Deshumanisation

le désespoir, le sort réservé aux femmes et aux enfants destiné à la jouissance de ceux qui se nourrissent de la plus grande souffrance infligée à la population juive. Cela permet d’expliquer la légende qui vient renforcer la dégradation, la déshumanisation, le ravalement au rang d’animaux (des rats de la vermine un thème classique déployé depuis plus d’une décennie) qui révèlent une culture ambiante parmi les cadres de la SS qui justifie le passage à la violence dans laquelle la norme est de revendiquer

bronchait toujours pas » : son calme contraste étrangement avec l’horreur qui l’entoure. - la déshumanisation des soldats : Montrée par la l’image de « la chasse à courre » (l. 24-25) – les hommes sont considérée plus mal que des animaux : « plus enragés que les chiens, adorant leur rage  » (l. 5-6), « sa carne ne ferait pas plus de rôti que la mienne » (l. 29). Dans le 1er paragraphe, la déshumanisation est amplifiée par les superlatifs : « plus enragés que les chiens (…) cent, mille fois plus enragés

- Premières réactions, efficacité de la polyphonie et rôle des compléments circonstanciels de temps - « Lorsqu’une voix de jeune coq en train de muer »: Métonymie-synecdoque, capacité de Zola à caractériser un personnage en quelques mots. Deshumanisation péjorative, monde des hommes vu comme un poulailler autour d’une « poule ». - « Toute la salle regarda » + « Nana, cependant, en voyant rire la salle, s’était mise à rire »: Visée scopique, mimétisme de la montée du désir, complicité et savoir-faire

laissant paraître que les sons douloureux des supplices infligés aux forçats qui semblent rester silencieux et qui ne contestent pas.       Outre ce silence, on assiste aussi à une déshumanisation des prisonniers. Le champ lexical employé par Victor Hugo fait de nombreuses fois référence à la mort et à la déshumanisation : « entassées » (l1), « livides » (l1) : un terme indiquant la pâleur des cadavres, « les pieds nus » (l2), « funèbre » (l4) et « misère » (l3, l30) qui nous renvoi au titre global

garde contre les dangers de ces libertés données à la science. En effet, ce film nous présente la science comme un moyen de se plonger dans un monde parallèle. Elle explore le monde du clonage et met en évidence les risques, notamment celui de la déshumanisation. La liberté est remise en question dans ce film car il y a des dangers bien trop importants qui y sont abordés. Nous avons pu constater tout d’abord l’intérêt de la recherche scientifique pour l’homme. Malheureusement, le progrès comporte

effet, la laideur s’est représentée, entre autre, dans la distorsion, l’informe, le défiguré[38], la décomposition, la déstructuration, le morbide, le démoniaque, la dépravation, la souillure, l’immonde, le monstrueux, le grotesque et même la déshumanisation. D’ailleurs certains artistes ont « contrarié le plaisir que doit donner la beauté de l’art en lui opposant le déplaisir que cause naturellement le laid »[39]. Par conséquent, si les « beaux-arts » ne caractérisent plus l’ensemble de la production

Comme si le travail n'avait aucune tendance à déborder sur l'ensemble de la vie quotidienne des salariés, les entreprises imposent des conditions parfois extrêmes, allant de la pression, à l'humiliation et la déshumanisation, concluant dans certains cas par le suicide. Le travail peut-il alors être un facteur d'épanouissement ? Ainsi, il serait pertinent de s'interroger sur l'impact du travail dans la vie des salariés, ainsi que les façons dont la loi se positionne face à ses harcèlements moraux

éléments de lieu. Le contraste entre ce personnage mourant de faim et la nourriture qui l'entoure. Les aliments deviennent meme menacants. 3-L'absence d'Homme : Un seul etre humain, Florent. Beaucoup de personnes anonyme, la foule, sorte de déshumanisation. Personne ne fait attention à lui, il est seul. II ) La déformation de la réalité par Florent 1-Tout est vu par le regard de Florent : Focalisation interne, le personnage est cerné. Cette focalisation permet de ressentir les émotions de

cette humanité « se gagne » ? Ne faut-il pas alors préciser le sens du mot « gagner » ? Nous pouvons traiter le problème suivant en expliquant que le travail est avant tout une libération par rapport à la nature ; puis qu’il est aliénation et déshumanisation. Mais nous terminerons par voir que le travail est aussi source d’épanouissement. I) LE TRAVAIL COMME LIBERAION PAR RAPPORT A LA NATURE : Le travail est avant tout un effort de transformation de la matière et de la nature, de la production

le camp, perdent directement leurs identités: on leur demande de se déshabiller, on les rase et on leur tatoue un numéro: il restera leur « nom » pendant leur internement dans ces baraques. On observe dès leurs premières heures d'arrivée une déshumanisation omniprésente. Primo Lévi raconte que des anciens viennent leur rendre visite, et ne parlant pas de leur langue, les regardent et rigolent. Une humiliation commence à s'installer, et qui sera présente pour ceux qui refusent de se battre. Les chefs