Destin De Meursault

Typologie ou classement : Je dirais que ce livre est de la catégorie de l’existentialisme mais pourquoi ? Pour cela, je dois d’abord vous expliquez ce qu’est l’existentialisme : C’est un courant philosophique qui représente l’Homme comme maitre de son destin ce qui implique qu’il est maitre de ses décisions et des valeurs qu’il adopte qu’il y ai des conséquences ou non et si oui, qu‘elles soient bonnes ou mauvaises, c’est de sa responsabilité et il doit les assumer. L’existentialisme vient du mot existence

« soleil couchant » le thème de la fuite du temps, de l’homme victime du destin de la mort. Apollinaire dans Le pont de mirago, le recycle pour faire voir le poids du temps sur l’homme. Réécrire c’est aussi se souvenir des personnages et les modéliser. Kafka dans le procès publié en 1925 peint un personnage joseph k. accusé de ce dont il ne sait pas. Il est un simple employé de bureau. Albert camus dans L’étranger peint meursault avec des rapprochements probant de joseph k. camus qui a publié une œuvre

que peut-tu dire de Mr Meursault dans l'Étranger de Camus? Mr Meursault est un personnage passif qui se laisse emporter par les événements, comme dans sa relation avec Marie. Le fait qu'elle lui ai demander si il voulait se marier le laisse indifférent, il n'exprime aucun sentiment au début du roman, et pourtant cela reste une intrigue intéressante même si cela peut paraître ridicule qu'il ai tué a cause du soleil. Dans la deuxième partie du roman, Meursault se réveille et exprime

L’Etranger : L'Etranger raconte comment Meursault enterre sa mère sans larmes et comment il continue de vivre jour après jour la même vie monotone et indifférente. Il a une petite amie, Marie, mais il ne montre aucun sentiment d'amour. Après avoir tué un homme, il commence à prendre conscience de l'absurdité du monde et du rôle de chacun dans cette absurdité. Quand il est condamné à mort, il n'a pas peur car il reste indifférent à sa destinée et si mourir était son destin, il l’accepte. Analyse de

d’hérédité, dans les Rougon-Macquart. Tout ceci pour garder une cohérence. Montherlant déclare : « Seuls les personnages de romans sont cohérents. » Le personnage de Camus, Meursault, est un homme qui ne veut pas mentir pour correspondre à ce qu’on attend de lui : il est logique. Le personnage adopte une allure ordinaire et son destin est des plus communs. Ainsi, peut-on se comprendre en lui et s’y identifier car il est la plupart du temps stéréotypé. On le considère comme le pivot central du roman

principal, Meursault qui ne trouve pas de l’importance là où tout le monde voudrait qu’il en trouve. Au regard de ses réponses telles que « je ne sais pas» , « cela m’est égale » abondant dans l’œuvre, l’on perçoit son insouciance et son indifférence voire son absurdité. Meursault refuse de se contraindre. Il se laisse s’exprimer telle qu’il le ressent. C’est pourquoi nettement « à cause du soleil », il peut tuer sans regret. Les juges n’ont pas fait que condamner le crime de Meursault. Plus loin

milieu de la mine. Grâce aux personnages ouvriers présents dans son roman, Zola dénonce leurs conditions de travail et de vie. Zola utilise également la médiocrité de ses héros pour servir sa thèse sur l’incidence de l’hérédité et du milieu sur le destin de ses personnages. Dans L’Assommoir, l’alcool précipite Gervaise dans la déchéance, et sa fille ne connaitra pas un sort plus favorable. personnage médiocre permet de rendre le récit beaucoup plus réaliste. Un personnage moyen, avec ses doutes

jusqu'au bout de leur destin et il n'est même jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu'à l'extrémité de leur passion. » La citation de Camus, extraite de son essai L’Homme révolté, propose une définition assez classique de l’univers et des personnages de roman : un monde accordé au « désir profond de l’homme », qui reflète certes les souffrances, les forces et les faiblesses de l’humanité ordinaire mais dont les héros qui « courent jusqu’au bout de leur destin » et « vont jusqu’à

implicitement proposée (thèse /antithèse/ synthèse). I – LE ROMAN A BESOIN DE HÉROS : de destins exceptionnels (Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal) de personnalités hors du commun (Mme de Merteuil dans Les Liaisons dangereuses de Laclos) de passions absolues (Des Grieux dans Manon Lescaut de Prévost) le rythme romanesque et la nécessité de susciter l’intérêt obligent à rendre exemplaire le destin de personnages pourtant médiocres (Gervaise dans L’Assommoir de Zola). II – POURTANT

personnage principal meurt. Caligula devient alors un tyran intransigeant qui prétend incarner « le visage bête et incompréhensible des dieux » afin de faire advenir les hommes à eux -mêmes face au destin qu'il leur soumet. Dans L'Etranger (1942), elle se traduit à la fin du roman par le comportement de Meursault qui refuse d'être sensible au jeu social et Le Mythe de Sisyphe (1942), écrit au même moment, la thématise avec la mise en évidence de l'opposition entre le besoin de clarification et l'opacité