Description Avec Personnification

éthers »).– La deuxième strophe débute par « Mon esprit », le déterminant possessif introduit le caractère lyrique du texte. Et nous apprenons que c’est l’esprit qui voyage.– Personnification d’ailleurs de l’esprit que le poète tutoie: « tu te meus avec agilité ». L’esprit possède un corps d’athlète.– Cette personnification s’amplifie au vers suivant avec la comparaison « comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde ». (Ici, se pâmer doit se comprendre comme vivre une sensation très agréable, atteindre

peindre » y compris « tout ce qu’il y a de plus laid » : son recueil ne relève donc pas de la « parfaite » magie et propose au contraire une peinture souvent réaliste 1. Le portrait d’une ville détériorée -La première strophe du poème « Le Soleil » :-description et champ lexical péjoratifs, présentation d’une ville délabrée dominée par le vice.-Le cygne, strophes 2,3 et 8 : -tableau de Paris en travaux, ville qui change. Baudelaire présente la réalité telle quelle. -Le crépuscule du soir :-dresse un portrait

I / Une description de la rose qui permet de magnifier la femme Construit autour d’une rose, dont il s’agit de détailler les atouts, le poème propose une métaphore filée de la femme. A ) La métaphore filée de la rose Sous le prétexte d’admirer cette rose, le poète construit en effet une métaphore autour de la femme. Celle-ci est désignée par le titre 'mignonne'. La mention de la "robe" (v. 3), reprise par le détail des "plis de sa robe" (v. 5), renvoie aux formes de la femme. De même

quoi la présentation de cette locomotive est-elle une description de de l'une des Bêtes humaines ? En premier lieu la description réaliste et en deuxième lieu l'idéalisation de la Lison. Dans cette extrait , on peut remarquer une description de précision de la locomotive comme « d'une élégance fine et géante » L.5 mais aussi une description plus organique « poitrail large » L.6 ou encore « ses reins allongés et puissants » L.6. La description de cette machine mêle deux types adjectives qualificatif :

Commentaire composé : Les caractères : La Bruyère , Livre X , Texte 29. Introduction : Le texte n’appartient pas au genre narratif ni romanesque. C’est en effet une description, puis l’analyse de celle-ci. Ce n’est pas non plus une fable, mais bien une parabole. I. LE MYTHE DU BON PASTEUR Tout d’abord, La Bruyère s’appuie sur un genre littéraire : la pastorale (c’est à dire le genre où les rois aiment les bergères...) présent dans le théâtre, mais aussi dans les arts (décoratifs...). Ce genre

Poème en vers libres Strophe 1 : le décor 6 Vers longs et rythmés : mouvement doux (balancées, brise, berce) Ambiance feutrée : brume, profond, Personnification de l’Afrique : battre son pouls Sens auditif : bruissent, chanson, chant, écoutons, pouls, silence rythmé Sens tactil : les mains Image de la femme : nourricière (nourrice)

démontre que le texte a été écris de la perspective d’un enfant. Pour créer une scène qui déborde de joie, l’auteure emploie plusieurs figures de rhétorique comme des personnifications, des métaphores et les sensations physiques de Christine. Lors de l’arrivé à la plage, le sable est « aussi doux aux pieds qu’au regard ». Cette description appuie fortement la composition physique de la scène, exactement de la même manière qu’un jeune l’aurait décrit. Un peut plus loin, elle personnifie les vagues en

le milieu Bourgois dans le texte, car, à cette époque, seule cette classe sociale, pouvaient gaspiller du temps et de l’argent dans les magasins à faire des achats, « la femme venait passer chez lui des heures vides… ».Zola s’attache aussi à une description extrêmement précise pour multiplier les effets de réel, « Six heures allaient sonner, le jour qui baissait au-dehors se retirait des galeries couvertes, noires déjà, pâlissait au fond des halls, envahis de lentes ténèbres ».Il effectue un portrait

Val », tiré de ce recueil est présentée sous forme d’un sonnet : c’est une forme classique de la Renaissance avec la chute respectée au dernier tercet. I Le paysage et le personnage du tableau 1) Le paysage a)  Un tableau (organisation de la description) : nombreuses notations visuelles décrivant avec précision le lieu. Comme dans un tableau, il y a un arrière-plan mis en place dans le premier quatrain (un « petit val » -reprise du titre-, décrit aussi comme un « trou de verdure », c’est à dire

On retrouve un parallélisme avec la répétition de « je suis ». Ligne 14 : « quelques-unes, cependant, semblaient courir », une personnification des étoiles, ligne 15 : « bâtiments en marche », une personnification des bateaux, pourvus, ici, de jambes avec la métonymie « bâtiments ». Enfin, le dernier paragraphe de l’extrait laisse présager un petit retour à la réalité puisqu’il est utilisé l’expression « vraies étoiles »