Descartes Je Ne Suis Pas Une Pensée Impossible

Rétrospective = Descartes évoque sa vie passée au collège et ses voyages. Grandes déception car rien ne satisfait son besoin de certitude . 2) A 23ans, Descartes découvre sa méthode qu’il résume en 4règles et se promet de reprendre tout l’édifice de la science à partir d’elle . 3) il se fixe une morale provisoire ( 4maximes ) en attendant d’avoir atteint la vérité. Il reprend ses expériences pour « essayer » sa méthode. 4) Grâce à une méditation métaphysique sur les fondements de la vérité Descartes découvre

ne se développeront pas. Problème : Limites nature culture ? NON car impossible de chiffrer le naturel du culturel. LA CONSCIENCE . I- Qu’est-ce que la conscience ? 1° Capacité de l’homme a prendre du recul, se dédoubler. Par rapport à ce qu’il fait afin de se le représenter. (Conscience spontanée) .Consiste a prendre du recul par rapport à des faits, des actes pour mieux comprendre. (Conscient réfléchi). Descartes : «  Par le mot penser, j’entends tout ce qui se passe en moi, de telle

considérer que la pensée consiste à les affronter, voire à s’échapper de leur emprise. On peut alors affirmer par évidence dans un premier temps que l’on peut penser sans préjugés. En effet, la pensée, ici rationnelle, est diamétralement opposé aux préjugés puisque cette dernière est définie comme une pensée qui, par la reconnaissance d’une seule vérité de départ, accepte des affirmations certaines grâce à des enchaînements de démonstrations et de logiques, c’est pour cela que cette pensée est décrite

conclusion peut être tirée. Distinctions conceptuelles Démonstration, inférence déductive, inférence inductive Inférence : acte de la pensée par lequel nous concluons une proposition à partir d’une autre Induction : acte de la pensée par lequel nous concluons une proposition générale à partir de quelques cas particuliers (la conclusion sera probable) Déduction : acte de la pensée par lequel nous concluons une proposition nécessaire à partie de prémisses elles-mêmes nécessaires et universelles (la conclusion

façon très importante et régulière. La conscience définit l’homme comme un sujet. La conscience, dite immédiate, permet à l’homme d’effectuer des actions. La conscience réfléchie permet à l’homme, d’avoir la capacité de faire des retours sur ses pensées, d’analyser, de juger. C’est donc pour cela que l’homme a conscience de lui-même. Il est donc capable de penser le monde qui l’entoure, il a le sentiment d’exister. La conscience de soi vient en complément de la conscience morale, la conscience d’autrui

l'individu. Or, opposé au dogme et à la croyance, le doute est est au contraire, pour les philosophes, un élément constitutif de la pensée humaine; par ses questionnements, ses interrogations, ses critiques, il permet le développement de nouveaux savoirs, de nouvelles théories, de nouveaux champs d'exploration. Comme le dit Descartes: « Le doute, l'erreur, les pensées, sont des épreuves de mon existence ». Il s'agit d'un doute théorique. Il est soumis à l'appréciation morale, si bien qu'il est interdit

reste apparemment impossible par l’incapacité que nous avons de définir le moi par des concepts concrets. Ainsi, l’homme a recourt à des intermédiaires pour parvenir à se situer. La méthode que prône Descartes, à savoir l’introspection dans le discours de la méthode, peut peut-être nous aider. Elle consiste en une analyse de sa pensée et de ses sentiments. Descartes prône cette méthode de découverte de soi. En effet, il se définit comme une « chose pensante », il ajoute : « je pense donc je suis »

d’humain qui nous permet de nous construire. Il survient spontanément, sans qu’on l’ait spécialement voulu. On nous apprend à ne pas douter et ainsi on acquière des préjugés hérités de notre entourage. Nous croyons tous avoir une pensée personnelle alors qu’on répète la pensée des autres qui n’ont pas toujours pris la peine de réfléchir car ils acceptent une idée faite en la considérant comme vraie avant même de l’examiner. Mais la confiance aveugle peut mener à l’erreur, voire même à la folie. C’est

problème de l’illusion par rapport à l’erreur, est que celle-là n’est pas corrigible. En effet, on peut corriger l’erreur car c’est un défaut du jugement ou du raisonnement (cf. l’erreur mathématique.) Mais l’illusion est difficile à corriger –voire impossible : le bâton apparaîtra toujours cassé…- d’où la question : L’illusion est-elle naturelle est inévitable ? Nous avons beau savoir, nous continuons à voir. 2) Le mensonge. L’illusion n’est pas mensonge, car celui-ci est intentionnellement

intellectualiste s’oppose à l’imagination accusant son domaine d’être chimérique et donc de s’opposer à la raison. Epictète par exemple la désigne comme une maladie de l’âme. Descartes la lie au corps, d’où qu’elle puisse être maîtresse d’erreurs, et peut en plus, entraîner la raison hors du chemin de la vérité. Pour Descartes, l’imagination est une faculté empirique, c’est-à-dire qu’elle part de l’expérience acquise [A.1]. Elle est donc très limitée par rapport au pouvoir d’abstraction [T.20-p.189]