Descartes Bonheur Devoir Desir

croyait, on serait alors dans l’erreur.) L’illusion précède le jugement. Dans le troisième, il s’agit d’une « éventualité » imaginaire (si elle y croyait fermement : folie ou son amorce…) Cette croyance vient d’une affection liée à la réalisation d’un désir, à quelque chose de positif, se dégage donc une fonction de positivité… ? Souvent, l’erreur est provoquée par l’illusion, elle en est le prolongement. Le gros problème de l’illusion par rapport à l’erreur, est que celle-là n’est pas corrigible

| Maîtriser ces repères en les situant dans des notions telles que le Sujet (conscience, perception, désir et temps), la Culture (langage, art, travail, religion et histoire), la Raison et le Réel (vivant, matière et esprit, vérité, théorie, interprétation, expérience et démonstration) la Politique (société, justice et droit) ou la morale (liberté, devoir et bonheur) permettra à l’élève de comprendre la portée philosophique des textes pour mieux les traiter. Par exemple, les notions

par lequel un individu substitue involontairement une action imprévue à une action délibérée ; | | |* à travers des actes tels que l’oubli ou le lapsus, un individu révèle, selon Freud, la réalité d’un désir | | |inconscient. Freud interprète les actes manqués comme un compromis entre une tendance manifeste et une tendance | | |latente.

désirs. On ne peut donc pas selon la philosophie épicurienne forcer quelqu’un à être libre car sa liberté dépend de désirs personnels. Selon Descartes, dans Méditations Métaphysiques la liberté vient de la volonté qui est universelle et infinie, celle-ci fourni alors à l’homme la capacité de faire ses propres choix sans y être contraint ce qui pour Descartes est la définition de la liberté. Il nous paraît donc impossible de forcer qui que ce soit à être libre et ce pour deux raisons principales :

proposé, même si cela va dans le sens de nos intérêts. Descartes nomme « liberté d’indifférence » ce pouvoir d’opter pour ce que l’on veut, même le mal, même le pire, comme par exemple une conduite nocive non seulement pour les autres, mais aussi pour nous-même.. La liberté positive consiste au contraire à pouvoir choisir selon la raison c’est-à-dire ce qui nous semble le plus utile ou le plus juste. Cette seconde forme de liberté, Descartes la nomme « éclairée ». Le problème est le suivant :

A) Puis-je découvrir qui je suis par le moyen de ma conscience ? Notions traitées : ~ en priorité : conscience, inconscient, liberté, interprétation ; ~ de manière secondaire : autrui, morale, perception, désir, vérité… 1) La conscience de soi est au fondement de la connaissance sur soi. a) La conscience perceptive comme moyen d’explorer son intériorité. Chaque homme développe au contact avec la réalité la faculté de se représenter non seulement ce qui l’entoure (cette table, cet homme…)

qui n'est jamais satisfait de son propre monde bref, cet être de désir qui exige toujours plus et autre chose que ce qu'il a. L'homme, en d'autres termes, se heurte en permanence à l'altérité sous la double figure de l'adversaire et de l'obstacle : les choses m'apparaissent d'emblée comme ce qui résiste à ma volonté, et qu'il faut transformer ou dépasser ; autrui est toujours susceptible de se dresser entre l'objet de mon désir et moi-même, soit parce qu'il ne veut pas ce que je veux, soit au

palliant l’absence de connaissance des causes qui me déterminent à mon insu ? I – La conscience comme connaissance est une condition de ma liberté • La conscience comme substance pensante nous rend « comme maîtres et possesseurs de la nature » (Descartes) Elle me permet de connaître les lois de la nature et les lois sociales, et ainsi d’agir pour me libérer de leurs déterminations (Marx et la révolution prolétarienne ; libération vis-à-vis des contraintes liées à mes limites physiques grâce à la

d'une idée, d’une conviction. C’est aussi un état psychologique, l'état de repos de celui qui a cessé de douter. L’erreur l’illusion : Le rapprochement est le fait que l’erreur et l’illusion sont dans le faux. Cependant, l’erreur selon Descartes est l’usage de la liberté humaine (ou libre arbitre) en dehors des limite de la raison, usage qui n’est possible que parce que l’home est un être imparfait. Alors que l’illusion est une interprétation erronée d’une donnée sensorielle, d’un artifice

Le bonheur est-il un droit ? INTRODUCTION: Le «bon heur», en ancien français, désigne le bon hasard, le sort favorable. L'étymologie suggère donc que le bonheur serait caractérisé par sa contingence, par sa dépendance à l'égard de la fortune. Les philosophes grecs, en revanche, le faisaient reposer sur le savoir et la vertu. Pour être heureux, selon eux, il faut posséder la sagesse. S'il dépend de mon effort d'être heureux, alors je suis responsable de mon propre bonheur, et ne puis