Description De Homais

la fin du couple. 3. Les deux villages. Description anonyme d’Yonville qui s’oppose à celle de Tostes qui devient le centre duroman.La ferme du père d’Emma et celle de la nourrice de Berthe : la réussite du père s’oppose àl’échec et à la misère de la nourrice. 4. Les personnages vont par couple. Charles a eu deux épouses que tout oppose (physique, morale ; l’une l’aime, l’autre non…)Emma a deux amants qui s’opposent en apparence. Homais / Charles, le pharmacien et le médecin : le premier

la vie de Madame Bovary comme une étude presque scientifique, puis des décalages par rapport à ce réalisme d'un monde marqué par un héritage romantique. Le projet de Flaubert se veut réaliste, comme nous le verrons dans les personnages, les descriptions et l'exploitation de l'ennui. Dans un premier temps, le roman s'inspire d'un fait réel de l'époque, le suicide de Delphine Delamare, femme de province détruite par sa ruine et l'abandon de son amant. Flaubert va dépasser ces raisons en imaginant

vie, et par conséquent une belle mort. C’est triste, sa vie comme sa mort ont été des échecs dans la même manière. Sa mort est douloureuse et horrible et Flaubert attire notre attention sur ce point dans cet extrait. L'extrait commence par une description physique du corps agonisant d'Emma. Flaubert décrit les différents aspects de l'apparence d'Emma dans le processus rapide de son corps qui se rapproche de la mort : ‘sa poitrine aussitôt se mit à haleter rapidement’, la prose est confrontée aussi

premières représentations, de courses et de soirées, s’intéressait au début d’une chanteuse, à l’ouverture d’un magasin. Elle savait les modes nouvelles, l’adresse des bons tailleurs, les jours de Bois ou d’Opéra. Elle étudia, dans Eugène Sue, des descriptions d’ameublements ; elle lut Balzac et George Sand, y cherchant des assouvissements imaginaires pour ses convoitises personnelles. À table même, elle apportait son livre, et elle tournait les feuillets, pendant que Charles mangeait en lui parlant

premières représentations, de courses et de soirées, s'intéressait au début d'une chanteuse, à l'ouverture d'un magasin. Elle savait les modes nouvelles, l'adresse des bons tailleurs, les jours de Bois ou d'Opéra. Elle étudia, dans Eugène Sue, des descriptions d'ameublements ; elle lut Balzac et George Sand, y cherchant des assouvissements imaginaires pour ses convoitises personnelles. À table même, elle apportait son livre, et elle tournait les feuillets, pendant que Charles mangeait en lui parlant

premières représentations, de courses et de soirées, s’intéressait au début d’une chanteuse, à l’ouverture d’un magasin. Elle savait les modes nouvelles, l’adresse des bons tailleurs, les jours de Bois ou d’Opéra. Elle étudia, dans Eugène Sue, des descriptions d’ameublements ; elle lut Balzac et George Sand, y cherchant des assouvissements imaginaires pour ses convoitises personnelles. À table même, elle apportait son livre, et elle tournait les feuillets, pendant que Charles mangeait en lui parlant

hasard. Flaubert insiste de façon significative sur la description ( très différente de celle de Balzac qui fait ressortir également l'aspect social, mais en donnant une prédominance à la matérialité). Chez Flaubert la fonction de la description est assez difficile à cerner. Examinons de plus près le texte du chapitre huit. D'emblée, avec l'arrivée au nouveau château, on entre dans la subjectivité du personnage. L'utilisation, dans la description, de formes géométriques est un procédé qui incite à

Focalisation : Il y a trois point de vue qui sont présent dans le roman : omniscient (présentation de la ville d’Yonville), externe ( la premiere description d’homais qui est le pharmacien d’Yonville et une connaissance des bovary ) et interne (comme le bal de vaubyessard ou tout est vu et ressenti par Emma) III Les personnages Schéma actenciel Homais : Pharmacien d’Yonville Justin : commis d’homais, il aime emma et c’est un adolescent. Lheureux : marchands de nouveauté et usurier. Mme

Emma. Un médecin, gentil et sympathique, mais il est borné et rustre à la fois. Il n'est pas intelligent ni ambitieux. Il aime beaucoup Emma mais il ne comprend pas ce qu'elle désire. Il est également bon, brave et attentionné envers son épouse. M. Homais- Il appartient à la classe sociale des bourgeois il exerce le métier de pharmacien à Yonville-l'Abbaye, il n'est pas très sûr de lui même. Il a de l'influence, et grâce à cette dernière il fait de Charles le médecin de la ville. Il ne croit pas à

premières représentations, de courses et de soirées, s’intéressait au début d’une chanteuse, à l’ouverture d’un magasin. Elle savait les modes nouvelles, l’adresse des bons tailleurs, les jours de Bois ou d’Opéra. Elle étudia, dans Eugène Sue, des descriptions d’ameublements ; elle lut Balzac et George Sand, y cherchant des assouvissements imaginaires pour ses convoitises personnelles. À table même, elle apportait son livre, et elle tournait les feuillets, pendant que Charles mangeait en lui parlant