Deuxième concile de Nicée

qui siègent au conseil de l’empereur et donc de plus en plus ils vont devoir collaborer à la mise en place de la législation impérial : ils sont de plus en plus sous la tutelle de l’empereur qui cherche à contrôler tout les sources du droit * Deuxième source : les Sénatus consultes. Ils se multiplient au début de notre aire car la loi voter par les comices tant à s’effacer et donc c’est le Sénat qui légifère mais c’est un Sénat épurer, domestiquer qui exprimer en réalité les vœux de l’empereur

paraît. En effet, les empereurs sont très interventionnistes. Ils influent sur la désignation des évêques et se mêlent d'orienter le dogme. Ainsi, on peut mesurer leur action en faisant état de ce qui s'est passé en 325. En 325 est réuni le Concile de Nicée, qui réunit les évêques de tout l'empire sous l'ordre de l'empereur qui leur demande d'établir le dogme. Les évêques s'accordent sur le principe de la foi nicéenne. D'autres façons de voir le christianisme sont condamnées. Ainsi, l'hérésie d'Arius

 LE BAPTEME D’EAU SELON LA BIBLE INTRODUCTION Selon Actes 2 : 38, le baptême d’eau est la deuxième étape du plan du salut dans l’ordre des choses après la repentance. Le mot “ baptême ” vient du mot grec “baptizô” qui signifie “immergé”, “plongé dans” ou “ complètement couvert”. Le baptême chrétien est une cérémonie publique dans laquelle celui qui a cru au Seigneur Jésus - Christ, qui l’a accepté comme son Sauveur personnel et qui s’est repenti de ses péchés, est immergé dans l’eau

ainsi un moment majeur de la diffusion du christianisme dans le monde romain. L’édit de Milan, promulgué en 313, accorda « aux chrétiens et à tous la faculté de suivre librement leur religion préférée ». En 325, Constantin réunit le Concile de Nicée. Avec ce premier concile, l'Église commence à se doter d'une organisation centralisée fondée sur une stricte hiérarchie du clergé. ( Fixation du credo, affirmation des croyances, confirmation de la Trinité) En 391, l’empereur Théodose proclame le christianisme

Christ n’est pas de nature divine), soit au catholicisme. En effet, il y avait alors plusieurs communautés chrétiennes qui avaient chacune leur vision du christianisme, sans pouvoir central. Au IVe s. , l’empereur romain avait convoqué le conseil de Nicée pour adopter une doctrine commune, et là, on avait décidé que la « bonne » version du christianisme était que Jésus est d’essence divine mais qu’il est aussi un homme, c.-à-d. la version catholique. Dès lors, les autres communautés étaient considérées

: Godefroi de Bouillon, Raymond de Saint-Gilles et Bohémond IV. Le fondateur du royaume de Jérusalem : Baudouin de Boulogne V. Consolidation de la conquête : Baudouin II VI. L’équilibre entre Francs et Musulmans : Foulque d’Anjou et Zengi VII. La deuxième croisade : Au temps de Mélisende et d’Aliénor VIII. Le modèle du roi franc : Baudouin III IX. La première expédition d’Égypte : Amaury Ier X. Vers le drame des croisades : Baudouin IV, le Roi Lépreux XI. Le désastre de Tibériade : Guy de Lusignan

il y avait alors plusieurs communautés chrétiennes qui avaient chacune leur vision du christianisme, sans pouvoir central ( Querelle d’interprétation entre les deux tendances. Au IVe s. l’empereur romain de l’époque avait convoqué le conseil de Nicée pour adopter une doctrine commune, et là, on avait décidé que la « bonne » version du christianisme était que Jésus est d’essence divine mais qu’il est aussi un homme, c.-à-d. la version catholique. Dès lors, les autres communautés étaient considérées

qui vient du grec « laicos », signifiant « peuple ». Très vite, dans toutes les communautés chrétiennes, ce terme est utilisé pour désigner le commun, l’ordinaire, l’homme ordinaire, par opposition à tout ce qui relève du sacré. Au 2e siècle, un deuxième terme apparaît qui va s’y opposer : « clerc » (ordre). C’est l’ébauche d’une première hiérarchie originelle qui va, par la suite, se complexifier. 1) Les laïcs et les clercs Si les Chrétiens distinguent si tôt le clerc du laïc, c’est pour une

mais apparaît comme le défenseur de la foi chrétienne. Il défend la foi contre les wisigoth et les burgondes, qui sont adeptes de l'arianisme. D’après l'arianisme, la volonté du christ est niée, ainsi l'hérésie d'Arius est condamnée lors du concile de Nicée, en 325. Les évêques de gaule vont favoriser les projets d’expansion de Clovis ; par exemple en l'an 500, Clovis défait le roi des burgondes, près de Dijon, Gondebaud. Ou encore, en 507, Clovis est vainqueur des wisigoths, à la bataille de Vouillé

« laïc » qui vient du grec « laicos » signifiant « peuple ». Très vite, dans toutes les communautés chrétiennes, ce terme est utilisé pour désigner le commun, l’ordinaire, l’homme ordinaire, par opposition à tout ce qui relève du sacré. Au 2e siècle, un deuxième terme apparaît qui va s’y opposer : « clerc » (=ordre). C’est l’ébauche d’une première hiérarchie originelle qui va, par la suite, se complexifier. 1) Les laïcs et les clercs Si les Chrétiens distinguent si tôt le clerc du laïc, c’est