Description De La Maison Vauquer

L’imparfait et le passé simple de l’indicatif Ce sont les deux temps caractéristiques du récit au passé. – L’imparfait correspond à une action qui a eu lieu dans le passé, et dont on ne connaît ni le début ni la n. Il est le temps utilisé pour la description. Exemple : « L’hôtel se trouvait sur le boulevard de La Chapelle, à gauche de la barrière Poissonnière. » – Le passé simple correspond à une action qui a eu lieu dans le passé, et dont on connaît le début et la n. Il est utilisé pour rendre

Père Goriot, texte 1 (p.95) Rastignac (R) : rupture entre son nom (nom d’une vieille famille noble) et sa fortune puisqu’il est pauvre -> ce que la noblesse rejette Il vient à la pension Vauquer pour étudier « Grâce à sa tante de Marcillac, le pauvre étudiant avait été bien reçu dans cette maison, sans connaître l'étandue de cette faveur » -> point de vue omniscient du narrateur -> accès aux pensées de R et des persos « ! » -> traduis les pensées de R = monologue Sujet postérieur au récit = passé

mène jusqu’à sa maison ; comme nous pouvons le constater dans cette citation : « Une odeur lourde de nourriture, de fosse d’aisances et d’humanité, une odeur stagnante de crasse […] l’emplissait du haut en bas ». C’est bien le changement radical d’environnement qui change brutalement son humeur et sa perception. Le dernier texte, extrait du roman l’Amant de Duras présente la séparation entre Marguerite et son amant. Le texte est écrit sous une focalisation externe car la description des événements

pensionnaires de la maison Vauquer, Victorine Tailleferre et Eugène de Rastignac, le narrateur fait le portrait initial d’un dernier résident : M. Vautrin. Ce portrait nous montre un homme assez mystérieux, dont l'aura sur les autres est importante, un homme à double visage. A R G 1 Tout d’abord, nous voyons que Balzac, dans ce portrait, il nous présente un personnage de la démesure. Dès la première lecture nous pouvons très bien constater que le narrateur, avec l’alternance d’une description explicite

détail dans la description des personnages et du lieu dans lequel ils évoluent : la Maison Vauquer dans le Père Goriot). II. Transposer le réel L’écrivain procède à une transposition du réel. - Les difficultés d’imiter le réel : dans l’autobiographie, malgré le pacte autobiographique noué avec le lecteur dès les premières pages, il y a une réelle difficulté de retranscrire avec exactitude le passé. Les souvenirs sont transposés. - Introduction d’un point de vue : les descriptions, l’action passent

qui sont de tendres jeunes gens, presque adolescents, et avec Poiret et Goriot, tous deux sur le déclin de l’âge. Le recours à une formule populaire, « un fameux gaillard », plus expressive qu’un longue phrase, et placée en exergue à l’orée de la description physique, manifeste en peu de mots la vigueur, la prestance, l’audace. Dans la physionomie, on interprétera correctement ce signe apparent, les rides : « sa figure rayée par des rides prématurées… »;elles ne traduisent pas l’usure de l’âge, mais

achevée. En 1850, épuisé par son travail, Balzac meurt, quelques mois après avoir épousé Madame Hanska. 1.2. Résumé du roman « Le Père Goriot » Roman extrait de la comédie humaine écrit par Balzac en 1835. A la fin de l'année 1819, la maison Vauquer à Paris, abrite plusieurs pensionnaires dont certains ont un comportement assez mystérieux. Parmis eux un certain M. Vautrin et un vieillard, le père Goriot. Deux jeunes gens : Victorine Taillefer, une orpheline, et Eugène de Rastignac, un étudiant

L’intérêt du personnage est de soutenir l’intention du lecteur tout en lui permettant de s’évader, de s’identifier, de réfléchir et de comprendre certains faits ou même ressentis interlopes. Le personnage est un des piliers du roman, c’est par sa description qu’il intéressera le lecteur et alors le plongera et lui fera croire à la réalité du récit. Dans le roman d’Emile Zola, Germinal, les différents personnages, héros, retranscrivent, à travers l’imagination de l’auteur, la vie des mineurs français

personnage avec son revenu exact. Par exemple le père Goriot arrive à la pension Vauquer avec huit à dix mille francs, sa fille Delphine de Nucingen a une dot de trente mille francs de rente, Eugène de Rastignac a trois cent mille livres de rentes en fin de carrière... -presque aucun récit qui ne fasse pas mention de l'avoir ou des rentes d'au moins un personnage. (L'argent sert d'unité de mesure romanesque.) -description des manipulations des banquiers, s'enrichissant de la ruine d'honnêtes commerçants

l’Empire qui, tenu pour mort à la bataille d’Eylau, rentre chez lui après des années d’errance. Mais la gloire a passé, et celui qui revient d’entre les morts est mort aux yeux des vivants : sa femme, en se remariant, l’a dépossédé de sa fortune ; sa maison est détruite, sa rue débaptisée, et le nom « Chabert », sous la Restauration, ne signifie plus rien – il est devenu, pour celui qui le porte, « désagréable » (p. 70). Aux glorieux combats d’antan se substitue alors une bataille d’ordre juridique,