Descartes Substance Pensante

questionnement et de doute : Quand je pense, dans le même temps, j’en prends conscience : la pensée englobe tous les phénomènes de l’esprit et de la réflexion ; la pensée peut accéder à un savoir véritable, par une critique sur les préjugés. Descartes affirme que la Cs et son corréla qui est la pensée deviennent à la fois le fondement et le modèle de toute vérité. Le fondement est ce sur quoi repose un ensemble de connaissance. Il développe ses idées dans deux livres principalement : Discours

Profession de foi du vicaire savoyard, Rousseau p-53 : Recherche de la vérité / Retour à Descartes p-54 : Philosophes : tous d’accord pour se disputer Question sur l’origine de l’homme > Déterminisme p-55 : Philosophe = penser autrement + doutes p-56 : Comment savoir ce qui est vrai (§2) / Questionnement sur qui suis-je. p-57 : 1ère vérité = J’existe suivi d’un doute > nature des sentiments Définition Matière / Corps p-58-59 : Analyse des sensations, de l’être. Attention, médiation

volonté de chaques personnes , "d'être unique" . Elle forme donc un paradoxe entre la volonté et le réelle . Cependant, je ne me résume pas dans ce que je suis à une simple identité civile. En plus d'un corps physique, je suis également une substance pensante : j'ai en effet la possibilité de m'interroger sur mon identité intérieure, sur mon identité profonde qui ne figurent sur aucune carte d'identité, en sois d'analyser cette partie interieur propre à chacun , accessible par le travail pshychique

d’une machine. Ceci est la vision du philosophe Descartes. Or, certain philosophe comme Claude Bernard et Kant ne sont point du même avis. Oui certains fonctionnements ressemblent au mécanisme des machines, mais l’être vivant possède beaucoup plus de fonctions, possède une force formatrice en plus de la force motrice. C’est donc assez illusoire de réduire le vivant, aussi complexe, à une simple machine. Nous allons donc opposer le mécanisme de Descartes, à la finalité interne de Claude Bernard ainsi

vie. - Bergson, Stahl et Bordeu (une sensibilité des fibres nerveuses, l’ « âme » est partout où il y a un mouvement spontané) Le vivant se rapporte uniquement à de simples rapports physicochimiques, le corps se rapporte à une machine. - Descartes (Les animaux machines) Le vitalisme est une explication de la vie. On lui reproche de faire du vivant un empire dans un empire : il existe en l’homme une force mystérieuse, sauf que reconnaître cette force fait échapper le vivant aux lois communes

tandis que les (autres) animaux suivent leur instinct. Pour mieux comprendre cette thèse nous nous sommes tourné vers la pensée de Descartes. Pour lui, en effet, c’est parce qu’il est doué du libre-arbitre que l’homme peut-être dit « à l’image et à la ressemblance de Dieu » - et en cela différent des animaux. Descartes face aux critiques Mais la thèse défendue par Descartes ne rencontre-t-elle pas des obstacles ? Indépendamment de la question de Dieu, dont on peut ici faire abstraction, peut-on, ainsi

instant n’est pas le même que celui où il y avait une seconde de moins ou celui où il y a une seconde de plus. Une seconde est significative, en une seconde une personne peut naître ou une personne peut être morte. Dans ses Méditations métaphysique 2, Descartes fait un constat sur un morceau de cire. Cette cire se transforme dès qu’il y a une source de chaleur, elle n’est de ce fait jamais la même après que la source de chaleur l’ai transformée. Elle change lorsqu’un événement se passe. Par exemple, les

laisserait en chacun de nous l’angoisse et le vertige d’exister. Il est vrai que, qu’on TB On pourrait considérer qu’il s’agit d’une version existentialiste des Méditations métaphysiques de Descartes, plus particulièrement ici de la première méditation qui, par la méthode du doute hyperbolique (Descartes doute de tout, de l’existence de son corps, du monde, des autres) parvient à cette seule certitude : « Je pense donc je suis » Ici c’est « je pense donc j’existe » Tb mais cela supposait

prendre soi-même pour objet de réflexion, ou d’étude, est propre à l’homme. On distingue, pour plus de précision, la conscience spontanée, commune aux animaux supérieurs et à l’homme, et la conscience réfléchie, propres aux êtres humains. Pour Descartes la conscience est l’attribut essentiel de la pensée tandis que pour Freud elle n’est liée qu’à une faible partie de notre activité mentale. Perfectibilité : Sens usuel : aptitude à progresser, à se perfectionner. Chez Rousseau : aptitude à changer

surmoi est l'héritier du complexe d'Œdipe. II] Pensées de philosophes sur l'inconscient Descartes : « En sorte que ce moi, c'est-à-dire l'âme par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement distincte du corps, et même qu'elle est plus aisée à connaître que lui, et qu'encore qu'il ne fût point, elle ne laisserait point d'être tout ce qu'elle est. » (Discours de la Méthode, 4e partie, in Descartes, Œuvres, Lettres, p. 148, La Pléiade, Gallimard.) Leibniz : « Il y a mille marques qui font