en pensant à Casagemas que je me suis mis à peindre en bleu. Il élabore alors un nouveau langage pictural. Il peint la plupart du temps des figures isolées, repliées sur elles-mêmes, dans des compositions très largement dominées par le bleu. Le bleu permet à Picasso de rompre avecd les tentations naturalistes de ses débuts et d’inventer un univers particulier, entre réalité et imaginaire, considérablement

Reconnaissance de visage TIPE Table des matières : Introduction 3 1- La reconnaissance de visage 4 1.1- Les faces propres : la théorie . . . . . . . . . . . . . . . . .. 4 1.2- Les faces propres : l’implantation pratique . . .. . . . 9 2 -L’interface graphique 15 2.1- Fonctionnement général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 2.2- Implantation python . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 Conclusion ANOUAR BAYARI MPSI 3 20 Page 2 Reconnaissance

contraintes réduites, nous présentons la mise en place d’un système d’identification de personnes ; cette identification s’appuie sur des enregistrements de séquences audiovisuelles. Ces séquences sont analysées et on extrait l’information visuelle liée au visage , on construit alors notre base de données et on présente la technique permettant de classer ou de reconnaître une forme inconnu d’un locuteur parmi l’ensemble. Le module de reconnaissance faciale est basé sur le principe de « faces propres » est