Description Avec Personnification

commence par « charmilles » en opposition avec le verbe « dévorer » l.4 et « piteusement » l.5 puis continu avec « fleurs » auquel il associe « pauvres », « étiolées » l.7, « languissamment » et avec des feuilles « pourries ». Il utilise aussi la personnification qui permet de rendre plus dramatique et sauvage l’état du jardin : « étiraient piteusement leurs bras décharnés » l.5, « penchaient languissamment la tête comme des jeunes filles poitrinaires » l.8, « avaient fait irruption » l.9. Le champ lexical

8 mais aussi avec une personnification antique du Sort : « la Fortune » v.1 et 9. Dans cette expression des regrets il laisse de la place pour un peu de douceur avec des allitérations en « m » sur l’ensemble de l’écrit. Cependant il insiste sur la perte d’une chose précieuse à ses yeux. « La Fortune » v.1 et 9 est devenue maîtresse de lui, il dit avoir perdu « cette divine ardeur » v.13, qu’il n’y aura plus cette « postérité » v.12 tant espérée. Il donne une description particulière du lieu où

Stendhal montre-t-il que ce paysage est en accord avec lasensibilité de la comtesse ?⟶ Monologue intérieur ⟶ Le paysage : - Support de rêverie et de médiation · Paysage d’état d’âme · Description très lyrique · Permet une réminiscence (la résurgence) du souvenir ⤷ rapport espace / temps · Personnification : engage un dialogue avec l’observateur⤷ Paysage parlant à la sensibilité de la comtesse⟶ Discours épicurien ⟶ caractère très poétique, paysage ordonné, structuré selon les principes esthétiques

décrit avec logique et aisance le phénomène, telle une œuvre d'art, et cette démarche qui se révèle être scientifique, conduit à l'émerveillement du lecteur, qui considère l'objet comme vivant, tel un être humain. Il est ainsi séduit, plongé dans la description, à tel point qu'il imagine que l'objet se situe tout près de lui, et parvient à ressentir cette chaleur, ce bien être que les Poêles lui procurent. Dans les deux premiers paragraphes, la métaphore filée apparait à la ligne 5, « une masse amorphe

L’Assommoir de Zola publié en 1877, Voyage au bout de la nuit de Céline publié en 1932 ainsi que Désert de Jean-marie Gustave Le Clézio publié en 1980 ne mettent pas en avant les mêmes caractéristiques de la ville. En effet à la différence de la description de la ville faite dans Voyage au bout de la nuit qui est plutôt positive, celle des trois autres textes est négative. Nous pouvons remarquer que afin de décrire la Ville, Celine utilise un lexique à caractère mélioratif, en effet l'utilisation d'expansions

étudier est tiré de Débarcadères écrit en 1922. Ce recueil est composé de différentes descriptions de différents ports. « Marseille » est un poème en vers décrivant le port de Marseille. Il y a 4 phrases qui développent 4 mouvements différents : la présentation générale : mer bruit, La réflexion sur l’accent, la lune et enfin une invocation directe de Marseille. Il est composé de deux parties : une description de la ville et une invocation personnelle du narrateur. Lecture du texte Marseille

rendent cette description pittoresque -Dans un deuxième temps, nous allons voir en quoi les comédiens collent a la réalité, pourquoi l’extrait s’apparente-t-il a une entrée théâtrale ? -Dans un dernier temps, nous verrons ce que nous apporte ce texte, et si le lecteur est lui aussi intégré dans le spectacle. - Incipit du Roman : Mouvements du texte : 1-8 : Repère temporel 9-30 : entrée et description de la caravane

la description de la maison telle qu’elle se présente aux yeux de Gervaise ainsi qu’à sa personnification. Puis dans un second temps nous dégagerons une métaphore de la vie de Gervaise perceptible à travers les nombreux détails qui décrivent cette maison et qui prennent ici valeur de symbole. Cet extrait confirme bien la technique de l’écriture naturaliste car on y note un sens aigu de l’observation et de la description du réel ainsi qu’un foisonnement de détails. En effet la description de la

rendent cette description pittoresque -Dans un deuxième temps, nous allons voir en quoi les comédiens collent a la réalité, pourquoi l’extrait s’apparente-t-il a une entrée théâtrale ? -Dans un dernier temps, nous verrons ce que nous apporte ce texte, et si le lecteur est lui aussi intégré dans le spectacle. - Incipit du Roman : Mouvements du texte : 1-8 : Repère temporel 9-30 : entrée et description de la caravane

a aussi le « souffle rauque » ou encore « échine cassé » (l.6). En plus de cela Etienne nous offre une critique du monde minier grâce à de nombreuses personnifications : La mine du Voreux est « un trou maudit que trois pompes épuisaient sans relâches » (l.2) et les autres mines « fumaient dans l’air transparent du matin » (l.3), ces personnifications visent à donner une image inquiétantes des mines qui sont ainsi comparés à des monstres, quelque chose d’effrayant se dégage d’eux et le lecteur peut