Déterminisme social

(seul Dieu est sa propre cause, et, donc, absolument libre), et que la Volonté n'est qu'un mot qui n'a qu'une unité linguistique. Mais si l'homme n'est pas sa propre cause, est-ce dire qu'il est entièrement déterminé ? Spinoza accepte à la fois le déterminisme, mais affirme que l'homme est néanmoins libre et que sa liberté consiste dans la connaissance adéquate des causes diverses qui le déterminent. Au fond la liberté est, d'après Spinoza, la vérité et relève de notre âme (on parle, dorénavant, d'une

tête et qu'on vous verrait le cul... ».) . Jacques incarne aussi la pensée juste et le bon sens. Diderot nous parle du fatalisme et le déterminisme (doctrine selon laquelle tout, dans le monde, arrive nécessairement selon la loi des causes et des effets.) à travers ces différentes œuvres. Ici, il se moque de fatalisme du maître et met en évidence le déterminisme de Jacques. Voilà pourquoi Diderot a toujours été en opposition avec l’Eglise qui est purement fataliste. Diderot décrit la façon arbitraire

les théories de la contingence ont une vision trop déterministe de l’évolution de la structure de l’entreprise. Les gestionnaires n'ont pas de marges de manoeuvres sur leur environnement. Des auteurs comme Crozier vont montrer les limites de ce déterminisme par l’analyse du rôle des jeux d’acteurs sur l’organisation et la structure de l’entreprise. Conclusion Les théories de la contingence contestent l’existence d’un seul et bon mode d’organisation : à des situations diverses et

La conception ontologique de Spinoza Quelle ne fut pas ma surprise lorsque, effleurant la superficie de l’ensemble du système philosophique spinozien lors de l’introduction à son œuvre, je me trouvai face à une version étoffée et habilement structurée de quelques intuitions que j’eu il y a quelques années. En effet, la lecture de l’Éthique me permit d’achever de consolider la conception de Dieu que je me construisis au fil des années, tout d’abord naïvement puis se structurant tranquillement

pas non plus ce qu’attend l’amant de l’autre. « Qui se contenterait d’un amour qui se donnerait comme pure fidélité à la foi jurée ? » ; cette interrogation veut dire que la liberté sous son aspect le plus pur, c’est-à-dire sans aucune forme de déterminisme possible d’affecté le libre arbitre de l’autre être conscient, n’est pas compatible avec l’amour, même si ce dernier le réclame car pour Sartre l’amour est avant tout la volonté de posséder l’autre. Prenons par exemple le concept de la fidélité :

extérieure. Déterminisme scientifique: Le déterminisme scientifique consiste à expliquer une suite d'évènements ou de phénomènes par le principe de causalité. Par exemple, si l'on échappe une balle, elle va tomber et l'on pourrait expliquer sa chute par la gravité. De plus, on pourrait même prévoir sa trajectoire en se basant sur les lois de la physique; le future de la balle serait donc déterminé. Déterminisme philosophique: Contrairement au déterminisme scientifique, le déterminisme philosophique

notre « destin » et nous sommes toujours libre de choisir notre futur. - Nous n’avons pas de destinée préconçue, nous pouvons tous échapper à un sois disant avenir pré écrit. La destinée n’existe pas, nous avons tous le choix. (Exemple de contre déterminisme) - Nous détenons un libre arbitre ; nous pouvons choisir nos actions, nous ne sommes pas condamnés par le poids de nos choix passés à en subir les conséquences. Nous pouvons, certes passer notre vie à ruminer notre passé mais nous pouvons aussi

les hommes; nous sommes condamnés à être libres").-Note 1: à propos du fatalisme et du déterminisme qui tentent de nier la liberté humaine au sens philosophique :-Fatalisme: tout ce qui peut arriver dans le monde est écrit ou prédit = contenu essentiel du fatalisme, doctrine qui postule qu'une puissance mystérieuse fixe inéluctablement le cours des évènements. Le fatalisme est profondément irrationnel.-Déterminisme: il n'est pas l'envers de la liberté, car on ne peut appliquer à la conduite humaine

possible, est-il légitime. •liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de celui qui est délivré des passions et agit à la lumière de la raison. •esprit : La notion d'esprit revêt plusieurs sens. Elle

causalité, qui selon eux est une habitude psychologique et non un loi universelle, Kant rend cette loi de causalité aux sciences mais détache ce déterminisme accrodé aux science, de l’être humain. En effet si l’être humain obéit à cette même loi de causalité (determinisme) il n’y a plus de morale possible, plus de liberté. Il détache donc Déterminisme -> causalité -> connaissances scientifique appartient au phénomène Et crée donc la morale à partir de ce détachement et de cette limite