Descartes Substance Pensante

La conscience c’est d’abord la faculté de réfléchir à ses actes (voir Nietzsche dico rechercher conscience +Nietzsche) I) aspect métaphysique : le cogito. A) la primauté du cogito. Descartes souligne la primauté du sujet pensant. Pour douter il faut que je pense que j’existe mais a titre de sujet pensant, « je pense, je suis ». Quatre conséquences : - logique méthodique : le cogito nous donne la première expérience de vérité absolue, donc il sert de point de départ à la reconstruction

Kant est plus mesuré. Il ne croit pas vraiment que les animaux sont des choses comme les autres. Contrairement à Descartes, il croit plutôt à une spécificité de certains organismes, les êtres vivants, qui ne sont pas de vulgaires machines (CFJ). Cf. fait que Kant définit la vie comme "faculté d'agir d'après la représentation d'une fin", ce qui est l'analogon de la liberté. Pour Descartes, on peut réellement faire ce qu'on veut des animaux, puisqu'ils ne souffrent pas : ainsi, pas de différence entre

est la sensibilité. La conscience sensible est présente des lors qu'une intelligence un peu complexe est développée. Les animaux en sont donc dotés dans une mesure plus ou moins importante en fonction de la complexité de leur système cérébral. Descartes lui, voyait l'animal comme une machine préprogrammé dans Traité du monde au XVIIe siècle. Il dit qu'il n'y a aucune différence de nature entre un animal vivant et une machine oeuvre d'un artisan comme les automates de Vaucanson. Mais les animaux

philosophe Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature. Mais c’est un roseau pensant » Toute conscience est une conscience morale La conscience

Le raisonnement qu'entreprend Descartes au sujet du doute aboutie à la consistance absolue du sujet. Pour lui, toute certitude peut être écrasée par le doute. Il faut alors faire le vide et admettre que tout ce que je crois comme étant rationnel est sujet au doute. Or c'est précisément à ce moment, où Descartes fait le vide le plus complet qu'il découvre qu'il peut douter de tout sauf de lui-même en train de douter. Dans les 2ndes Méditations Métaphysiques, Descartes soutient que même si un génie

Chapitre 2 Le fondement du droit de la morale Descartes = morale de la raison (raisonnable) Cette morale repose sur un dualisme entre eux l’âme et le corps. Ce dualisme s'enracine dans la science moderne qui apparaît au 17°s. Platon est dualiste. Galilée va construire la science moderne qui valide les hypothèses de Platon. Il va construire une physique mathématique c'est-à-dire qu'il va opérer une réduction du réel au géométrique. La science physique étudie l'inanimé. Ce qui donne naissance à

désigne l’individu qui subi un pouvoir politique qui s’exerce sur lui, dans un autre domaine le sujet : sub-jet en Grec c’est substance, ce qui demeure sans être modifié par les qualités. Selon Descartes la conscience est la caractéristique principale d’un individu car elle nous fait prendre conscience de soi. L’homme est capable de se réfléchir donc nous sommes un sujet pensant cela nous différencie des animaux. Pourtant, l’homme peut avoir une altérité dans sa conscience, éventuellement dans son

grandeur. Dans Pensées, Pascal utilise la métaphore du roseau pour qualifier la position de l’Homme, qui est le roseau le plus « faible de la Nature », mais qui est pensant. Cette conscience permet même aux plus misérables d’être grands par leur sensibilité, leurs sentiments. Le Cogito ergo sum (« je pense, donc je suis ») de Descartes suit cette même position, car le projet cartésien propose une nouvelle vision de la vie, dont le point d’ancrage serait justement cette conscience. La conscience. Pour

I-Quel est le sujet de la philosophie moderne ? A)Le sujet connaissant et conscient de soi, Descartes-Le cogito, la substance pensante ( Discourt de la Méthode, IV° partie) Titre complet : [« discourt de la méthode pour bien conduire sa raison] & [chercher la vérité dans les sciences »] La 1er partie du DM indique la formation qu’il a reçu : Collège Jésuite, évocation d’une déception, als que D. a suivit l’instruction du Collège de la Flèche, l’un des plus réputé du pays. ( Voltaire a aussi

se connaître soi-même, ou au moins à se comprendre ? Quel pourrait être ce moi distinct du cerveau quoique inséparable de lui ? Faut-il penser une âme distincte du corps, entraînant de graves difficultés d’union de cette nouvelle substance avec la substance corporelle, ou bien faut-il poser autrement la question de ce qui permet l’émergence d’un sujet conscient, parlant et voulant, ou simplement désirant ? C’est donc la question du sujet qui se pose. Si je suis sujet, comment se