Deuxième choc pétrolier

les Israéliens se soient retirés des territoires occupés. De plus, le prix du baril est porté de 3 à 5,12 dollars. La réduction de la production, évaluée à environ 25 p. 100 en novembre 1973, et la hausse du prix du brut constituent un véritable choc dans les pays occidentaux, d’autant plus que le 23 décembre 1973, l'OPEP fixe le prix du baril à 11,65 dollars, soit, en trois mois, quasiment le quadruple des prix ayant cours. Cette brutale augmentation, qui met fin au pétrole bon marché, n'a pu

lors de la table ronde organisée mercredi dernier par la CCIR en quoi l’actuel choc pétrolier est différent des autres et en quoi il peut être salutaire. Mots-clés : Mondialisation Partager18 Le pétrole a été utilisé par les Mésopotamiens, les Phéniciens, les Égyptiens et les Chinois dans des domaines différents. L’histoire de l’industrie du pétrole commence véritablement avec le forage d’un gisement pétrolier du colonel Drake en 1859. La révolution industrielle et l’accroissement de la population

pétrole. L’annexe 5 nous apprend que le déséquilibre sur le marché pétrolier vient de la montée en puissance des pays émergents qui réclament à leur tour une partie du pétrole. Question 3 Evolution du cours du baril Au début des années 1970, un premier choc pétrolier apparaît : les pays du Moyen-Orient, en conflit, réduisent leur production de pétrole. A la fin des années 70 et au début des années 80, le deuxième choc pétrolier arrive. La révolution iranienne puis la guerre entre l’Iran et

premier choc pétrolier et la dissolution des utopies ; « soixante hurlades » faisait ranger les préoccupations écologiques dans le placard aux enfantillages se focalisait sur la croissance de l’économie dans la foulée d’une multiplication par quatre du prix du pétrole, les économies développée redécouvraient le chômage, qui s’installait comme premier impératif social. PENDANT PLUS DE DIX ANS, TOUT L’EFFORT POLITIQUE ET ECONOMIQUE JUGEE SEUL MOYENS DE COMBATTRE LE FLOT : LE DEUXIEME CHOC PETROLIER

fameuse stagflation (l’inflation dans la récession), jusqu’alors cantonnée au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. Rançon de ces difficultés, le chômage s’accroît : 3.9% de la population active pour l’OCDE en 1974 et 5.4% en 1975. Généralement, les chocs pétroliers exercent trois effets majeurs. D’une part le dérapage inflationniste. Par exemple, en 1974 dans les pays de l’OCDE le taux d’inflation moyen atteint 13.5%.D’autre part, dans les pays de l’OCDE en 1975, le PIB stagne, la production industrielle régresse

Quelle évolution entre PDEM et TM ? I/ Expliquer la crise A/ Des arbres qui cachent la forêt 1/ Les 2 chocs pétroliers Premier choc pétrolier (1973-1974). L’OPEP va dans le sens des thèses du non-alignement où les intérêts des pays du TM : fin dégradation des termes de l’échange…, les prix sont multipliés par 4 (3$ à 12$). En 1979 : Deuxième choc pétrolier. A partir de 1979, l’Iran est occupée par des intégristes chiites. Le nouveau régime anti-américain sous Khomeiny. On dénonce

l’économie nationale III.2 Un choc à relativiser Conclusion    Les niveaux records atteints par le prix du pétrole brut ces derniers mois ont suscité un mouvement d’inquiétude général qui a largement alimenté les médias. Les particuliers s’inquiètent pour leur budget, les entreprises pour la hausse des coûts et les gouvernements s’inquiètent pour l’impact sur l’économie et sur l’électorat. Ce que tout le monde redoute aujourd’hui, c’est un choc pétrolier à l’image de ceux des années 1973

PIB) d'après l'INSEE, ensuite nous avons un graphique sur le taux de croissance du PIB réel, en % d'après l'Eurostat, puis un autre tableau sur la FBCF en volume (% de variation par rapport à l'année précédente)d'àpres l'OCDE. Et pour terminer un deuxième graphique sur cette fois si l'évolution du prix du Brent depuis 1970 (en dollars 2010) d'après l'IFPEN. Dans un premier temps nous montreront que la croissance économique s'accompagne de fluctuations après quoi nous expliqueront les chocs de demande

abondant et bon marché explique un désintérêt des industriels pour les biocarburants. Le premier et second choc pétrolier (1973 et 1979) les rendirent à nouveau attractifs, pour des questions stratégiques (sécurité d'un approvisionnement en énergie) et économique (réduction de la facture pétrolière, développement d'une industrie nationale dans un contexte de chômage croissant). Le contre-choc pétrolier de 1986 (baisse des prix du pétrole) fait chuter l'enthousiasme pour les biocarburants. Cependant,

Le système productif des années 80 a été confronté à une sorte de mutation précipitée du secteur industriel vers le secteur tertiaire. Cela est du tout d’abord au second choc pétrolier, la matière première va alors voire son cours flamber ce qui va propager à toute l’économie une hausse généralisée des prix mais aussi une hausse des coûts de production dans le secteur de l’industrie très dépendant du pétrole. De même, avec l’internationalisation de la production, le secteur de l’industrie à été fragilisé