Description Avec Personnification

faits tels que la guerre est une réalité horrible et qu’elle est un spectacle d’épouvante. Premièrement, dans le chapitre troisième, pour nous montrer les effets de la guerre en soulevant la réalité horrible qu’est cette dernière, Voltaire use de description, de figures de style et de vocabulaire dépréciatif. Tout d’abord, il décrit, sans porter de jugement, des passages relatifs à la réalité du genre à : « Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants et gagna d’abord un village voisin; […] »(Lignes

image du poète est abordée grâce à la description du rirenous démontrerons que le rire est traité sous toutes ses formes,puis que le poète se révèle être un paria. DEVELOPPEMENT I/ a-Tout d’abord, on peut constater que l’expression du rire est introduite sous ses differents aspects.En effet, sa description est réaliste. Il est « intime», fait partie de nous comme le souligne le champ lexical du corps humain : « bouche », « cou », « cœur ». La personnification du rire avec « grimacer » évoque la

poème qui nous livre un récit fantastique 1) Le récit d’une apparition * Shéma narratif traditionnel : situation initiale : 3 premières strophes : la ville + promenade du poete * Elément perturbateur : « tout à coup » st 4 * Description du vieillard : st 5, 6 et 7 * Péripétie : multiplication du vieillard : st 8 et 9 * St 10 : interpellation d’un potentiel lecteur incrédible : façon d’impliquer le lecteur dans le récit * St 11 : élément de résolution /dénouement : le

apparaître le néant à l’œuvre, la mort qui vient inévitablement (cf. portrait de Mme de Restaud dans Gobseck). > On peut diviser le texte en différentes parties : - v.1- 4 : adresse à la femme aimée et contexte du souvenir invoqué - v.5-16 : description de la charogne, méliorative malgré le spectacle répugnant - v.17-24 : perte d’unité de la charogne par les larves - v.25-36 : décomposition de la charogne - v.37-48 : adresse à la femme aimée promise à même mort et même décomposition Cependant

gothique et du roman policier, Ferragus s’ouvre sur une description du Paris de la Restauration, qui fournit le cadre d’une double intrigue, amoureuse et financière. Ville de tous les contrastes, suscitant à la fois crainte et admiration, la ville fait l’objet d’une description réaliste mais que les accents lyriques du narrateur élèvent au statut de mythe. I. Les mystères de Paris : incipit et suspens 1. Une position stratégique Cette description constitue l’incipit du roman, ce qui donne à la

disait Rabelais. - On verra comment la description objective de l’orange se fait subjective. - On verra comment Ponge, par son travail poétique parvient à extraire le meilleur de l’objet et du mot orange. - On verra comment le travail poétique peut faire d’un objet banal un objet poétique. Plan : I. Une description concrète de l’orange a) Une description riche b) Une description qui cherche à définir l’orange grâce à une comparaison c) Une description qui contribue à nous faire apprécier

sont pas remarqué habituellement et on apporte un nouveau regard (= transfiguration). Nouvelle forme = nouvelle conception du monde. Comparaison, métaphore, personnification, allégorie (image) pour montrer une conception nouvelle du monde : v2 (métaphore et personnification), v11 (personnification), v6 (comparaison), v19 (personnification). Figures qui insiste sur le bruit de la ville. Le poète dit que le monde qui l'entoure est plein de littérature, tout est poétique v2, les affiches, les catalogues

(“horrible”) et morale ( “bête”) laideur physique  beaut�morale Laideur physique basse 3 Laideur atténuée par la répétition ( x 2) de "j‘aime" Précision, insistance. Laideur exagérée Laideur exagérée, évoquée par des détails évocateurs, description précise et insistante Laideur suggérée- gradation Laideur (« pâle »)  » atténuée 4 Poème régulier- sorte de déclaration d’amour ( éloge) Forme Régulière- alternance alexandrins/ octosyllabes. = ironie Nouvelle pratique du sonnet qui

se retrouve. On distingue beaucoup de descriptions détaillés qui nous permettent d’imaginer ce qui se passe d’une manière très précise et concrète. Par exemple, l’auteur décrit le vent : « le vent léger et tiède, qui soufflait depuis le matin, est maintenant tombé » puis immédiatement ensuite l’auteur décrit la forêt : « et la forêt, totalement figée, s’enivre de la lumière dorée de la mi-octobre ». L’auteur utilise des figures de style comme la personnification pour décrire ces éléments : « le vent…maintenant

influencé dans son comportement par son hérédité et le milieu dans lequel il vit.Pour Zola, un roman est un bocal d’expérimentation. Dans cet extrait, la page 15 du livre, la famille Raquin vient d’arriver dans leur nouvelle habitation. On a donc une description initiale de l’endroit sinistre.Nous arrivons donc à la problématique ; Qu’est ce qui fait de cet endroit un endroit sinistre ?Ensuite, grâce à nos 3 grandes parties, nous allons pouvoir en tirer une conclusion et répondre à la problématique. L’obscurité