Description Lieu Merveilleux

 antanaclase, chiasme, paronomase…). Utilisation de rythmes ternaires pour créer des moments oratoires équilibrés après l’expression vive des sentiments. Recours à des formes incantatoires (anaphores, allitérations, paronomases). Le goût pour des descriptions vives, capables d’ébranler l’affectivité du public (pleurs, rires). Cette volonté de persuader à tout prix peut sombrer dans la manipulation : le locuteur cherche à prendre le contrôle de son auditoire en l’affolant (en jouant sur ses peurs ataviques

? Quel titre est au discours direct ? Quel est son sens, à votre avis ? À l'issue de la séance, les hypothèses de lecture seront rassemblées dans un tableau. Qui ? (Personnages) Quoi ? (Type de récit Thèmes abordés) 2 Quand ? (Époque) Où ? (Lieu, pays) II- Entrer dans l'histoire (chapitre 1) Objectif : Découvrir la situation initiale, le statut du narrateur, les personnages et leur caractérisation. 1- Les indices de l'énonciation => Lecture commune des pages 11 à 13. Définir la situation

physique et moral : Physionomie, fausse science qui consiste à interpreter les traits du visage et à en déduire le caractère ainsi que la personnalité de la personne. Ces thèses sont devenues racistes par la suite.Dans les romans du XIXème siècle, le lieu où habite le personnage donne des informations sur lui. Usurier interdit par l'Eglise et l'Islam, les juifs prenaient ce métier. Balsac un peu antisémite. « Gobseck » → gobe l'argent. Un personnage peut être perçut par son milieu, l'endroit où il

physique et moral : Physionomie, fausse science qui consiste à interpreter les traits du visage et à en déduire le caractère ainsi que la personnalité de la personne. Ces thèses sont devenues racistes par la suite.Dans les romans du XIXème siècle, le lieu où habite le personnage donne des informations sur lui. Usurier interdit par l'Eglise et l'Islam, les juifs prenaient ce métier. Balsac un peu antisémite. « Gobseck » → gobe l'argent. Un personnage peut être perçut par son milieu, l'endroit où il

antanaclase, chiasme, paronomase…). Utilisation de rythmes ternaires pour créer des moments oratoires équilibrés après l’expression vive des sentiments. Recours à des formes incantatoires (anaphores, allitérations, paronomases). • Le goût pour des descriptions vives, capables d’ébranler l’affectivité du public (pleurs, rires). Cette volonté de persuader à tout prix peut sombrer dans la manipulation : le locuteur cherche à prendre le contrôle de son auditoire en l’affolant (en jouant sur ses peurs ataviques

antanaclase, chiasme, paronomase...). Utilisation de rythmes ternaires pour créer des moments oratoires équilibrés après l’expression vive des sentiments. Recours à des formes incantatoires (anaphores, allitérations, paronomases). Le goût pour des descriptions vives, capables d’ébranler l’affectivité du public (pleurs, rires). Cette volonté de persuader à tout prix peut sombrer dans la manipulation : le locuteur cherche à prendre le contrôle de son auditoire en l’affolant (en jouant sur ses peurs ataviques

situations et de faits présentés comme relevant de l'invention, même si l'auteur recherche souvent un effet de réel, ce qui le distingue du simple récit-transcription (biographie, autobiographie, témoignage...), mais aussi du conte, qui relève du merveilleux. La diversité des tonalités littéraires présentes dans les romans est d'ailleurs totale. Le roman appartenant au genre narratif, on peut rendre compte de l'enchaînement plus ou moins complexe des événements d'un roman en établissant le schéma

se démarque explicitement du récit populaire. L'esthétique qu'il revendique est un esthétique romanesque, tout à l'opposé de celle du conte populaire. Il multiplie les expansions au récit tout sec et tout uni dont il a hérité. Il s'attarde aux descriptions du Pô, de la nature dans laquelle le prince s'égare, aux longs discours adressés aux courtisans et à Grisélidis, aux comparaisons élaborées, aux discours intérieurs, et surtout Grisélidis porte encore la marque du style précieux. Résumé : Un

Ce n'est qu'à partir du XIVème siècle que le terme compter se spécialise dans le sens de calculer.  Conter, c'était à l'origine "relater un fait en énumérant ses diverses circonstances". Le conte est défini comme un récit situé dans un temps et un lieu indéterminés. Il est un récit apparemment simple, presque naïf. Mais il est à la fois transparent et opaque, sa simplicité est trompeuse. On pressent très vite que ce récit ingénu dissimule des significations importantes, on sent confusément qu'il

majeure relevée dans vos copies a été celle de la paraphrase essentiellement en première partie de devoir : beaucoup d’entre vous ont choisi de décrire les cyclopes sans lier cette description à des effets de sens. Vous êtes donc restés en deçà de la signification pour décrire et raconter le texte ! Cela a donné lieu ensuite à une seconde partie fourre-tout avec cette fois, toutes les idées, mais sans justification ! Ne racontez pas le texte : il faut l’étudier dans un propos argumentatif, analytique