Desirer Souffrance

en moins d’une seconde au-delà de la conscience. Il ne voyait plus clair. Il sentait pourtant que la place était encore déserte ; les policiers craignaient-ils une seconde bombe ? Il souffrait de toute sa chair, d’une souffrance pas même localisable : il n’était plus que souffrance. On s’approchait. Il se souvint qu’il devait prendre son revolver. Il tenta d’atteindre sa poche de pantalon. Plus de poche, plus de pantalon, plus de jambe : de la chair hachée. L’autre revolver, dans la poche de sa chemise

souvenir c'est nier l'existence ». Ainsi bien que la roue de la vie tourne sans arrêt, on peut rester figé dans le temps à travers notre mémoire car en fait, c'est cela le pouvoir du souvenir ; un substitut au présent même s'il révèle de la souffrance et du malheur et comme le dit Guy de Maupassant : « le passé est un miroir horrible qui nous rend triste ». Cependant, ce pouvoir captivant dont est doté le souvenir n'est vraiment efficace que si on se laisse faire par faiblesse car avec

Qui ont pleuré le sac au dos Les yeux baissés sur leurs chagrins Je voudrais faire un monument Pas de pierre, pas de béton Ni de bronze qui devient vert Sous la morsure aiguës du temps Un monument de leur souffrance Un monument de leur terreur Aussi de leur étonnement Voilà le monde parfumé Plein de rires, pleins d’oiseaux bleus Soudain griffé d’un coup de feu Un monde neuf où sur un corps Qui va tomber

trachées pendant cette première guerre mondiale. Lors de cette guerre, il est blessé à la tête par un éclat d'obus le 17 mars 1916, dans sa tranchée. Apollinaire aborde dans ce poème la souffrance qu’il doit endurer à cause de cette blessure. Nous étudierons dans un premier temps la douleur physique du poète puis sa souffrance psychologique et enfin comment le poète transcende sa douleur. * * * Tout d’abord ce poème met en scène une personne qui souffre. Nous découvrons alors que c’est le personnage

poésie à la lumière de la foi, et c’est cette fusion du soleil et du sang qui fait l’originalité profonde de leur œuvre. Moïn BACHICHOU, en proclamant : « Saignons, à Feth, Nous mourrons si nous pansons la blessure. » Révèle la fécondité de la souffrance, le feu sacré qui jaillit de la douleur, répercutant le cri de Mahmoud DARWISH qui narre la Passion de son peuple, crucifié comme le Christ mais comme lui immortel. « Et si je brûlais sur la croix de ma douleur Je ressuciterais saint en tenue

langage hyperbolique et l’interprétation erronée de la lionne.Conclusion    Dans ses fables La Fontaine accorde aux animaux une sensibilité et une certaine forme d’intelligence. S’ils n’en possédaient pas, comment comprendre en effet leurs cris de souffrance ou de joie, leurs capacités d’adaptation ou leurs ruses pour se défendre ?    Ainsi La Lionne et l’Ourse qui illustre bien notre société, est donc le porte-parole des « plus faibles » qui sont constamment abusés. Mais cette fable met en scène également

sentencieusement Hamm : « Loin tu serais mort. […] Loin de moi, c’est la mort ». 2°) … occupé par des êtres en souffrance … - souffrance physique : les quatre pers. ont des handicaps (rappel rapide), st marqués par la dégradation (Nagg vient de perdre sa dernière dent ; Hamm constate « […]mais nous changeons ! Nous perdons nos cheveux, nos dents ! Notre fraîcheur ! ») - souffrance morale : difficulté à communiquer, rapports sado-masochistes entre Hamm et Clov : « HAMM (outré).- Je ne t’ai

différentes des dates réelles car le poète a voulu que les dates coïncides avec la chronologie de ses sentiments, il a tout réorganisé. La date qui se répète est le « 4 septembre ». 5) Les sentiments les plus souvent évoqués par Victor Hugo sont : - La souffrance ; sa fille est morte le 4 septembre 1843, dans le livre on voie qu’à cette date il n’y a pas de poème, il n’y a qu’une ligne en pointillée, on peut en conclure que la douleur était tellement forte qu’il n’a pas pue en parler. Il refuse d’accepter

« tripalium » qui signifie « instrument de torture », en anglais le mot travaille se traduit par « labour » qui vient du mot labeur. Ainsi, on constate que depuis toujours, le travaille est considéré par l’être humain comme une nécessité, cause de souffrance. Pourtant le travail est aussi cause de bonheur, nombre de personne sont passionnés par leur travail et considèrent celui-ci comme l’objet le plus important de leur vie. Les artistes ajoutent la notion de passion à leur travail, cette spécificité

justification du spectacle, sans quoi | |on pourrait l’accuser d’exposer de provoquer l’immoralité par son exemple déplorable. L’idée de « cure morale » d’un spectacle | |qui en faisant revivre des émotions enfouies permet au sujet de se libérer de sa souffrance est reprise par la psychanalyse et le| |théâtre contemporain. Elle concurrence à certains égards la confession catholique et on a douté de son eficacité dès l’époque | |classique.