Descartes Substance Pensante

conscience, mais aussi à la notion de liberté individuelle et collective. Tout d’abord, quelle relation y a-t-il entre pensée et sujet ? Par ailleurs, ce sujet pensant est il isolé d’autrui ? Plus généralement, sa liberté de penser est-elle façonnée par la vie en société ? Enfin, n’est ce pas au plus profond de lui-même que le sujet pensant rencontre les limites de la maitrise de sa conscience ? En premier lieu, il parait primordial de s’interroger sur la signification du verbe penser. L’étymologie

Profession de foi du vicaire savoyard, Rousseau p-53 : Recherche de la vérité / Ref à Descartes p-54 : Philosophes : tous d’accord pour se disputer Question sur l’origine de l’homme > Déterminisme p-55 : Philosophe = penser autrement + doutes p-56 : Comment savoir ce qui est vrai (§2) / Questionnement sur qui suis-je. p-57 : 1ère vérité = J’existe suivi d’un doute > nature des sentiments Définition Matière / Corps p-58-59 : Analyse des sensations, de l’être.

DESCARTES Quelques éléments biographiques Jusqu’à son installation en hollande : René Descartes est né en Touraine le 31 mars 1596. Son père, conseiller au Parlement de Bretagne, s’est occupé de l’éducation de son plus jeune fils et a été frappé par la curiosité et la soif de savoir de celui qu’il appelait (déjà !) « son philosophe »… Vers sa dixième année, Descartes est envoyé au collège de jésuites de La Flèche qui vient d’être fondé par Henri IV et il suit pendant huit ans le cours des

multiplication de l’image. I. Ce qui semble menacer l’intériorité Montaigne note une distance : « Se trouve autant de différence de nous à nous-mêmes que de nous à autrui. » (Essais, II, 1). A l’alinéa 7 de la seconde Méditation, Descartes note que le « je pense » est évanouissant, et cependant constate une résistance à cet évanouissement : connaître, c’est détacher de soi et s’opposer ce qu’il y a à connaître. Or, dans ce même alinéa, il découvre que la pensée est un attribut qui

idée préconçue, substance étendue, un doute. Pour que mon esprit juge que la chose est vraie, je suspends ce doute. L’arrêt du doute est nécessaire pour poser un juger et penser. Quand la pensée, ne voit plus de place au doute, il ne doute plus et donc croit ? Un assentiment c’est l’esprit attentif qui clôt son examen. Tout jugement est une adhésion à un prédicat. Qu’est-ce qu’un JUGEMENT ? L’unité de la conscience. Qu’est-ce à dire ? Les termes du prédicat forment un toutCf Descartes : Le cogito « 

analyser. c) Dans la philosophie de Descartes, cette compréhension du rapport langage-raison est apparente. Descartes montre au Marquis de Newcastle que si les bêtes ne parlent pas, ce n'est pas parce qu'elles n'ont pas des organes manquants, mais parce qu'elle ne sont pas esprit, ''substance pensante'' Partie II II- Le langage humain admet des limites. Le problème de l'indicible. a) Toutefois, la perspective de Descartes est idéaliste, ici. Descartes suppose d'abord une âme. N'est-ce pas

à se connaître soi-même, ou au moins à se comprendre ? Quel pourrait être ce moi distinct du cerveau quoique inséparable de lui ? Faut-il penser une âme distincte du corps, entraînant de graves difficultés d’union de cette nouvelle substance avec la substance corporelle, ou bien faut-il poser autrement la question de ce qui permet l’émergence d’un sujet conscient, parlant et voulant, ou simplement désirant ? *Quiconque comprend cette question

obligatoire à l’homme - Remise en question de son environnement —> réflexion —> pv de la conscience - Seul le doute peut renverser des opinions - esprit critique - si on commence a douter on peut douter de tout - doute = pt de départ de la philo de Descartes = doute naturel et exagéré : douter de tout ce qui n’est pas évident : évite toute erreur - —> doute hyperbolique : doute cartésien : il considère tout ce qui est douteux comme faux = méthode systématique 1 Brouillon dissertation philosophie

qualités, sans me perdre moi-même. Où est donc ce moi, s’il n’est ni dans le corps ni dans l’âme ? Et comment aimer le corps ou l’âme, sinon pour ces qualités, qui ne sont point ce qui fait le moi, puisqu’elles sont périssables ? Car aimerait-on la substance de l’âme d’une personne abstraitement, et quelques qualités qui y fussent ? Cela ne se peut, et serait injuste. On n’aime donc jamais personne, mais seulement des qualités. Qu’on se moque donc plus de ceux qui se font honorer pour des charges

2. La fondation cartésienne de la subjectivité Descartes, Méditation Métaphysique (1641) Correspondant au cogito (« cogito ergo sum » : « je pense donc je suis »). Pour en arriver là, Descartes a entreprit, dans la première Méditation, de remettre en question toutes ses opinions car c'est pour lui la véritable méthode pour dégager une vérité absolument certaine ou indubitable. En ce sens, Descartes n'est pas un philosophe sceptique car il parvient effectivement, dans