Description Lieu Romantique

MAUPASSANT Chapitre 1 ligne 1(100 Lincipit doit nous livrer des indications de temps, sur lespace et un minimum dinformations sur laction. Lincipit commence en gnral par une description. Dans lincipit dUne Vie, il y a peu de description (elle est pisodique, par touche). La technique de Maupassant est de faire une description fondue au reste du texte. Il y a focalisation immdiate sur Jeanne. Nous avons un dbut In Mdias Res (tout de suite dans la vie du personnage). Il y a une espce de va et vient

 » ; « avec qui ? » I. Un début de roman piégé 1. Incipit apparemment traditionnel: Lieu narratif: Paris. Cadre imaginaire mais avec des repères réels (noms de rue, monuments etc.) + repère historique (1819) + introduction des personnages. Texte répond sur le champ question « qui » --> Mme Vauquer + description. 2. Au delà des apparences : Ecart chronologique entre la date de la description et la narration ; enlacement des temps verbaux ; personnages détruits ; intervention du narrateur

conservée. un récit qui renvoie a une réalité mais qui est en même temps le souvenir-laisse place à la mémoire. On est face à une expérience fantastique -thématique du temps. La tonalité qui se dégage est la mélancolie qui s'adapte très bien au récit romantique un récit qui est un souvenir d'un voyage réalise par 3 amis,dont la vie d Octavien sera marqué a jamais; pompei c'est la ville réale mais c'est aussi la ville antique qui est présentée fantastiquement. Comme dans jettatura l' expérience amoureuse

|texte du corpus (grande | |siècle », première source|- René de Chateaubriand, |df |feuille A3) au choix, en | |d’inspiration romantique.|René, « Levez-vous, orages |« Trois éléments partageaient donc la vie qui s’offrait alors aux jeunes gens : |justifiant son choix par | | |désirés… », (1802). |derrière eux un passé à jamais détruit, s’agitant

portrait : ici, en dehors de ses « longs cheveux » rien n'est dit du portrait physique du personnage.- Mais des caractéristiques psychologiques ou morales sont également fournies : → Goûts culturels → Mélancolie, rêverie → Un jeune homme romantique, assez contemplatif (l.12), un peu vaniteux, orgueilleux (l.34) → Impatient, mais peu actif- Comme on le voit, c'est cette caractérisation physique, psychologique, mais aussi sociale (bourgeoisie, l.16-19) qui donne une réelle existence aux personnages

Par exemple à la ligne 37 : « échange de regard » ou à la ligne 28 : « binocle » ou encore à la ligne 15 avec le verbe conjugué à la première personne : « voit ».Également, l’ouïe est sollicité avec des évocations de couleurs qui enrichissent la description avec à la ligne 16 : »gris clair », ligne 12 : « jaune paille », ligne 13 « gros bleu »,…L’idée de fin est aussi avancé à travers l’expression « au retour » (l l1) car il s’agit de la fin

du siècle si cher aux romantiques (c). Un certain classicisme : Ce poème est composé de quatorze vers répartis en deux quatrains suivis de deux tercets et rédigés en alexandrins. Il s’agit donc d’un sonnet isométrique dont, conformément à la norme la plus classique, les deux premières strophes sont écrites en rimes embrassées. Quant à la volta – le premier vers des deux sonnets – elle introduit bien un tournant dans le poème puisqu’elle permet de passer de la description de la scène aux pensées

une image du poète à travers l’albatros. Il a pu penser à cette image lors de son voyage dans l’Océan Indien. La date d’écriture du poème n’est pas connue et cet écrit n’est pas un souvenir direct du voyage. Ce poème s’inscrit dans la ligne romantique. Le poème est composé de quatre quatrains où les trois premiers sont opposés au dernier. Après une présentation, il y a finalement une réflexion sur le poète. Il y a la volonté de créer une surprise. I – Narration pathétique Le titre annonce

Prétexte extrêmement riche, qui lui permet de digresser longuement sur ce qu'il nomme «la poétique des ruines». Diderot est un précurseur de bien des manières, cet extrait, par exemple, nous laisse entrevoir les thématiques qui seront celles des romantiques. Il est également le grand précurseur de la critique d'art telle qu'elle sera abordée par Baudelaire. Mais surtout, cet extrait nous permet de voir que, sous l'illusion d'une spontanéité subjective, Diderot rédige Les Salons en répondant à des visions

innombrables rapports'', lesquels imposent au recueil sa structure qui est "à la fois tête et queue, alternativement et réciproquement", devenant ESPT À trouv replie taure qui r veaul de Pt déÊa C aussi par l: unâ tion t au pl donn circul lieu. poési T Pam-: forrnq poe[i ainsi l'image pictogrammatique des mouvements browniens et des relations accidentelles qui tissent la trame urbaine, elle aussi sans queue ni tête - puisque circulaire. Le programme esthétique du Spleett apparaît alors